Désobéissance

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Assise devant lui qui me regardait avec insistance pour voir ce qui allait arriver par la suite et bien il n'allait pas être déçu.

E: slave enlève ton tee-shirt et ton pantalon, mais laisse ton boxer. Ensuite viens devant moi.

N: oui maîtresse

Il fit ce que je lui avais demandé puis se plaça devant moi.

E: je vais te laisser une seule fois toucher tout mon corps et bien le voire avec tes yeux ensuite tu devras m'obéir à l'aveugle est-ce claire.

N: maîtresse me priver de la vue n'était pas une punition normalement.

Je me collai alors à lui corps contre corps, je sentais ses muscles se redire et sa corpulence augmenter de température, je pris d'un coup ses cheveux pour les tenir en arrière, il poussa un petit gémissement de surprise très appréciable à ce moment.

E: qui a dit que tu avais le droit de parler.

Bon... comme je suis gentille je vais y répondre... parfois être privé d'un sens peut te faire ressentir plus de plaisir qu'à la normale.

Maintenant fini les questions et fais-moi confiance.

N: ou... Oui maîtresse...hm

E: bon chien

Je lui lâche les cheveux et prend un bandeau posé sur le lit. Avant de le lui poser sur les yeux, je guidais ses mains puis ses longs doigts à frôler lentement mon corps pour un minimum le connaître avant d'agir sans le voir ce qui me fit accélérer mon petit cur, mon dos se mit aussi timidement à trembler. Je le fis arrêter quand j'en juger que c'était assez puis je lui mis le bandeau.

E: désormais, enlève tous mes vêtements, puis agenouille-toi devant moi, je te guiderai.

Il commença à enlever mon pantalon le plus difficile. Puis je le sentis hésité en touchant mes bas qu'il finit par enlever puis mon croc top, il fut freiné en sentant avec sa main mes tétons pointer d'excitation, il en concluait donc que je n'avais pas de soutif. Ensuite pour ma culotte, je le stoppais pour le guider et le montrais que je me mettais sur lit, je lui mis une petite pression aux épaules pour qu'il se baisse jusqu'au sol. Il tâtonnait devant lui jusqu'à toucher mes genoux puis dans un toucher assez maladroit remontait mes cuisses en y glissant ses lèvres qui me fit lâcher un soupir de bien-être pour finir, attraper les bouts de chaque tissu posé sur mes hanches. Il l'enleva et je mouillais et pas qu'un peu, je tremblais tellement d'envie. Je voyais dans cette obscurité quelque chose grossir dans son boxer et qui paressait appétissant.

E: mon chien s'excite tout seul juste en me frôlant un peu que c'est mignon.

Je mis mon pied sur son entre jambe pour y mettre une petite pression et la masser un peu.

N: maîtresse s'il te plaît... C'est douloureux et... C'est difficile de résister.

E: moui je sais, je suis un peu dans le même état donc tu vas t'occuper de moi d'accord.

J'écartais encore plus mes jambes et pris sa tête le guidant jusqu'à mon entrée déjà mouillée.

E: lèche et fait du bien à ta maîtresse

Mais je t'interdis de te toucher et de me toucher les seins ou d'essayer tout autres choses à part me lécher et me doigter.

Il répondit par un hochement de la tête puis commença à lécher mon intérieur puis mon clito tout en faisant des mouvements de ciseaux et de vas et viens en rajoutant des doigts et tout ça avec une telle intensité que j'ai failli jouir, mais il commença devenir plus téméraire et à remonter ses mains qui commençait à masser mes seins et à titiller mes tétons. Je commençais à gémir quelques minutes de l'extase mais...

E: arrête slave

Je stoppais, car non seulement il c'était aventurer au de-la de mon ordre, mais aussi parce que ces mains et ces épaules qui tenaient mes cuisses tremblait, et je pense bien que ce n'était pas à cause de mon poids, mais plutôt de la frustration de ne pas ce toucher qui était même très amusante à observer. Le voir frustré et souffrir, c'était mon équivalent du plaisir sexuel.

J'entourais mes jambes autour de ses hanches, l'incitant à s'avancer un peu plus, de-là mes mains s'aventuraient dans son dos qui frémissait au bout de mes doigts.

Je pris ensuite son cou pour le mordre et l'embrassais jusqu'à en laisser de grandes marques puis je pris un de mes bonbons à la menthe que j'avais apporté, le mis dans ma bouche. Puis je commençais à l'embrasser langoureusement avec cette sensation de chaud/froid très apaisante comme si nous étions en apesanteurs puis je mordrais ses lèvres jusqu'à ce qu'il en redemande pour le frustrer.

E: comme tu as été désobéissant, je vais te donner le fessé.

N: mais maîtresse, tu avais l'air d'en avoir tellement envie que je...

Je ne l'écoutais déjà plus que je le fis allonger son torse sur le lit, remontant ses fesses.

E: sale chien tu dois compter jusqu'à 5, c'est le nombre de coups que tu recevras.

*paaaaf

N: un...

*paaaaf

N: deux...

*paaaaf

N: trois...

*paaaaf

N: quatre...

*paaaaf

N: cinq... Ah.. Ah aaa...

E: bon slave, tu as bien compté, mais maintenant met toi debout.

Il se redressa avec un peu de difficulté, je regardais ses fesses légèrement rouges que je commençais à masser pour dissiper la douleur. Il gémit un peu puis je le retournais pour le pousser sur le dos sur le lit puis je me mis à califourchon sur lui, ramenant ses bras en haut de sa tête que je finis par attacher avec ma ceinture. Assise sur lui, je pouvais sentir quelque chose de chaud, dure et mouillé sous son boxer se frotter contre mes fesses.

E: maintenant à moi t'abuser de ton corps.

Soumis pour une nuit [terminé] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant