Ponte-Novu, la bataille de La Liberté

Victoire Corse À Borgo

Le 28 août, les troupes françaises ont débarquer à Saint Florent et ont très rapidement envahit tout le cap Corse, descendant jusqu'à la Casinca. Mais fort heureusement, nous avons reprit les hostilités et avons forcé les français à reculés et à évacué la Casinca. Mais il leur reste toujours un avant poste à la Marana, U Borgu. Le Général vas donc entreprendre la prise de Borgo avec 1400 hommes, tandis que les français dirigé par Ludre sont 700. Je fais partie du 2ème corps dirigé par le commandant Serpentini et les capitaines François Gaffori et Pierre Gavini. Nous sommes chargé d'asssailir les retranchements française à l'est du village tandis que le premier corps s'occupe des positions Ouest française et le 3ème corps de défendre la route du Nebbio et de contenir les français qui occupe Oletta. Au petit matin, le Général excita notre ardeur avec cette simple phrase : : « Patriotes, rappelez-vous les vêpres corses, lorsque sur ce même lieu vous détruisîtes les Français. L'honneur de la patrie et la liberté publique ont besoin aujourd'hui de toute votre valeur. L'Europe nous regarde ». Nous sommes prêt !
Ça y est, nous y sommes. Nous nous préparons pour partir. Il est 8 heure. Les officiés donnent l'ordre d'avancer. On avance en ordre de bataille en direction des retranchement Est des français. Arrivé sur place, les canons français pillonent nos positions. Fort heureusement, les français ne savent pas où donner de la tête grâce au 1er corps qui attaque à L'ouest. Au loin on peu apercevoir le 3ème corps faire face au troupe française cantonné qui arrivent en renfort. Nous continuons d'avancer et entrons dans Borgo sans rencontrer énormément de résistance. Très vite les hommes de Ludre déposent les armes et sont fais prisonnier. De l'autre côté, les français de Marbeuf, et Chauvelin perdent 600 hommes plus 1000 blessé. Nous avons remporter la bataille !
Durant les mois qui suivirent, mon régiment et moi même restèrent cantonné à Borgo. D'après les nouvelles le roi de France avais comme projet de laissé la Corse tranquille après cette défaite qu'ils avaient subis. Malheureusement, le duc de Choiseul réussi à faire envoyé un deuxième corps expéditionnaire, au début printemps, de 24 000 hommes et une artillerie nombreuses commandé par le compte de Vaux. Cette fois ci... Se sera plus compliqué de vaincre les français, en effet l'armée national comporte 15 000 hommes et très peu de canons.