Cinq

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P.-S : j'ai entendu parler d'une fille qui allait à une autre école, et qui a lu le journal de quelqu'un d'autre sans sa permission. Elle s'est sentie tellement coupable qu'elle n'a plus jamais souri jusqu'à la fin de ses jours. Pas même quand elle voyait des koalas ou quand la fille blonde qu'elle connaissait a eu un bouton gros comme un ananas en plein milieu du front.

P.-P.-S : oh, et puis il y a ce gars qui s'est senti tellement coupable, après avoir lu un journal qui ne lui appartenait pas, qu'il a perdu pour toujours le goût de s'amuser et qu'il a passé le reste de sa vie à regarder le golf à la télé.

Mon journal grave nulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant