VÉRITÉ FALSIFIÉE[Terminé En Correction]

partie 4

La douce musique triste passait tandis que le président admirait son oeuvre de la vitrine. Aucune émotion n'apparaissait cependant sur son visage. Peu à peu celui-ci commença à s'ouvrir laissant apparaître un visage coupable. Une larme tomba sur son costume. Il prit une grande inspiration essuyant rapidement ses larmes. Une dame entra après quelques secondes.

-monsieur le Président

-oui, dit-il toujours de dos

-il... Il n'a pas décroché, il soupira de nouveau

-je comprend, il se tourna vers la dame en souriant elle se tourna vers la porte, mademoiselle Yashi

-oui monsieur ?

-croyez-vous que l'homme naisse mauvais ? demanda-t-il

-je ne sais pas, dit la dame embarrassé, pour moi personne n'est totalement mauvais mais on choisit quel aspect montrer

-selon vous une seule décision peut-elle changer toute une vie même si on la pensait innocente ?

-malheureusement oui

-c'est bien ce que je pensais, alors appelez mes conseillers dites leur que nous devons parlez du cas moyen-orient

-d'accord monsieur

Il s'affala sur son siège, la tête en arrière, il prit une grande inspiration et ferma les yeux. Après quelques secondes à se parler à lui-même il avait fini par ouvrir les yeux bien déterminé. Après quelques heures. Il arriva dans la salle de réunion. Ils parlèrent un long moment cherchant attentivement tous les moyens de ralliés le moyen orient à sa vision. L'un des envoyés de cette zone regardait depuis sans dire un mot. 

-vous ne dites rien, intervint un homme à la table en le regardant

-vous ne dites rien, demanda le président

-sauf votre respect il faudrait un miracle pour qu'Israël et Palestine se réconcilient cela fait tellement longtemps que ça dure que seul Dieu pourrait le faire... 

-Dieu, le président se mit à sourire, Dieu c'est chacun de nous

-en effet, dit un homme en entrant surprenant l'assemblé

-mais...

-je suis désolé de mon retard monsieur le Président

-il n'en est rien voyons prenez place, le président se tourna vers son assemblé, qui de mieux que le chef religieux le plus influant pour nous aider dans nos négociations dans des pays si religieux

-oui

-alors homme de Dieu que devons nous faire ?

-Il faudrait reconstruire le temple c'est un symbole pour Israël, l'homme continua à expliquer ce qu'il devait se passer et comment le président devait s'y prendre pour enfin réconcilier ces deux pays

L'on écoutait attentivement l'homme d'église, il regardait directement le président dans les yeux. Un silence s'était installé durant son explication, seul des hochements de têtes se faisaient dans la salle. Après quelques questions et les  la réunion s'acheva. La pièce commencait à se vider tandis que les deux personnalités les plus influentes restaient assises en s'observant silencieusement. Quand ils ne furent que deux, ils recommencèrent à parler. Finalisant leur décision. Ils choisirent un jour pour s'y rendre parler au président d'Israel et commencer les constructions. Le chef réligieux s'en alla à son tour. Laissant le président retourna à sa solitude. C'était pourtant ce qu'il avait toujours voulu, un monde parfait. Un verre en main, il repensait à tout ce qui s'était passé pour qu'il en arrive là. "Un seul choix" la vie se résume-t-elle à cela ? A soit être affecté par le choix d'un autre soit affecté les autres par son choix ? Peu importe le prix que cela lui avait coûté, il était bien là à la place qu'il a toujours voulu. Le président Chris posa finalement le verre sur la table l'ayant à peine touché. Il fit plusieurs pas dans son bureau discutant en lui-même contre lui même. C'était son rêve qu'il réalisait, il ne pouvait attendre plus longtemps, il était trop loin pour se retourner. 

Les jours qui suivirent, ils étaient de retour au moyen-orient s'entretenant tous deux avec les présidents. Les deux chefs d'état parler. L'un d'eux posa finalement sa coupe et ils se regardèrent droit dans les yeux.

-qu'est-ce que vous y gagner, vous en reconstruisant le temple

-un allié, dit le président mondial

-vous savez que je ne vous fait pas confiance, rétorqua son homologue franchement

-je n'en doute guère, la confiance c'est une chose superflus il faut se fier aux actes vous ne devrait pas repousser une main aidante

-hum... 

-vous avez pu voir que je pousse l'humanité a donné le meilleur d'elle même, contrairement à la plus part des politiciens qui n'ont cessé de faire ressortir le pire de l'humanité grâce à leur mensonge, moi j'ai fait ce que j'ai dit, on peut en conclure que je tiens parole

-je ne doutes pas que vous soyez un génie comme on en ai jamais vu président AlMakira mais...

-nous sommes entre nous, nous avons les même éducations nous devrions mieux nous entendre même les occidentaux on accepté qu'est ce qui vous empêche de nous rejoindre n'êtes vous pas fatigué de lutter ?

-oui mais...

-m. le Président je tiens toujours paroles même envers mes ennemies, dit-il

-est-ce une menace ? 

-je vous ai proposé d'entrer dans l'alliance mondial et vous avez refusé il serait vraiment insensé que vous laissiez passer un seconde chance, un peuple attend de son président qu'il prennent de bonnes décisions et qu'ils règlent les problèmes qu'ils rencontrent mais vous chère monsieur n'avez encore rempli aucun de ces critères

-vous n'êtes qu'un...

-je vous croyais plus grand que cela, je ne me rabaisse pas aux injures, répliqua le président Mondial, mon offre ne sera pas valable longtemps vous savez comme moi que le peuple n'attends que ça, donnez leur ce qu'il veulent, cessez la guerre, je contrôle l'économie mondial qui est mieux placé que moi pour redorer votre blason mais à condition que vous baissiez les armes et reconnaissez ma valeur vous sembliez avoir la mémoire très courte ne vous ai-je pas aider quand les pays se sont monté contre vous je n'étais même pas alors président

-oui et je vous en suis vraiment reconnaissant

-alors votre reconnaissance devrait se montrer en signant les papiers

-ce n'est pas une raison, vous me montrez votre véritable visage

-mais je n'ai jamais montré de faux visages je suis toujours Maysi AlMakira, un président tout ce qu'il y a de plus normal tel il est décrit dans l'oeuvre de Machiavel

-que voulez-vous réellement AlMakira ?

-je veux un monde parfait, dit-il en regardant la fenêtre un monde

-c'est une utopie

-les rêves peuvent tous se réaliser il faut juste en mettre le prix qu'il faut, quoi qu'il en soit monsieur le président je compte bien reconstruire ce temple faites rapidement votre choix

-les prix que vous demandez

-je vous propose ceci, je construis le temple et dirait que nous l'avons fait ensemble ainsi face à votre peuple vous devenez le héro qui leur a redonné ce qu'il avait perdu mettez de côté votre méfiance et penser à la gloire et la reconnaissance que vous avez toujours mérité qui seront enfin votre

-c'est d'accord mais il faudra du temps

-avec la main d'oeuvre robotique ce n'est qu'une question de semaine et je compte bien réaliser ce challenge