PETITE ANECDOTE 49 : SPORT

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Année 1943

Strucker était très en colère contre Zola et Zemo car ça devait faire la cinquantième fois qu'ils ce faisaient enlever, par les alliés, et que les autres avaient été obligé d'aller les libérer. Il leurdit alors :« Ce n'est plus possible ! Sérieusement ! Vous êtes pas foutue de vous battre sans vos armes ! Il faut que ça change !

-On n'est nul au combat, on n'est nul au combat ! Accepte le !On est des scientifique pas des combattants ! Lui rétorqua Heinrich.

-Mais d'habitude vous arrivez au moins à vous enfuir quand la situation vous échappe ! Il c'est passé quoi cette fois ?

-Ben.....Euh.....J'ai tellement paniqué que j'ai fais n'importe quoi et je me suis encastré contre un mur ! Répondit honteusement Arnim.

-Et toi Zemo ?

-Ben, je me suis tellement foutue de lui que j'ai oublié qu'il y avait des ennemis ! Ha ! Ha ! »

Le baron ria nerveusement se rendant compte que le vieux allait se mettre en colère. Strucker se plaqua la main sur le visage en soufflant :

« Vous êtes pas possible..... »

Il se remit d'appoint et leur dit avec fermeté :

« Ça suffit ! Dorénavant je vais vous entraîner comme je le ferais avec des soldats ! »

Les visages de Zola et Zemo se décomposèrent à cette phrase détestant,tout deux, particulièrement le sport. Strucker leur ordonna alors :

« Allez vous mettre en tenue de sport !

-On n'a pas des tenues de sport ! Répliqua Heinrich.

-Mais enfin comment c'est possible ?

-Ben ça sert à rien d'avoir une tenues dont on se servira jamais !Continua Arnim. De toute façon il n'y en a pas à ma taille.....

-C'est pas grave je vais demander à notre costumier de vous en faire ! »

Zola et Zemo se regardèrent désespéré.

*****

Le lendemain 5h00 du matin

Strucker ouvra doucement la porte de la chambre de Zola, qui dormait encore,il s'approcha discrètement de son lit avant de jouer brutalement un coup de clairon et lui hurler :

« DEBOUT SOLDAT !!!!!! »

Le petit scientifique hurla de terreur et tomba de son lit. Il se releva péniblement et tremblait comme une feuille. Strucker le sortit de la chambre et lui demanda de l'attendre ici avant d'aller faire la même chose à Zemo qui eu une réaction bien différente. Répondant à ce coup de trompette avec un rayon de la mort qui failli toucher lev ieux. Après l'avoir sévèrement engueulé il leur donna les tenues de sport, qui était tout simplement une tenue militaire à manche et pantalon long. Lorsqu'ils sortirent tous les trois à l'extérieur Strucker leur dit :

« Vous allez rejoindre les nouvelles recrues pour suivre l'entraînement ! Eh ! Attends Zemo !

-Quoi ?

-Enlève ta cagoule !

-Nein !

-Mais pourquoi ?!

-Parce qu'il suffit qu'une de tes nouvelles recrues viennent du village que j'ai détruit et je me fais buter ! Alors non ! Je l'enlève pas ! »

Strucker ne se battu pas plus sur ce sujet sachant que Heinrich pouvait être très têtu quand il s'y mettait. Ils rejoignirent les autres soldats et Strucker ordonna :

« GARDE A VOUS ! »

Tous les soldats se mirent au garde à vous sauf Zola qui était trop impressionné par autant de gens de grande taille et Zemo qui regardait dans le ciel se disant qu'il devait y avoir des choses plus intéressante à voir en haut. Strucker les voyants se mit à ricaner et leur cria :

« DIS DONC VOUS DEUX VOUS ALLEZ BAILLER AUX CORNEILLES ENCORE LONGTEMPS ?! POUR LA PEINE VOUS ALLEZ ME FAIRE DIX POMPES ! »

Les deux regardèrent le vieux, mais pas de la même manière, Arnim le regarda avec désespoirs alors qu'Heinrich bouillonnait de l'intérieur. Strucker continua :

« ALLEZ MAINTENANT ! C'EST MOI QUI COMPTE ! 1 ! 2 ! 3 !ZOLA RELEVE TOI ! ON REPREND ! 1 ! 2 ! 3 ! 4 ! 5 ! ENCORE DOMMAGE ZOLA ! »

Vingt minutes plus tard, ils finirent leurs pompes et Zemo ne voulait qu'une chose c'est trucider Zola. Le concerné lui était à moitié mort sur le sol. Strucker finit par dire :

« BON ! LA PAUSE EST FINIE ! ALLEZ ! ON Y VA ! »

Ils se mirent à courir en direction de la forêt et finirent très vite par devancer largement les deux scientifiques. Zemo finit par dire :

« Ça suffit ! J'en ai ma claque ! On rebrousse chemin !

-Mais M. Strucker va vite se rendre compte qu'on n'arrivera pas à l'arrivé voir pire viendra nous chercher !

-Rah ! »

Ils se mirent tous deux à marcher lorsqu'ils virent un cimetière de voitures. Une idée leur traversa alors l'esprit.

*****

Strucker et les soldats continuaient de courir lorsque soudain ils entendirent un sifflement, comme si quelque chose allait extrêmement vite. Ils se retournèrent pour voir d'où provenais le bruit. Ils virent alors un bolide, sans toit et entièrement de métal rafistolé avec un réacteur à la place d'un moteur lambda, arriver à une vitesse folle vers eux. Tout le monde sauta dans les buissons pour ne pas se faire écraser il entendirent alors quelqu'un hurler de terreur tandis qu'un autre cria en riant : « WOUHOU ! »les soldats et Strucker se firent dépasser et, lorsque Zemo et Zola arrivèrent au point d'arrivé, Heinrich descendit de la voiture reconstruite et le baron leur dit en les narguant :

« Alors les gars ! On se traîne ?! »

Il les regarda avec un regard de victoire et de défi, Arnim, quant à lui sortait difficilement du bolide tremblant encore. Strucker s'approcha d'eux et leur demanda :

« C'est quoi ça ?!

-Un moyen intelligent de s'enfuir s'en avoir à ce fatiguer bêtement !Aller salut ! »

Aces mots il remonta dans l'automobile avec Zola et redémarra, en faisant exprès de faire un levé de poussière dans la tête de Strucker, le vieux ce jura de ne pas les laisser s'en tirer comme ça.




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