" - Encore un Arbi d'enfilé, rompez ! Encore un Arbi d'enfilé !
- Sans fricot, sans pain au cinquante-trois,
On n’ boit que du vin !"En ce matin du 21 janvier 1915 je me réveille en entendant le refrain des 18ème et 53ème BCA. Les renforts arrivent. Nous sommes avertie par notre officiers que les allemand on également reçu des renforts, mais on ne sais pas exactement combien d'homme.
Durant la nuit, des hommes chargés de l'approvisionnement sont passer mais n'ont pas eu la chance de pouvoir rejoindre la tranché. Un tir de sniper les a mis à terre. Nous avons encore des provisions mais sans approvisionnement nous ne tiendrons pas. On décide alors de récupérer les corps à l'aide de grappin afin d'éviter de risquer notre vie face au sniper ennemis. On lance alors un grappin sur le corps du soldat et le tirons. François, le nouveau du régiment qui nous a rejoins récemment lève légèrement la tête. Pfiout. Un bruit sourd et on le vois s'effondrer. Un tir en pleine tête lui a été fatal. Putin de boche ! Nous avons la rage ! Nous nous devons de le venger ! Mais on sais très bien que nous ne devons pas faire de bêtise car le moindre faux pas nous être fatal et notre sous-officier nous rappelle a l'ordre. Nous continuons à tiré le cadavre du soldat mort. Une fois dans la tranché nous lui retirons son sac remplie de pain. Le sac est toute humide à l'intérieur rendant le pain pâteux, mais on se contentera de ça !
Notre officier sors de sa tente pour nous annoncer de nous préparez, l'assaut vas commencer. Je m'empresse d'aller chercher mon fusil, de vérifier mes cartouches et et que j'ai bien tout mes effets sur moi. Je me positionnes derrière mes camarades déjà prêt au niveau des échelles. On attend, inquiet mais impatient le coup de sifflet sonnant l'assaut. Cinq minutes déjà qu'on attend, notre lieutenant guette le signal. Tout un coup on entend le télégramme. Le lieutenant sors de sa tente, prends son sifflet et souffle dedans. Le crie strident nous prend au tripe, tout le monde se mets au branle bas de combat et monte un à un les échelles menant au champ de bataille. On aperçoit au loin les chasseurs des autres bataillons monté également à l'assaut. Tout un coup en face se fait entendre les tirs de mitraillettes et des fusils allemands. Nos premières lignes plié dès les premiers tir ennemis. Véritable carnage ! Je passe non loin des arbres morts afin d'augmenter mes chances de ne pas me prendre de balles. J'arrive au niveau des lignes allemandes. Je rentre dans leur tranché et tue un allemand à coup de baillonette. Très vite je suis suivie par quelques camarades et on avance dans la tranché ennemis. On utilise tout pour nous protéger notemment les cadavres des ennemis ou même de nos anciens compagnons en décomposition. En avançant dans les boyaux que sont les tranchées , on croise des allemands. Notre progression est vraiment lente à cause du nombre de boche qui ne cesse de d'augmenter tandis que notre groupe diminue au fur et à mesure qu'on avance. On vois, plus loin, nos compagnons se faire éliminé à une vitesse folle sur me champs de bataille devant les ennemis. Mais côté allemand les pertes se font sévère également! Sans artillerie à proximité, seul notre combativité, notre courage et notre nombre ferra ma donné dans se combat. Soudainement on entend une explosion au loin et vois un objet monté en flèche dans le ciel puis redescendre.... sur nous! Se sifflement aiguë revient d'un, se sifflement qui prend au tripe et annonce la mort. Je saute alors à terre, très vite imiter par mes camarades . L'obus tombe non loin de nous mais par chance ne fais que très peu de dégât.
"- Mais merde! D'où viens cette obus?! Je croyais que les allemands n'avais pas d'artillerie ! Crie Stéphane, l'un de mes camarades de combat.
- Si seulement je le savais bordel! Mais si ils ont un soutiens d'artillerie alors on est cuit !
- Louis regarde là-bas! La d'où vient L'obus.
En effet, De loin on peut apercevoir les allemands avec un mortier léger.
- Merde, les enfoirés on réussi à monter un crapouillot sur le sommets ! On est mal les gars !
- Un crapouillot? C'est quoi cette chose?
- Le crapouillot c'est un mortier léger que les allemands appellent "minenwerfer". Si on veut vaincre les allemand nous devons neutralisé ce minen. Allons-y les gars!"Ni une, ni deux on se dirige en direction du mortier dans la ferme intention de le neutralisé.
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L'enfer des tranchées
Historische RomaneLa Grande Guerre fais rage et déchire les nations européennes. Louis Porteville, un jeune engagé fais partie des hommes mort pour défendre sa patrie, mort pour défendre la France. Il est née dans une petit village savoyard, en France, à Excenevex...