La créature regarda autour de lui pour voir la jeune fille le fixé, il décida de calmer son rire avant de s'adresser à elle :
Génie : ''Je suis heureux de vous rencontrer, Princesse.''
Les yeux de Violette s'écarquillèrent.
(Penser de Violette) : ''Comment ça princesse ? Ça doit avoir un rapport avec ce qu'on dit les gardiennes.''
La musicienne se contenta de le regarder.
Génie : ''Je devrais peut-être prendre une forme, plus humaine. Ce sera moins dérangeant pour vous.''
A la fin de sa phrase de la fumée l'enveloppa pour le ramener au sol, elle se dissipa laissant place à un homme d'une vingtaine d'années. Il est très grand, mince mais costaud. Son visage est carré et noble, le teint mat, les lèvres fines, l'expression souriante, les joues creusées, ces cheveux courts et sa barbe sont noire comme les abysses, il a les oreilles décollées. Ce génie a une cicatrice à l'œil. Ces yeux sont cernés et d'une couleur d'or intense. Ils reflètent aussi de la froideur dans son regard. Ces épaules sont carrées, il est vêtu d'un sarouel en soie noire et d'un t-shirt à manches courtes rouge.
Génie : ''Je me présente, mon nom est Nizar, je suis votre génie, ici pour vous servir.''
A ses mots il fit une révérence puis se redressa aussitôt.
Violette : ''Euh...je...mon quoi ?!
Génie : ''Votre génie.'' Dit-il en souriant.
Génie : '' Je suppose que vous avez mille est une question à me poser.
Violette : C'est exact.
Génie : Aller-y, je vous en prie.
Violette : Euh...pour commencer, pourquoi il y a une ville sous la fac ?
Génie : Je dois vous avouer que je n'en sais absolument rien.''
Violette se claqua mentalement le front.
(Pensé de Violette) : Comment pourrait-il le savoir, cet homme est sûrement rester dans sa lampe tout ce temps.
Violette : ''Oui excusez-moi, question bête. Pourquoi êtes-vous enfermé ?
Génie : Mes pouvoirs, quand j'étais sorcier, dépassé la raison et cela a fait peur, à une personne en particulier, qui a décidé de m'emprisonner indéfiniment.
Violette : Qui était-il ?
Génie : Un roi qui ne m'avait pas à la bonne.'' Annonce t-il froidement.
Violette hocha la tête comprenant qu'elle ne devrait pas creuser plus.
Cette fois se fut au tour de Nizar de poser une question :
Génie : ''Dites-moi, cela me semble étrange, pourquoi n'avez-vous pas eu peur en voyant, les ruines, les statues qui vous ont projeté en arrière et surement les os, le sang, les cadavres... ?''
La jeune fille n'hésita pas longtemps.
Violette : ''Je ne sais pas vraiment.... Je dirais que c'est un sentiment, l'envie ou plutôt la curiosité de savoir qui me parle depuis toutes ces années mais, surtout une certaine confiance.
Génie : Vous vous sentez en confiance ?" Demande t-il étonner.
Violette : "C'est ce que j'ai dit.
Génie : Vous ne devriez pas.'' Echangèrent-ils ensuite.
Le génie eut un sourire malicieux avant de reprendre.
Génie : ''Vous ne me connaissez pas.
Violette : Mais je veux bien en apprendre plus. J'aimerais savoir, pourquoi avoir communiqué avec moi ?
Génie : Vous seul pouvez entrer et me libéré.
Violette : C'est vrai, les statues on dit que j'étais une descendante d'Arquiss. Quesque l'Arquiss ?
Génie : C'est un royaume très chère, et seule une descendante de la lignée royale peut me faire sortir.
Violette : Ça veut dire...
Génie : Que vous êtes la princesse d'un royaume qui n'existe plus.'' Dit-il avec une tristesse non dissimuler.
Violette : Vous avez un rapport avec ce pays ?
Génie : Moi non mais mon ex-femme oui.''
La jeune fille hésita un long moment puis décida finalement de poser la question peut-être plus bête que la première.
Violette : Ex-femme ? Elle vous a quitté ?
Génie : Non, elle, elle est morte.'' Annonce-il en baissant la tête.
Violette : ''Veilliez m'excuser je ne voulais pas.'' Dit-elle mal à l'aise.
Nizar regarda violette avec un sourire amical.
Génie : ''Tous va bien, ça c'est passé il y a plus de 400 ans. J'ai donc finit par l'accepter.''
La musicienne le regarda avec compassion, elle a également perdu des êtres chers, ses parents précisément.
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Nizar
ParanormalneRésumé : ''si un jour les pouvoirs d'une ancienne bête assoiffée de sang et la puissance d'un sifflement sont combinés pour une identité mauvaise, vous pouvez être sûr, noter bien mes mots, le monde que nous connaissons ne résistera pas sur la durée...
