Ce tueur (Gaara/Matsuri)

Chapitre 10

Matsuri : Vous ? 

Gaara : Reste derrière moi 

Dit-il de son ton habituelle en avançant vers les soldat, glaive en main, il les tua tous avec un peut de difficulté en raison des autres combat qu'il avait mené avant, la fatigue commençant a le gagner de plus en plus, même mutant. Il recula de justesse lorsque le des poutre commencèrent a s'effondrer, il partit en courant, emportant Matsuri avec lui, la tenant par le bras comme a son habitude, ils sortir du château en toussant a cause de cette fumée bien trop épaisse, Gaara s'arrêta lorsqu'une nouvelle troupe arriva, terminant de tuer les dernier soldats, il tira la princesse dans les rue et se cacha des soldats, ils n'allait pas mettre longtemps a les trouver et avec Matsuri, il allait être bien trop handicapé, il retira sa cape et lui mis sur les épaule, mettant immédiatement la capuche, Matsuri ne put voir son visage, alors qu'elle allait relever la capuche, la main de Gaara se posa sur sa tête, l'empêchant de voir son visage 

Gaara : Part de la ville et court vers l'ouest, t'a mère a mené la plus part des habitants et des soldats loin de la ville, va toujours vers l'ouest, tu finira pas les trouver 

Matsuri : Mais-

Gaara : Fait ce que je te dit

Matsuri : Attendez, j'ai des questions 

Gaara : L'heure n'est pas au questions 

Matsuri : Je ne partirait pas. 

Gaara : ts, qu'est-ce que tu veux ? Fait vite 

Matsuri : Pourquoi vous êtes revenu ? 

Gaara ferma les yeux et soupira, il prétexta que sa mission n'était pas terminé, mais en réalité, il ne savait pas s'il refusait de s'avouer que cette gamine avait été un agréable compagnon lors de cette semaine, ou si c'était vraiment la mission, il ne savait pas ce qui l'avait poussé a galoper vers la ville en sachant qu'elle allait probablement se faire de nouveau avoir ou même tuer, il ne savait pas, et ne pas savoir l'énervait, mais la première option, il se l'interdisait, sa ne voulait rien dire, mais bien qu'il soit resté silencieux la plus part du temps, Matsuri l'avait amusé le long de cette semaine et elle avait monologuer plusieurs sujet tous aussi diverse et varié soit-ils, ses habitudes royale l'a rendait drôle et...mignonne parfois, il lui ordonna de partir maintenant, la retourna 

Matsuri : Mais je ne sait même pas qui vous êtes, ou même votre prénom 

Gaara : Rejoins ta mère, et passe lui mes amitié 

Ils entendirent les soldat arriver en courant, leur armure seule accompagnateur des flammes brûlants 

Gaara : Part maintenant, je vais les retarder du mieux que je peux, informe en la reine 

Matsuri : C'est du suicide ! 

Gaara : Fait ce que je te dit. 

Le soudain ton de l'homme fit taire Matsuri, elle ne se retourna pas, serrant les point sous la cape 

Matsuri : Allons nous nous revoir ?

Gaara : Probablement pas -murmura t-il- Sa ne te regarde pas, maintenant dégage. 

Matsuri partit en courant lorsqu'il l'obligea a le faire, il pris fermement son glaive en main et sortit de la rue, la ou était les soldats et les regarda fixement, il se décida a employer tout ce que sa mutation pouvait lui offrir, tous ces entraînement qui l'avait tant fait souffrir, qui l'avait fait gerber son sang pendant toutes ses années, tous ces enseignements, il se décida a l'es employer maintenant, contre des troupes de soldats, pour d'autre, il courait a la mort, pour lui, il honorait sa mission, c'est ce qu'il se disait, mais ce qui le motivait, c'était cette gamine qui l'avait amusé pendant cette maudite semaine, lui qui s'était pour tant promis de ne plus jamais être amusé par quiconque, lui qui avait accepté la destruction de ses émotions et de ses sentiments, lui qui avait tant voulu s'en débarrasser, aujourd'hui il se retrouvait a avoir apprécier la compagnie d'une stupide gamine ! Une gamine qui l'avait amusé et énervé en même temps, au diable la peur, aujourd'hui il voulait simplement se battre pour défouler sa colère qu'il avait tant calmé par le passé, cette colère si soudaine, lui même ne connaissait pas la raison de cette colère, mais elle était présente, et il ne voulait pas la calmer, et pour rien au monde il ne l'aurait calmé