#17

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PDV DE KIRISHIMA :

La seule chose que j'étais capable de ressentir sur le moment était la douleur au niveau de ma poitrine et dans mon crâne.

Impossible de dire combien de temps je suis rester allonger par terre avec les pompiers et ambulanciers qui s'affairaient autour de moi.

J'essaie malgré la douleur d'ouvrir les yeux mais je n'ai rien vu , personne que je ne connais si ce n'est M.Aizawa.

"Où est Shoto ?"

PDV DE BAKUGO:

Le lendemain en arrivant à l'école je ne trouve pas Eijiro , non pas que j'ai envie de le voir mais juste l'apercevoir me ferait du bien.

Je ne vois que l'autre abrutis fini et l'autre nerd de notre classe.

J'entre en classe mais je ne le vois toujours pas.

Les 2 premières heures se passent avec All Might un vieux cours sur la sagesse des héros.

Je n'écoutait pas trop c'est vrai..

Le temps me paraît infini mais à la pause je décide d'aller voir l'autre vanille fraise.

- Oi ! Le cramé !

Il se retourne avec un air de supériorité qui m'énerve.

- Quoi ?

- Où es Kirishima ?

- Je sais pas.

- Comment ça ??!

Je lui attrape le col.

- Où il est !?

- J'en sais rien jte dit.

Il me pousse légèrement et je le lâche.

La sonnerie retentit et je rentre en classe sous le regarde jugeur de mes camarades de classe.

Mr.Aizawa entre en classe avec un air grave.

- J'ai une mauvaise nouvelle pour vous..

Je le regarde et j'espere que ça n'aura aucun rapport avec Eijiro.
Mais il n'y à presque aucune chance.

- Kirishima ne sera pas présent pour l'instant.. Il à eu un grave accident

Je me lève brusquement de ma chaise.

- Comment ça un accident ?!

- Calme toi Bakugo.. Il va bien.

- Où est il ?

- Baku..

- OU EST IL ?!

- Au grand hôpital de Tokyo

Sans prévenir je quitte la classe sans dire un mot et sans mes affaires.

Je cours , comme un dingue vers la gare pour rejoindre le rapidement Tokyo.

Le trajet est long.. très long .. je ne tien pas en place.

J'harcelle Kirishima en espérant une réponse.. mais rien.

En arrivant à Tokyo je me dirige vers l'hôpital et insulte presque la dame de l'accueil pour avoir le numéro de chambre.

Mais comme je ne suis pas un membre de sa famille j'ai du la menacé presque mais chut.

Une fois le numéro de sa chambre j'y cours malgré l'interdiction des vigiles.

Je reste scotché devant la vitre de sa chambre 5 bonnes minutes sans rien faire.
Il était la.
Branché à des machines.
Comme sur son lit de mort.

En entrant dans la chambre je m'assieds à coter de lui et prend sa main.

Et prie pour qu'il revienne en lâchant qu'elles larmes.

- Eiji... Je suis la..

 Je suis la

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