Bouge !

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Je lui pris la gorge, la serrant un peu pour qu'il s'éloigne de mon visage et qu'il calme ses ardeurs puis je repris le bandeau pour le lui remettre.

E: bien comme je vois que tu as encore plein d'énergie, nous pouvons commencer à vraiment nous amuser.

Et comme je ne t'avais pas donné l'autorisation de m'embrasser, je vais t'emprisonner davantage.

Il ne répondait pas, il savait qu'on allait bientôt ne faire qu'un donc il patientait comme un animal en cage, oui, c'est ce qu'il était. Je refouillais dans mes affaires pour prendre cette fois une corde qu'il allait l'entourer le torse et bien appuyer ainsi que frotter contre ses tétons.

Le temps de l'attaché assez artistiquement il était déjà redevenu vaillant, je pense que le fait de ne pouvoir rien voir ni toucher devait énormément l'excité. Il commençait à gémir et à souffler bruyamment.

N: maîtresse... Ah ah ah, dépêchez-vous, je... Hmmmm ah pitié.

E: hmm j'aime t'entendre comme sa slave.

Bien je vais préparer le terrain pour nous comme tu es si pressé et que je suis une maîtresse très gentille.

Vu son engin, je me devais de bien me préparer même si ce n'était pas comme celle de Gabriel, c'est-à-dire plus imposante, il était un peu plus long. Pour me préparer je me mis sur lui relevant un peu mes fesses pour me doigter, je mis directement trois doigts que j'écartais et dont je me servais pour me dilater encore plus, bien sûr mon plaisir n'étais pas muet. Je m'appuyais sur son épaule et poser ma tête dans son cou, il pouvait donc entendre sans aucun doutes mes gémissements puis sentir mon souffle chaud le chatouiller la peau. Mais surtout ma poitrine se frottait contre la sienne, toute 2 très réactive, contre les cordes qui l'enlaçaient, il pouvait se rendre compte que la pointe de mes seins se dressaient et devenaient de plus en plus dur et sensible.

Quand je fus assez mouillée je pris une capote pour la mettre sur son membre, il sursauta légèrement au contact et le lui mit sans problème.

E: et maintenant ahah hmmmm... aaah !

N: aaaah hmm Emy ! Putain....

Je me retrouvais sur cet engin d'un seul coup et tout rentra en moi, mais ce que j'avais entendu était encore une désobéissance de sa part, cela m'énervait, de ce fait je décidais de commencer de très lents mouvements de hanches tout en me resserrant autour de lui et je commençais à mettre une main autour de son cou qui arriva sur son omoplate que je griffais déjà puis je commençais à un peu accélérer la cadence de mon mouvement. Je mis ma deuxième main autour de son cou et je commençais une légère pression. À ce moment précis, non seulement je me resserrai encore plus autour de son engin qui devenait tout à-coup plus gros, mais mes hanches ralentissait et accélérais d'un coup pour aller plus profond et torturer ce pauvre garçon qui avait accepté ma proposition.

E:... Ah ah être privé d'air... Hmmm peut aussi être cons... Sidérer comme une punition. Aaah

N: hahahaaaa maîtresse, je suis... Désoler pu... Puis-je me rattraper ?

E: hmmmm ah si tu veux me faire plaisir alors pourquoi pas.

Après ça je m'arrêtai complètement de bouger, je me levai légèrement jusqu'à ce qu'il ne soit plus en moi, je pris la peine d'enlever le cordage ce qui par ailleurs lui avait laissé de très belles marques rouges d'irritations sur la peau que je n'ai pu m'empêcher de lécher ainsi que d'embêter ses tétons et il me sortit alors un son tout à fait divin presque de jouissance.

À la suite de cela je me reconnectais à lui, ah ça faisait quand même un bien fou, comme si un vide en moi se remplisser, c'était agréable et bon comme je le voulais. Je me mis dans une certaine position.

E: maintenant slave tu désires te rattraper, te faire pardonner de toute ta désobéissance jusqu'ici ?

Alors Bouge !!!

Il ne répondit pas et à peine l'ordre donner il ne commençait pas part de petit vas et viens, mais un grand coup de rien, ce qui me fit monter la voix comme si j'étais déjà au Nirvana, c'était tellement mieux quand c'était lui qui bougeait. Il commença à faire des mouvements plus longs, plus sensuel, mais plus profond, me faisant crier à coup sûr, mais il alternait tantôt tendre et langoureux, tantôt sauvage et rapide. L'orgasme était proche et je sentais que lui aussi arrivait, nous baisions comme des bêtes, lui attaché, les yeux bandés, mais les reins en feu et moi libre de faire de lui mon jouet et une excitation qui arrivait à son apogée.

Lui et moi eurent un dernier mouvement synchroniser telles que nos corps avaient fusionné pour jouir ensemble, je m'effondrais sur lui fatigué nos respirations étaient saccadées, je fermais donc les yeux quelques secondes pris de fatigue après un si bel orgasme pour une première fois tous les deux.

Soumis pour une nuit [terminé] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant