Nizar

Chapitre 7 : Les tourments d'un génie.

(Note de l'auteur :  Je préviens ce chapitre est plutôt triste).

Nizar est dans ça lampe essayant tant bien que mal de dormir. Il n'aime pas l'idée de se reposer, car à chaque fois qu'il ferme les yeux des souvenirs sombres refaisait surface. Nizar est allongé dans son lit, le sommeil le gagna petit à petit. Ses paupières commencèrent à devenir lourde et ces yeux se fermèrent doucement. Son cauchemar commence toujours de la même façon.

Il est sur-le-champ de bataille, des cries et des hurlements se font entendre de tous les côtés. C'est le chaos, Nizar sait qu'a tous moment des mages de son pays viendrait, grâce a un sort, enterré le royaume adverse. Ses collègues et lui devront courir loin s'ils ne veulent pas finir par étouffer dans le sol comme leurs ennemis. Deux ennemis du royaume de Dravoros accourent vers lui, sans arme, ils ont sûrement laissé leurs épées dans le corps d'un allié. Le premier tente de lui donner un coup-de-poing dans le visage, Nizar l'esquive et lui donne un coup de pied dans le ventre avant de lui trancher la tête. Il ressentit un peu de douleur à devoir faire ceci, ceux qu'il affronte, on était des amis a une époque. Nizar se sent vraiment mal, mais il n'a pas le choix. Le deuxième a profité de leur court affrontement pour récupérer une épée qui était planter dans le sable non loin de lui.

Son adversaire a l'air aussi entraîné que lui, ces coups sont puissants et précis, il est agile, endurant, ce combat risque d'être compliqué. Si Nizar se prend un seul coup, il est sûr que le roi lui fera regretter d'être né et le rabaissera. A cette penser, le chef de la garde (Nizar) commença à ressentir de la peur, il sait de quoi est capable le roi de Dravoros, est ne voudrais, au grand jamais, subir ces foudres. Son ennemi vit qu'il était déconcentré et le frappa avec son sabre de plein fouet au visage. Nizar ressentit une douleur aiguë qui le fit hurler au niveau de son œil, du sang commença à couler, inquiet il porta sa main à son visage, c'est sûr, il en gardera une cicatrice. L'homme en face de lui sourit d'un sourire satisfait pour ensuite le faire tombé au sol. Son adversaire allé porter le coup de grâce, mais un garde de Dravoros l'arrêta avant qu'il puisse faire quoi que ce soit.

Le chef de la garde recula de plus en plus inquiet. Il essaya d'ouvrir son œil et réussi, malheureusement ça vu est trouble, mais Nizar ne peux pas abandonner. L'homme qui l'a aider est un grand ami à lui, il lui expliqua qu'il devait retourner au château, qu'il y avait un problème, que sa femme avait des ennuies. En entendant le prénom de son amour, il reprit confiance et courra le plus vite possible à la forteresse. Cela lui prit un temps monstre, mais il arriva enfin avec la peur au ventre. Sa femme était dans ce château avec un roi cruel et horrible. Que lui veut-il ? Une fois entré dans la salle du trône, il vit le roi de Dravoros une lame ensanglanter a la main, à côté...

...le corps de sa femme égorgée et inerte au pied du souverain.

Le génie se réveilla en sursaut les larmes aux yeux. Il porta sa main vers l'œil marqué d'une cicatrice, celle qui lui rappelle ce jour horrible.

L'être magique se souviendra toujours de ce que le roi lui à dit avec un sourire carnassier :

''J'ai fais ça pour toi, Nizar, l'amour est une faiblesse.''

Après cette phrase, le génie a ressentit la colère l'envahir et il a tué le souverain pour ce qu'il a fait. Problème, son conseiller lui était fidèle, très fidèle, c'était un Damikos, un être immortel, qui possédé le pouvoir de l'enfermement. Cet homme l'a évidemment enfermé dans une lampe au nom du roi, faisant de lui un génie. Nizar n'a pas accepté l'idée alors il a maudit, en détournent des souhaits, les différentes personnes qui l'on trouver pour ne pas rester avec ce ramassis de déchets trop longtemps. Le conseiller a entendu sa réputation et l'a emprisonné dans les vestiges du royaume d'Arquiss. Sauf que son pouvoir d'enfermement était moins puissant, en l'emprisonnant une deuxième fois il perdit ses pouvoirs, mais pas son immortalité, son nom était...

Nizar : ''Salk...''