CHAPITRE 9

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En média : le frère d'Akim
         Eric Lohoues

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_ Ta connaissance habite où ?

_ Nous sommes dans le même quartier maman.

Je suis dans la voiture avec ma mère en direction de l'hôpital. Nous sommes arrivés chez Odile. On la prend et ma mère sort du quartier et prend la direction de l'hôpital.
Moi et Odile on est pas vraiment de bon amis alors la tension dans la voiture est plutôt tendu.
On arrive enfin à la clinique. Je me presse de descendre.
Quand on arrive j'apperçois plusieurs personnes sur des bancards certains sont blessées, d'autres sont transportés et ils sont immobiles ; je crois qu'ils ont atteint le sommeil éternel.
je ne me vois pas médecin, je crois que je ne vais pas supporter ces malades, ce liquide rouge qui sort des veines de ces personnes quand ils se blessent ou quand on doit les opérer; oui je ne supporte pas la vue du sang ça me rend malade et je vais pas supporter que des personnes meurent dans mes mains. Je ne me vois absolument pas dans cette fonction.
On rentre tous dans l'Hôpital ; ma mère devant nous.

(En média : Aurélie Eliam la mère d'Akim)

Quand on rentre dans l'Hôpital, ma mère nous emmène directement dans la chambre d'Odilonne. Arrivé dans le couloir où se trouve la chambre d'Odilonne je vois deux personnes devant la chambre. Il y'a une femme plus âgée et une jeune fille.

(Mireille Kouma la tante paternel d'Odilonne et d'Irène)

Ma mère s'approche d'elles et les salue. Moi par contre j'ai trop peur.

_ Bonjour Odile comment tu vas, dit la jeune fille

_ Bien je vais bien Irène et toi, répond Odile.

_ Je vais mal j'attends qu'Odilonne se réveille ça m'inquiète, ajoute t-elle

Si seulement elle savait que je suis la cause de tout ça je pense qu'elle va me tuer.

_ Alors qui est ce ?? demande t-elle en m'indexant

_ C'est un ami d'Odilonne; il s'appelle Akim. Il voulait savoir comment elle va, répond Odile

Je suis super gêné, je tourne sur moi en regardant de gauche à droite et je m'arrête quand je vois le tableau qui me faire face.
C'est Odilonne ! elle est couchée comme si elle est mo......
Putain je dois pas penser ainsi, elle n'est pas morte, elle est encore vivante.
Sans même que je m'en rend compte je me retrouve dans la chambre d'Odilonne.
Je l'observe en me manquant pas d'explorer ce beau visage

_ Finalement tu es belle quand tu dors, dis je en carressant son visage c'est plus fort que moi, mais j'aime tu es plus belle quand tu es éveillée, je continue, alors stp Odilonne lève toi rend moi la vie difficile parce que tu me manques beaucoup.
Oui, je sais que tu m'entends pas mais tu me manques énormément et je veux que tu te  réveilles  me gifler comme tu as  l'habitude de faire quand je joue au gros con.

Je crois que c'est plus facile pour moi de lui dire cela parce qu'elle est endormi mais je regrette mon acte et j'étais sincère dans mes propos. Je tiens toujours ses mains, je l'ai retiré lentement pour ne pas lui faire mal. Et je prends le chemin de la sortie.

_ Hummm, j'entends, ailllle ..... Où suis je ?

Je me retourne lentement et quand je lui fais face Odilonne est réveillé.
Oh mon Dieu ! Merci de m'avoir exaucé.

Elle regarde autour d'elle et s'aperçoit de ma présence. Elle fronce les sourcils automatiquement.

_ Bordel tu fous quoi ici ? hurle t-elle, et où suis je,? hurle t-elle encore plus fort.

Elle va pas changer, elle vient de se réveiller et elle commence à faire sa folle. Ça me fait rire même.

_ Je te parle et toi tu ris je suis pas un cloone

_ Je suis content de te voir en bonne santé Odilonne.

_ En bonne santé?

Elle regarde autour d'elle et constate qu'elle est dans une chambre d'hôpital et elle se calme.

_ Je me souviens maintenant, dit elle plus calmement, c'est toi qui m'a poussé dans ces maudits escaliers ; c'est de ta faute si je suis dans cet état ; je suppose que tu es content de toi ??

Je baisse la tête, elle a totalement raison.

Une femme rentre en trombe dans la chambre, me dévisage puis dit

_ C'est toi qui a poussé ma fille dans les escaliers ? me demande une femme en m'indexant

_ Euh ... Au fait ... Euh mada...  je balbutie

_ Qui est ce jeune homme ? demande t-elle,

_ C'est mon fils madame Kouma, répond ma maman.

C'est femme se retourne et fait face à ma mère.

_ Vous savez donc ce que votre fils a fait ?

_ Oui

_ Et vous l'avez emmené pour terminer son travail

_ Madame c'était un accident, dis je.

_ Toi si tu ne veux pas plus d'ennuis, me dit elle, je vais porter plainte pour tentative de meurtres
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PDV d'Irène

Quand ma maman a dit cela on était tous surpris, elle n'ira pas jusqu'à là. Je crois que son métier d'avocate lui monte à la tête

_ Maman tu en fais trop, dis je

_ C'est pas à ton niveau Irène.

_ Maman ce que Irène dit c'est vrai, commence Odilonne, arrête c'était un accident et en plus je l'ai provoquer en le gifler, termine t-elle en baissant la tête.

Tout le monde garde la bouche ouverte quand elle l'a dit.

_ Ça filston tu ne m'as rien dit, dit la mère d'Akil en s'adressant à son fils en se moquant de lui , alors là ma fille tu as une caractère de fer ; c'est bien je t'encourage à le corriger quand il le faut, termine t-elle en riant de plus belle.

_ Si j'étais à sa place je te pousserai dans ces escaliers comme il l'a fait, dis je.

_ Ok mais moi je l'ai pas fait exprès, se défend Akim

_ ma petite fille, dit la mère d'Akim, je suis heureuse que tu t'es enfin réveillée et pour punir cet individu qui est Mon fils il sera ton esclave

_ Quoi ? Maman ! Crie Akim pendant que Odilonne est morte de rire.

_ Tu as bien entendu filston et ne crie plus jamais ainsi tu es dans un hôpital et il y'a des malades qui se réposent, dit la mère d'Akim, et puis tant qu'elle ne se sent pas bien tu seras toujours à son service H24/H24 ok?

_ Maman j'ai cours pendant les semaines

_ je sais, répond elle simplement

_ et comment j'irai à l'école si je dois m'occuper de madame H24/H24 ?

_ Après tes cours tu reviens immédiatement ici et tu te mets au travail et n'oublie pas de lui envoyer ses devoirs et leçons de classe.

_ Après tes cours tu reviens immédiatement ici et tu te mets au travail et n'oublie pas de lui envoyer ses devoirs et leçons de classe

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( Christine Beugre la mère de? Odilonne et d'Irène)

Akim est abasourdi, le pauvre, pendant ce temps Odilonne est toute contente et saute de joie sur son lit.

Aïe! le pauvre, courage à lui

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 17, 2020 ⏰

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