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Chapitre 8

JeongIn ne savait plus comment se comporter envers ces amis et envers Hyunjin. Il était de nouveau perdu. Il était réveillé depuis déjà une bonne heure, personne n'était encore réveillées. Il sortit de sa chambre pour aller dans celle de Chan. Il ouvrit lentement la porte et glissa sa tête à l'intérieur. Chan dormait. Il rentra en essayant de faire le moins de bruit possible. Il s'assit par terre. Il n'avait pas envie de venir de peur que les draps ne soit pas changer. Il le regarda dormir jusqu'à ce que le réveil de son ami sonne. JeongIn l'éteint et toucha du bout des doigts la couverture qui commença à partir de sur le corps de son colocataire. Celui ci remua légèrement et se tourna pour être face à JeongIn. Les deux se regardèrent, aucuns de parlaient. Chris tendit sa main et JeongIn hocha sa tête de gauche à droite. Surpris, il garda sa main ouverte près du cadet. Il avait tout de suite vue qu'il avait très mal agit lui aussi. Le sourire habituel de Chan n'était pas présent, il ne lui avait même pas offert, ne serait-ce, qui infime sourire. JeongIn glissa ces doigts dans la paume de main de Chan. Il serra ces doigts sur ceux du cadet.

- Viens avec moi, les draps ont été changés.

JeongIn se leva et s'installa au côté de son ami. Ils restèrent l'un en face de l'autre. JeongIn voulait parler mais il avait peur d'engager la conversation. Si Chan ne souriait pas dès le matin, c'est qu'il était mal et qu'il y avait quelque chose. Et il sait que ce qui tracasse son ami sont ces gestes du repas, des paroles violente qui ont été dite. Il le regrette en prenant du recul. Il voulait parler mais aucun son ne sortit. Chan l'attira vers lui, le prit dans ces bras, son menton sur le dessus du crâne de JeongIn. Il entoura la taille de son ami, sa tête sur son torse. Ils restèrent dans cette position, sans parler ni bouger. Ils ne veulent pas interrompre cette ambiance qui semble si pesante. JeongIn savait que s'il n'avait pas cours, il serait resté comme ça. Un boucan pas possible résonna dans tout l'appartement. Ils savaient que ChangBin et Jisung étaient réveillés. Les portes des meubles claquaient, la vaisselle fessait un bruit sourd et fort, leurs pas étaient lourds. Quand les portes des chambres claquèrent, Chan déposa un rapide baiser dans les cheveux de JeongIn avant de se lever. Ils allaient tout casser. JeongIn resta allonger à réfléchit avant de se levé et de partir dans la cuisine. Quand il arriva, il prit les assiettes pour les ranger dans le meuble. Quand il se retourna il entendit des toquements provenant de la porte d'entrée. Surpris il lâcha toutes les assiettes qui étaient entre ces mains. Chris qui était partit s'habiller, débarqua juste en pantalon avec son t-shirt en main, ChangBin qui était partit ouvrir, sursauta avant de laisser la personne entrer, Jisung avait eu si peur qu'il était tombé par terre, se trouvant allonger faisant le mort. JeongIn se baisa tout de suite et ramassa les morceaux qui ont volés en éclats. Les trois autres amis l'aidèrent sans vraiment prêter attention à l'invité. Une fois tout nettoyé du mieux qu'ils le pouvaient, les colocataires se retournaient en même temps vers l'invité qui se trouvait toujours au palier, la porte d'entrée toujours ouverte, ChangBin alla vers lui et le fit entrer. Le cœur de JeongIn s'arrêta et il crut que le monde c'était écrouler autour de lui. Hyunjin était chez lui, ces jambes l'auraient lâchées d'une minutes à l'autres s'il ne ce serais pas tout de suite énervé. Il marcha rapidement vers Hyunjin et lui pris le bras avant de l'emmener dans sa chambre. Il le balança à l'intérieur de la pièce et ferma violemment la porte.

- Je peux savoir ce que tu fais chez moi ? Comment t'as fais pour savoir où j'habitais tête de gland ?

- J'étais partis voir à quoi tu ressemblait le matin. T'es très maladroit dis moi. Il regarda JeongIn  et vit dans le regard de celui-ci qu'il ne devait pas faire de remarque. Fin bref, j'ai fouillé dans les dossiers de la classe. J'ai trouvé le tien, je l'ai pris et j'ai regarder ton adresse.

- Où est mon dossier ?

- Dans mon sac.

- Tu sais que ce que tu as fais c'est très mal ? Ça va faire une semaine que t'es là tu fais déjà de la merde. En plus tu viens chez moi sans prévenir. Plus jamais tu fais ça c'est compris ?