La Bataille De Ponte-Novu

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Nous sommes le 5 mai 1769. En face de nous, on voit les troupes française avancer. L'artillerie française bombardent nos positions depuis tôt ce matin, nous n'avons pas eu le temps de nous reposer et nous sommes fatigués. L'artillerie ennemis à réussi à faire des brèches dans nos positions. Nous attendons les ennemis. Quand soudain les voilà à porter de tir ! Les officiers ordonné d'ouvrir le feux ! De tout côté on entend les détonations des fusils et le ciel s'assombrit sous la fumé de nos armes. J'ai la bouche plein de poudre à force de recharger mon fusil. Autour de moi, nombre de mes camarades tombes, tué par les français... Notre inexpérience du combat nous fait malheureusement défaut face à cette armée qui au contraire en a !

Soudainement on apprend que Marbeuf a enfoncé nos lignes, à Borgo et que Rafaelli à été forcé de se replié. Au bout de 3 jours de combat les français on finalement réussi à avancer sur notre flan droit ! Maudit soient-ils ! Le Général a ordonné à Serpentini de reculé également. Mes camarades continuent de tombés les uns après les autres. Certain me tendent la mains avec une feuille, une lettre, destiné à leur femme, leurs enfants et leur famille avant leur dernier souffle... Mais je ne peux me permettre de me déconcentré. Je charge mon fusil tout souhaitant la paix à mes frères d'arme dans l'autre monde. Je tire et atteint un français en pleine tête. Soudainement, notre officier ordonné le replis sur Lento, le Général, voyant nos pertes s'élèvé et aucune chance de victoire préfère nous garder en vie pour réformer correctement l'armée avant un nouvel affrontement.

Le lendemain, nous sommes rejoins à Lento par Grimaldi qui lui aussi a dut se replié. Quel honte... Et rebelotte, le 7 mai nous abandonnons Lento face au français, les troupes prussienne et suisse, sous le commandement de Gentili se positionnent à Ponte-Novu afin de bloquer l'avancer française et nous permettre un replis "correct".

Nous sommes maintenant le 8 mai, le Général ordonné la contre attaque à Lento. Pour se faire, Pascal Paoli attaquera la ville de 3 côtés avec les troupes de Gentili, Grimaldi et Pierre Colle partie de Rostino.

L'assaut est lancer, les canons tonnent et enfonce nos lignes. Mais nous ne cédons pas ! Il est hors de question de céder face au français ! Nos pertes grandissent malgré notre acharnement à vaincre ! Nous gravissons au pas de course la colline qui mène vers Lento, essuyant les tirs ennemis. Arrivé en haut, ceux ayant la chance d'avoir une baillonette attaque au corps à corps telle des lion enragé ! Les français se replient ! Victoire !! La joix emplit nos cœurs ! Mais nous n'avons pas le temps de respirer, les français lance immédiatement une contre offensive, cette fois ci nous plions et nous nous retirons en ordre sur la rive droite du pont ou malheureusement nous attends les troupes française de Marbeuf qui sont en hauteur. On décident alors de passer le pont dans un désordre total ! Mais arrivé à hauteur du pont, les Prussiens qui on ordre de laisser personne passer font feu ! Nos commandant corses ne parlant pas très bien l'allemand une confusion immense se mets en place. Nous nous faisons laminé ! D'un côté les français, de l'autre les Prussiens ! Nous n'avons pas le choix, il faut se battre ! Nous allons chercher les cadavres de nos camarades morts afin de faire un Rempart de leur corps nous permettant de rechargé avant de tirer. C'est un vrai carnage, afin d'affermir notre Rempart, nos blessés s'y rajoute. C'est un véritable carnage. Tout nos amis tombent les uns après les autres et finissent par rejoindre le Rempart. Le sang coule de tout côté teintent ainsi les eaux du Golo... Il reste plus qu'une poignée d' homme et j'en fais encore partie... J'entends tout autour de moi les râles des blessés souffrant de leur blessure, les balle siffles de toute part tandis qu'un officiers dans un suprême effort nous encourage. Puis plus rien. Je tombe à la renverse, frapper par une balle à la poitrine. En heurtant le sol, ma vue se brouille, mais j'ai le temps, avant de m'endormir pour toujours, de voir le visage de mon père qui combattait depuis tout se temps à mes côtés. Je mourrais alors à ces côtés.

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Vous trouverez en piece jointe ci-dessous le déroulement de la bataille sur une carte

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Ponte-Novu, la bataille de La LibertéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant