Reveille Surprise

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C'était le matin, on entendait les vagues au loin comme une berceuse pour doucement réveiller un enfant, apaisant, relaxant tout ce dont Gaby et moi avions besoin que j'ouvrais petit à petit les yeux. Je repensais aux événements de la veille qui avait été pour lui éprouvant, je savais qu'il avait besoin de penser à autre chose plus longtemps qu'une soirée, il en avait besoin même pendant qu'il dormait, je voyais son visage troublé et rempli de tristesse comme s'il en faisait des cauchemars.

Comme j'étais déjà debout avant lui, je décidais donc de le réveiller étant d'humeur un peu coquine. Je peux paraître égoïste, mais je pense que ça lui ferait aussi du bien de se lâcher.

Étant sur le ventre, je commençais par de douces caresses sur son dos et son cou du bout de mes doigts ce qui le détendait généralement même conscient. Puis je commençais à embrasser son cou tout en continuant mon doux toucher.

Puis il se retourna toujours les yeux fermés, je pense qu'il était conscient, mais ne voulait pas se lever, je finit donc sur lui à califourchon, il me tenait par la taille nous nous faisions un câlin matinal très agréable. Mes seins et ma taille seulement vêtit d'un tee-shirt comme seul tissu étaient déjà en train de pointé et de devenir dur se frottant à ses pectoraux et ses abdos si bien dessiner. De là, ma tête se nicha dans le creux de son cou ou mon souffle y atterrissait le faisant frissonner, voyant cet effet sur lui, je commençais à doucement embrasser cet parti de lui de plus en plus intensément jusqu'à laisser une marque, oui, j'aime marquer ce qui m'appartient. Je continuais me frayant un chemin de baisers papillons jusqu'à la commissure de ses lèvres de là, je commençais à le taquiner en lui faisant des bisous partout sauf là où il le voulait. Il grognait de mécontent et ouvrit peu à peu ses yeux fatigués par la veille. On se regardait dans les yeux, ils étaient remplis de malice, de désirs et de plaisirs, c'était le défi de qui vas craquer en premier qui vas céder on adorer jouer à ça et à vrai, il perdait souvent. À peine, j'essayai de me relever qu'il prit ma tête pour la guider vers la sienne ou nos bouches fusionnèrent langoureusement et d'une douceur presque naïve. À partir de ce moment touchant déjà ma taille de ses bras, il commença à balader une ses mains délicatement dans le creux de mon dos puis une autre malaxant une de mes fesses. Cette combinaison me faisait inconsciemment bouger les hanches me frottent contre lui. Finissant de s'embrasser, il me regardant avec des yeux semblable à un prédateur observant sa proie avant de passer à l'attaque.

G: qu'elle beau visage que j'ai là que pour moi ce matin hmmm

E: à cause de qui ?!

G: c'est qui qui a commencé rappelle moi ?

E:.... Oue bon, tu ne vas pas me le faire dire quand même tu, c'est ce que je veux ?

G: non, je ne sais pas du tout de quoi tu parles.

E: de toute façon, tu ne vas pas tenir plus longtemps t'es déjà trop dur pour ça.

G: t'en est sur?

La, il prit mes hanches pour coller encore plus mon entre-jambe a la sienne.

E: ha mmm

T'es sérieux, ce n'est pas loyal ça.

G: ah bon et c'est loyale de me réveiller en me chauffant comme ça

Il se redressa en se mettant assis simplement avec moi, au-dessus enlevant mon tee-shirt tout doucement, il frôlait le bout de mes tétons avec ses grandes mains. Me parsèment de baisers dans le cou jusqu'au milieu de mes seins, qu'ils en mordirent certaines partit, les suçotait et les massaient. Me laissant faire, je commençais à être impatiente, je l'incitais après un moment à enlever son boxer puis il enleva ma culotte. Il me bascula sur le dos, étant nu allonger face à lui mes jambes ouvertes lui offrant tout de moi, il prit tout. Il mit sa tête au niveau de mes lèvres intimes, il y lécha mon clitoris le suçait et jouait avec me faisant crier de plaisir sentant celui-ci a son apogée, il arrêta pour caresser mes courbes et embrasser mes cuisses tremblantes.

Remontant à mon visage exprimant un plaisir fou, il mordit ma lèvre inférieure puis m'embrassait en introduisant sa langue chaude touchant la mienne tout en me pénétrant. Je mis mes bras autour de son cou et parfois m'agrippant à ses omoplates, il remonta mes jambes. De longs et lents vas et viens débuter, lui commençait à grogner et à souffler de plaisir et moi à succomber à ses effets. Il mordait mon cou où je sentais son souffle accélérant comme le mien où par la suite, il visait le point de plaisir ultime à plusieurs reprises, des coup rapides et profonds, c'est ce qu'il aimait et c'est ce que j'aimais. De plus en plus forts, de plus en plus profonds et nous avions finis par jouir en même temps mais nous ne nous arrêtions pas la, il avait encore beaucoup de stress à relâcher l'animal. Nous continuons donc nos ébats jusqu'à midi où nous étions tomber d'épuisement et étions partis manger.

Soumis pour une nuit [terminé] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant