Partie 6

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Un brouhaha assourdissant traversait les foules. L'excitation était à son comble. Tout le monde regardait que ce soit de son portable à une télévision en passant par des écrans géant placés ici là pour permettre à un maximum de personnes de voir l'événement. Le temple était peut être fermé mais les sacrifices avaient repris et stopper aujourd'hui.

-pourquoi tu ne me laisse pas mourir ? Répliqua l'epoux du dirigeant

-parce que j'ai besoin de toi et que je t'aime

-torture-t-on celui qu'on aime ?

-aujourd'hui je vais inaugurer le temple de Jérusalem j'aimerai que tu vois ça

-hum... Il tourna la tête

-le temple est aussi majestueux qu'auparavant et ceux grâce à moi

-...

-je déteste quand tu me laisse parler seul

-par pitié Maysi laisse moi mourir

-non je ne veux pas te perdre

-tu m'as perdu il y a longtemps je ne sais pas pourquoi tu insiste autant ou bien c'est parce que personne ne peut entendre ce que tu es

-pourquoi tu veux m'abandonner ?

-quand on s'est rencontré tu n'étais pas comme ça Maysi

-mais j'ai fait tout ça pour toi

-arrête de te voiler la face toi et moi nous savons que tu l'as fait pour toi... Je t'en prie laisse moi mourir

Il prit un coussin derrière son épaule et le plaça au dessus de son visage avant de tenter de l'étouffer. Il le retira incapable de le faire. Il reprit le visage sévère.

-pour le meilleur et pour le pire, il prit une seringue et le piqua

-non !

-si je dois aller en enfer tu m'y accompagnera !

-égoïste, cria l'homme en pleurant, il se redressa en bonne santé et le gifla

-apprête toi dans quelques minutes je vais inaugurer le temple "chéri"

Il referma la porte derrière lui.

La voiture s'approchait lentement du temple. Le président et son époux demeurait néanmoins dans un silence lourd. A l'extérieur de la voiture tout était en mouvement, la vie foisonnait et pourtant... Lorsqu'ils descendirent de la voiture, ils affichèrent leur plus beau sourire. Il salua l'homme politique Israélien, puis fit un petit discours.

Se rapprochant prudemment des frontières Maritimes, les fugitifs tentait par tous les moyens de ne pas se faire remarquer. Il descendirent au port et le trouvèrent presque vide. Le peu de personnes qui y étaient en face d'un écran. Ils passèrent rapidement. Mais se stopperent en entendant les paroles du président. Cachés, ils observaient la scène.

Le président du monde conclut son discours. Prit les ciseaux et sous les applaudissements rompit le dernier lien. Il fut le premier à y entrer suivit de son époux et du deuxième couple présidentiel. Le temple était beau. Le peu de personne qui y étaient prenaient une grande inspiration.

Il marchait encore quand Asad se dirigea sur lui en courant épée en main. Maysi tourna à peine la tête que de sa tête à son ventre le sang jaillit. La foule prise de panique se mit à crier. Sous les yeux du monde entier, le président venait de se faire assassiner. Il tomba au sol, les boyaux à l'air. Tandis qu'on maîtrisait Asad. Son époux se précipita vers lui en attrapant sa main. Al Makira ferma les yeux. Son cœur s'arrêta et son corps se raidit.

VÉRITÉ FALSIFIÉE[Terminé En Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant