Nymphe. (PJM)

Chapitre 4

 Je réussi a me retrouver malgré que le palais sois immense, tout les regards se tournèrent vers moi quand je passa la porte de la grande salle.

– Où es le prince? Me demanda une voix capricieuse.

J'eus un sourire cruelle.

– Sûrement là ou je l'ai laisser.

Mon père s'approcha de moi avec un aire sombre sur son visage. Il m'emmena dans ma chambre.

– Tu peu me dire, jeune fille ce qui t'as pris? LE PRINCE! Tu est donc dépourvut d'intelligence?

Il me fit la leçon pendant environs trente minutes, même si j'écoutais rien mais ça m'ennuyait.

– C'est bon tu as fini? Le coupai-je enfin.

– Certainement pas! Je n'arrive pas a croire ce que tu viens de faire!

– Écoute qui es-tu pour moi? Celui qui m'a élever, non. Celui qui a autorité sur moi, encore moins. J'ai fais ma vie sans toi, sans vous tous. Fait attention. Tu ne sais pas qui je suis, tu ne me connais pas. Sort de ma chambre je suis fatiguer.

Mon père parti, ou plutôt je l'expulsa de ma chambre.

Plus tard.

J'entrais dans la grande salle une main sur mon ventre, j'ai un mal de ventre insupportable. Le poison est un met très répandu a la cour, c'est un problème.

Je vis Jimin avec ses dames d'honneur me regarder d'un aire narquois, et les dames a coter de lui riait une main sur leur bouche.

– Vous vous portez bien mademoiselle Élise?

– Pourquoi?

Il regarda ma main sur mon ventre.

– Je suppose que c'est pour dans quelque mois on ne vois pas encore de rondeur.

Je fronce le sourcils, qu'est ce qu'il raconte? Il poursuit.

– J'imagine que avec tout ces humains vous avez dû vous en douté.

Ses dames rirent plus fort et moi je suis perdu.

– Heu... Je suppose? Me risque-je.

Ils rirent encore plus fort, zut c'était pas ça qu'il fallait dire.

– Vous savez qui est père ou votre mémoire a besoin de le retrouver parmi tous? Je veux dire vous êtes comme même une nymphe c'est dans votre nature.

Oh, le con. Jimin venait d'insinuée devant toute la cour que j'étais enceinte et que en plus je couchait avec tout les garçons qui passais car c'était dans ma nature. Je rougie jusqu'à la racine des cheveux.

Je le déteste, de le tout mon cœur, je le déteste.

– Mmm. Le père... Bonne question, je cherche encore. Quoi qu'il en sois je puis vous assurez que vous êtes rayer de la liste, il y a aucune chance que ce sois vous car... Enfin bref sur ce je vous laisse essayer avec d'autre. Bonne journée.

Le sourire de Jimin c'était figée et les dames avaient arrêter de sourire.

Je partis en furie, il veut jouer? OK, il ne me connaît pas.

Ellipse deux semaine.

Jimin me déteste, et c'est réciproque. C'est le plus grand crétin prétentieux que je connaisse et pourtant j'en connaît tout un rayon. Son père, le roi Namjoon est toujours fâcher avec son fils et il me tien pas rigueur de comment je me comporte avec son fils. Namjoon est un roi très respectable, gentil et responsable, Je l'aime beaucoup il a toujours été très amical avec moi. Quand a la cour est toujours ce qu'elle a été une fois de plus je suis tombée malade a cause d'un autre poison et une autre foi j'ai été prit dans un piège et j'ai été moquer insulter. Mais je garde la tête froide au gaminerie des fée. Toute ma bande me manque Emma me manque, c'est fatiguant de ne pouvoir faire confiance a personne.

– Mademoiselle! Mademoiselle je vous en prit, attendez moi!

Je me retourne et vit Hoseok me courent après. Je m'arrête et je le laisse souffler.

– Le... Roi... Le roi vous demande. Je vais vous menez a lui.

Il me mena dans l'immense palais, même après deux semaine je n'arrive toujours pas a m'y retrouver et j' m'y perd souvent. Nous arrivâmes devant une grande porte de chêne.

– Le roi vous attend.

Il m'ouvrit la porte et je vis le roi Namjoon dans son bureau. Quand il me vis il me retourna un regard fatiguer. Heseok referma la porte derrière moi.

– Venez mademoiselle Élise.

– Votre majesté se port-elle bien?

Il fit un demi sourire.

– Venez vous installer a coter moi, voilà.

Il me regarda avec tendresse.

– Vous devez trouvez la cour bien ridicule.

– Doit-je vous répondre avec franchise?

– Oui, avec moi parler moi avec confiance.

– En effet j'ai du mal avec la cour toute ses fées qui se pavane, ils conspirent se moque mais ils ne valent pas mieux que leur dire.

– J'en ai bien conscience, mais je sais que vous êtes en conflit avec mon fils, Jimin.

– Et bien, il est vrai que je n'apprécie pas beaucoup votre fils... Et c'est réciproque croyez-moi.

– Je vous crois, mon fils a beau être des plus épuisent vexent ou même ingrat, il n'ai pas méchant. Je vous prit de le comprendre, vous qui détestez la cour plus que tout, imaginer ce pauvre garçon qui a dû grandir dans cette ambiance venimeuse. Il a voulut partir souvent il a fait des fugues, mais il ne pouvait pas quitter cette atmosphère étouffante.

Je frissonne d'horreur.

– On l'a toujours considérer comme le Prince, fils du roi et c'est tout. Mais personne ne voulait savoir qui il était vraiment, il n'avait pas son mot a dire. Il ne pouvait pas s'exprimer normalement, et pendants longtemps il a bégayer et il a été sujet de moquerie a la cour, et à ses quatorze ans il a fait une pousser de croissance qu'il l'a considérablement changer, physiquement et mentalement. Il a arrêter d'essayer d'être lui même et c'est fondus dans un moule. Je puis vous assurer qu'il vous ressemblait en bien des point avant d'être comme cela, mais il a été terriblement blesser. Il avait besoins d'une maman, mais elle est morte bien trop tôt, et au lieu de ça il a été élever par la pire mère possible, la cour. Il n'ai pas comme vous le voyer, il est a la fois bien plus fragile et bien plus fort.

J'acquiesce doucement.

– Qu'attendez-vous de moi?

– J'y réfléchie, mais vous m'êtes très précieuse et j'ai l'intime intuition que mon fils est liée a vous.

– Je vous remercie, votre majesté de vous êtes confier a moi, j'avoue avoir été bien égoïste devant le prince. Je vous remercie de m'avoir éclaircie les idée, je vais tenté d'être plus indulgente pour votre fils.

– Ne le soyez pas trop, et je vous en prit appeler par son nom, cela lui fait du bien. J'ai été un père trop dur. Vous pouvez disposez.

Je repartie éberluer.