Passion

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"Quand on me dit Monde, je ne vois que toi..."
Aujourd'hui, Valencia avait l'intention de profiter pleinement de Patrick. Une fois arrivés elle s'habille. Elle enfila la lingerie achetée. Puis mis sa belle robe préparée pour l'occasion. En bas Patrick se hatait de finir sa surprise. Il lui avait concocté un dîner digne d'une reine. Ils danseraient puis après ils profiteraient l'un de l'autre.

"Quand on me parle de maison, je ne m'imagine qu'avec toi..."
Elle descendit. Patrick lui offrit le bouquet choisi pour elle. Il la gatait. Elle le méritait. Il la conduit à la table. Elle découvrit le menu. C'était très alléchant. Ils prirent un dîner copieux. Après ils passèrent au dessert. C'était une tarte au citron. Elle n'en avait jamais goûté avant. Elle adora.

"Quand on cite patrie, tu t'imposes faisant ta loi..."
Elle se sentit spéciale. Il prenait bien soin d'elle. Il la comblait. Il la traitait comme personne avant lui. Elle n'en pouvait plus de cacher ses sentiments.
-JE T'AIME PAPI... Tels furent les mots criés par son cœur. Elle s'en moquait pas mal de savoir si c'était partagé ou non. Elle se sentait satisfaite d'enfin le dire. Il l'embrassa. Il défit sa robe. Elle était splendide. Il put enfin voir ce qu'elle lui cachait. L'ensemble était parfait. Il épousait bien ses petits seins. La culotte était Excitante. La couleur lui allait au teint.
-tu es magnifique Val. C'est ton anniversaire et c'est toi qui offres des cadeaux. Petite coquine.
Il l'embrassa de nouveau. Aujourd'hui il lui fera sa fête. Oh que oui. Elle lui retira sa chemise
Elle lui réservait encore des surprises. Elle défit son pantalon et le retira suivi de son boxer. Elle s'agenouille. Elle prit son membre en main puis commença à lécher doucement. Elle passait sa langue sur le bout, elle essayait de temps à autre d'aller le plus loin possible. Elle avait soif.

"Quand on me parle de moitié, j'ai envie de crier ton nom..."
Patrick surpris par ses élans en jouissait. Il poussait parfois des cris rauques. Il vint dans sa bouche sous ses nombreux coups de langue. Elle le fixa droit dans les yeux et avala. Elle était devenue vraiment perverse se dit il. Il aimait. Il aimait ce qu'il voyait. Il admirait son œuvre. Elle se leva. Il lui caressa le cou puis le sein. Certains hommes détestaient embrasser leurs femmes après une fellation. Pas lui. Avec Val tout est différent et tellement bon. Il l'embrassa. Encore et encore. Lui retira son ensemble. Il la déposa sur la table. Ils avaient encore le temps. Oh que oui. L'après-midi leur appartenait. Il commença par sucer l'intérieur de ses cuisses. Il déposa de doux baisers sur son mont. Puis il suca son clitoris. Il aimait l'entendre. Elle criait son plaisir. Il lui mit un doigt. Elle sursauta. Il lui en mit un deuxième. C'était leur moment. C'était ce moment qu 'aimait Patrick. Il la voyait dans toute sa faiblesse. Il voyait sa confiance en lui. Il était fier. Il l'aimait. Il se leva et la pénétra sans autre forme de procès. Durement. Jusqu'à la garde. Il faisait de longs va-et-vient. Il la prenait profondément. Comme si leur vie en dépendait. Comme si c'était le dernier instant.

"Quand on dit terre, je nous vois enracinés connectés et insécables..."
Ils ne faisaient qu'un.

"Dans cris je t'entend le souffle coupé..."
Leurs corps dansant la même danse, sur le même rythme. Leurs cœurs battant à L unisson.

"Dans repos je te vois le corps en sueur et fatigué"
Ils s'aimaient. Passionnément. Avec crainte. Mais ils s'aimaient. L'univers fait bien les choses. Sans l'ombre d'un doute cette alchimie qu'elle nous offre est la plus pure et la plus éternelle.

"Quand on dit passion, il y a cette eau vivifiante et intarissable qui coule en moi"
Il jouit en elle. Et c'est à ce moment qu'il réalisa qu'il avait oublié le préservatif. La sentir contre lui comme ça augmenta ses sentiments. Sa façon de le regarder Après l'amour... C'était magique. C'était unique. Comment peut-on aimer si violemment ? Il aimait tous les moments partagés avec elle. Il l'embrassa et se releva. Il l aida à se lever. Il L amena dans la douche. Ils se laverent.
-Merci pour cette belle journée... JE ne me suis jamais sentie aussi bien. Et c'est le premier anniversaire qui me touche autant.
-t'es ma petite femme c'est normal de me plier en quatre pour toi.
Ces mots là réconfortent. Car malgré cet instant précieux elle avait quand même soulevé qu'il ne lui avait pas donné la réciprocité quand elle lui avait confié ses sentiments. Elle serait patiente. Elle se le devait. Car elle ne se voyait avec personne d'autre que lui. Elle n'en voulait pas un autre. Juste Patrick. Et encore Patrick.
Elle saurait le lui montrer. Elle savait que son âge posait problème.
Ils profiteraient encore l'un de l'autre. Puis il la ramènerait chez elle.
Les au revoir  ont toujours un goût amer... Qu'en serait il d'un adieu si cela arrivait ?

L'absence d'un pèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant