I⃥ H⃥a⃥t⃥e⃥ .⃥.⃥.⃥ Y⃥o⃥u⃥ ?⃥

Chapitre 9

C'est un très long chapitre pas ouf dis donc :)

JeongIn se réveilla difficilement. Il sentit une chaleur qu'il n'avait pas en s'endormant. Il ouvrit les yeux et il vit qu'il était dans son lit. Il soupira avant de faire reposer sa tête sur son oreiller. Ils étaient rentrés. Mais pourquoi si tard ? Jisung ne finit jamais tard, c'est impossible, s'il aurait été chez quelqu'un il aurait prévenu tout le monde.ChangBin n'à jamais des heures où il finit tard. Et puis, Chan l'appelle toujours quand il devait faire des heures supplémentaires. Son réveil indiquait 7h26. Il devait ce lever. Même s'il commençait à neuf heure. Il leva sa couverture et vit qu'il était en pyjama. Il soupira. Ils s'étaient encore occuper de lui. En s'habillant, il remarqua de nouveaux bandages sur ces avant bras. Encore et toujours près de lui. Même quand il croit qu'ils sont loin, ces amis prouvent le contraire. Il sortit de sa chambre et regarda ces trois colocataires qui étaient déjà installés. ChangBin et Jisung se trouvait en face de Chan. JeongIn s'installa à côté du plus âgé et celui-ci ce décala légèrement, gêné. JeongIn ni prêta pas beaucoup d'importance donc il commença à se servir. Quand il enfouit dans sa bouche plusieurs morceaux de nourritures, il releva la tête en direction de ces amis.

- Pourquoi vous êtes rentrez aussi tard hier ? Parla t-il la bouche pleine.

Les deux amis qui étaient face à lui regardait Chan alors que lui, fuyait à tout prix ceux de ces amis. JeongIn compris à l'instant que Chris était le principal concerné. Il tourna sa bouille vers sa gauche. Il n'osait pas lui faire face. Il décida de rester dans le silence.

- Chan pourquoi n'explique tu pas à JeongIn ?

- Tu as peur de quoi ?

- C'est vrai que j'aimerais savoir. Je me suis beaucoup inquiété. Et merci de vous êtes encore occupé de moi.

- C'est nous pas Chan. Mais ont te l'a déjà dis que c'était normal et que t'as pas à paniquer car on a pris soin de toi. Chris sentit toujours le regard de JeongIn qui persistait. Il devait lui dire. De toute façon le cadet était rusé, il allait très vite savoir la vérité. Il ne veux pas qu'il l'apprenne tout seul.

- C'est moi qui ai dis qu'on allaient rentrer dans la nuit.

- Pourquoi ?

- Je voulais juste que tu comprenne que tu devais arrêter de te faire du mal, mais j'ai réalisé après que ce que j'avais fais été vraiment stupide et que j'aurais jamais du te laisser tout seul. J'aurais du tout de suite répondre à tes appels.

- Il rigole ?

ChangBin et Jisung secouèrent leur tête en signe que s'en était pas une. JeongIn ne réfléchit pas et partit de table. Il s'habilla rapidement et prit ces affaires pour sortit sans adresser un mot ni un regard au grand. Les deux autres ce levèrent fessant de même. Il ne comprend pas ce qu'il lui prenait ces temps ci. Il voulait comprendre. Il voulait se comprendre. Quand il ne restait plus que lui, il relâcha la pression en fondant en larmes. Toujours à sa place. Sa tête dans ces mains, ces coudes posés sur l'îlot centrale. Il n'en pouvait plus lui aussi.

JeongIn était assis dans l'herbe à contempler le levé du soleil qui reflétait dans le fleuve qui se trouvait face à lui. Il avait besoin de partir dans un endroit où il savait que personne ne pourrait savoir qu'il se trouve à cet emplacement. Il réfléchit à ce demander ce qui était le mieux. Que Chan parte quelques temps chez Minho pour que lui aussi ai son intimité ou que lui ne rentre pas ce soir là. Il avait encore toute la journée pour savoir ce qui était le mieux. Il se dit que les deux options n'étaient pas si nulle l'une que l'autre. Il inspira un bon coup l'air frais qui régnait. Une senteur agréable. Il s'y sentait bien. C'était un endroit où il y va toujours seul. C'est son endroit. C'est son repère. Il n'avait pas sa musique, juste l'eau qui bouge du au vent ainsi que les animaux qui émet des bruits comme pour prévenir qu'ils sont là, près de lui, c'est comme une douce berceuse à ces oreilles. Il aime les endroits calme qui inspire confiance et douceur. C'est comme si une paix s'installe en lui tant qu'il est présent près de ce fleuve. Comme si les animaux lui parlaient, que les plantes l'apaisaient et que les arbres le surveille d'un œil bienveillant. Ces lèvres s'étirait en un infime sourire mais sincère. Elles s'étaient formées tout naturellement. Il voulait que tout cela dure des heures. Mais malheureusement pour lui le réveil à la dure réalité n'était pas ce qu'il voulait. Dans de lents gestes, il saisit ces affaires et partit sur le chemin du lycée.