Draco Malfoy X Reader

Chapitre 23: La "Consultation".

13 Février 1992

Cela fait quelques mois, que je remarques certaines attirance envers moi, de la part de Draco. C'est alors que le Blond engageait une phrase, quand je décidais de partir.
Je me suis dirigée vers son dortoir, qu'elle partageais avec Neville cette année.
J'ai frappé à la porte, puis j'ai emmené Luna dans le parc.

Luna: Eh ? Qu'y a t'il ?

Moi: Tu penses vraiment que Dray crush sur moi ?

Luna: En vu de comment il te regarde....Ça reste à vérifier.

Moi: Mais y a une possibilité ?

Luna: Ça reste à calculer, mais je pense.
Mais dit-moi ? Tu l'aimes toi ?

Moi: Écoute Luna, je n'en sais rien. J'ai peur qu'il aille voirailleirs si nous sortons ensemble.

Luna tapait contre mon épaule pour me montrer quelque chose.
J'ai donc regardé dans cette direction, et j'eus un énorme pincement au coeur, à la vu de Draco embrassant Pansy.
J'avais envie de casser la figure de cette....
"Vous n'êtes pas ensemble, tu n'as rien a dire" me rabachait ma voix interieure.

Luna: Il doit essayer de te rendre jalouse ! Pourquoi devant nous ?

Entre temps, j'avais mis ma main fevant ma bouche, serrant les dents du plus fort que je pouvais.

Moi: Je ne sais pas. Il a beaucoup de fierté, c'est incompréhensible.

Il a posé son regard sur moi, et a sourit quand il m'a vu les yeux brillants. Il voumait me rendre jalouse.

Je ne suis parlais plus. On était revenu à la case départ.
Cela me détruisait de nous savoir revenu au départ.
Finalement, je crois bien que je l'aime.
Dans un élan de tristesse, j'oubliais ma veste sur le banc où nous, les deux blondes, étions assisent.
Ça m'avait fait tellement de mal, de le voir avec Parkinson. Mais après-tout, il avait droit au bonheur.

"Je ne dois pas l'envier, il est heureux !"
Me disait cette foutue voix dans ma tête.
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Luna, m'avait rapidement et assiduement rejointe, au Lac auquel j'étais venue me réfugiée.

Je pleuras à chaude-larmes.

Luna: Ehh..chhtt ça va aller Beauté ! Il veut juste te rebdre jalouse..

Elle tournait subitement la tête, après avoir entendue des craquements de brindilles, provenants tous de la forêt se situant dos à nous. 
Elle comprit qu'il fallait qu'elle parte, mais au moment où elle se leva, la silouhette qu'elle avait vu tourné les talons, et partir.
Nous sommes restées ainsi pendant presque la journée complète, et nous sommes rentrées au Château.
Je n'ai fermé l'oeil de la nuit, tandis que Le Serpent, lui, avait mieux que dormi que personne.
Ce fût alors, fatiguée et décontenancée de toutes émotions, que j'allais en cours le lendemain.