Un autre verre? (Tome 2 un verre?)

Une longue route

Il regardait les alentours de la ville, la route semblait infinie et toujours droite malgré les nombreuse autre chemin. Le chauffeur semblait concentré sur la route, sombre, brumeux, mais pourtant ils savaient rester sur les ligne comme un digne conducteur. La ville en constant mouvement semblait toujours aussi irréaliste et brouillons.

Tout était si vite, tellement qui se souvenait à peine des bruits de coups de feux qui l'avait touché, la douleur horrible, les cris de sa concubine... Rien semblait réel et malgré tout, il savait au fond de lui que c'était pas du tout un rêve. C'était clair comme de l'eau de roche, il touchat sa barbe, son corps légèrement envelopper et se pincer même le bras. Un ouch se fit entendre dans la voiture, qui semblait grande malgré sa taille.

Le chauffeur, qui avait entendue le ouch de douleur, riait doucement dans sa grosse barbe, un rit profond d'une voix veille et creuse.

L'Entité: Ne me dit pas que toi aussi tu ne crois pas à ce qui se passe?

Anthony: C'est vraiment vrai tout ça? Genre m-ma mort!? Vous!?

L'Entité: Oui oui, c'est spécial je sais mon amie, mais que veux tu! Parfois la vie prend les conviction de certain et leur montre un bon doigt d'honneur pour bien faire comprendre que... tu pensais de la merde!

Anthony: Moi qui croyais que la mort... Alors les religieux... qui avait raison?

Le vieux finit par rire encore plus fort, sans se gêner, frappant de rire son volant à en mourir, avant de revenir d'un coup neutre mais moqueur. Alors que le passager arrière était un peu surpris de sa réaction aussi surprenant que direct.

L'Entité: Wow wow, calmos molosse. Tu n'est pas non plus mort de chez mort, tu est entre la vie et la mort. Pour ce qui est de la religion qui en à la meilleur, je suis le chauffeur moi, je m'en fou et c'est pas ici que tu aura la réponse Anthony.

Anthony: Et... Marguerite?

Le chauffeur pris une cigarette de sa poche et l'alluma de façons inconnu, c'est comme si elle était déjà allumé dans sa poche, le fumant sans gêne. La fumée ne faisait pas d'odeur, qu'il soit agréable ou non, mais elle faisait tellement de fumé que le haut le plafond de la voiture était devenue dès nuage mouvante.

L'Entité: Pourquoi sa tomnibule autant? Quoi tu veux savoir ce qu'elle fait aussi et avec qui elle est dans l'eau-delà de mon cul?

L'homme au fond de la voiture, Anthony, serra les poing, mais restait calme, sachant clairement qu'il allait s'amuser à se moquer de sa colère excessif, de plus qu'il conduisait. Il respira profondément en fermant les yeux, faisant le vide dans sa tête. Le chauffeur, l'entité, le regarda de part le rétroviseur avec un léger sourire amusé de la situation, mais aucunement moqueur.

L'Entité: Écoute, je sais pas où elle est et si elle vit sa plus belle vie. Je me répète, mais je suis que le chauffeur, je vais où on me demande d'aller et je laisse le reste faire le tout. C'est ma job ici.

Anthony: Et ailleurs?...

L'Entité: Confidentiel mon chère.

Il semblerait que peu importe ce qui allait dire, Anthony n'allait pas avoir de réponse clair et net sur quoi que ce soit avec lui. Il finit par abandonné et regardé la ville bougé, il savait même pas si c'était la mégalopole où il était ou juste des édifice et gratte-ciel sans nom d'une ville sans nom.

Plus le temps passait, plus l'ambiance de la voiture était calme, apaisant, nostalgique. La fumé de la cigarette n'était plus une gêne, c'était même un rajout à ce côté mystérieux mais agréable. Il avait l'impression que ça durait une éternité et il aurait aimé que sa dure une éternité, comme si tout ce qui hantait son esprit, avait jamais existé, vierge de toute ces pensée. L'Entité était en train de rouler, comme un camionneur qui avait déjà fait ces route mille fois, calme, détendue, fumant en roulant à une main.