Délai

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Le soleil de minuit avait frappé la grande ville, Anthony sortie de l'hôpital avec des vêtements fraîchement amener par PASE, elle était venu en fin de repas pour lui donner sa tenue et payer le transport qu'elle avait loué. Trevor était partie dans la matiné, son supérieur ne voulait pas non plus qu'il abuse pour ne pas travailler une autre journée.

Anthon sortie de l'hôpital, ces yeux n'était clairement pas habitué à la lumière du jour et sa peau blême semblait plus pâle voir d'un blanc pure. Les couleur de chaque objet ou structure était toujour plus vif et saturé, limite c'était de nouvelle couleur pour lui. PASE la regarda, elle qui semblait impossible à perturbé, avait pris les rapport de médecine qu'elle avait numérisé pour aider Anthony au cas où.

La main du jeune homme se fait prendre par la main métalisé et froide de PASE, qui la guidait vers un véhicule automatisé qu'elle avait loué. Elle le fit entrer dans le véhicule marqua une destination sous le tableau de bord et une fois bien posé, le véhicule démarre tout seul en direction de l'Émotionnel.

Anthony: Merci beaucoup PASE. Merci beaucoup.

PASE: Vous vous sentez comment?

Anthony: Bien bien... je crois.

Ce n'était pas le cas, il regardait partout à droite à gauche, les gens, les rues, respirant intensément à la limite de la peur. PASE s'avait qu'elle ne pourrait rien faire, il fallait aller en direction du bar et pas le choix.

PASE: Respiré profondément, regarde moi Anthony.

Il essaya de respirer calmement malgré la pression qu'il donnait, fixant avec sueur son androïde au cheveux bleu, ça le calmait un peu, mais le stresse était toujours présent.

Anthony: Merde... J'aurais aimé au moins ne pas finir à l'hôpital pour évité de sortir...

PASE: Je sais, mais malheureusement, la situation ne pouvait être meilleur.

Anthony: Je sais je sais...

Croyant que ça pouvait le calmer un minimum, il finit par activer les fenêtre fumante, l'extérieur qui montrait la ville de jour diminuait pour disparaître sur un mur de verre gris éclairé. Malgré tout, le stresse c'était peu calmé, mais il semblait moins énergique. Cela permettait au moins à l'androïde de parler à son propriétaire plus sérieusement et les mts serait plus impactant. Elle espère.

PASE: Anthony... Je dois vous parler, sérieusement. Vraiment sérieusement.

Anthony: Quesqui à PASE?

PASE: Vous savez que ça doit faire quelque année que je vous suis et soutien. Je dois avouer que malgré tout... Tout ce que nous avons fait, ce bar, ces clients, tout ça... Je ne suis pas heureux du résultat de tout ces progressions. Ce soir au bar, ou tout ce qui c'est passé, Cela ma fait comprendre que tout le traumatisme que vous avez, n'a pas changé ou amélioré.

Il écoutait, clairement il ne pouvait rien dire pour la contredire. Tout était plus ou moins vrai et... ce qui c'est passé entre la vie et la mort était un autre signe. Mais son tourment en tête, il ne pouvait dire des mots, incapable, sa corde vocale bloquait à chaque fois.

PASE: Si je suis resté, c'est car je sais que si je part... Mais chance de... "survivre" serait grandement diminuée par tous ces anti IA libéré et aussi car vous ête intéressant, vous et votre vision des choses. Mais ce n'est pas ce que je dois faire, examiner et voir le monde humain, mais de vous aider. Votre manque de coopération dure si longtemps et toute ces promesse jamais terminé, malgré tout, ce besoin de vous aider et forte. Alors je prend un ultimatum, dans une semaine, je veux que vous arriviez à dire vos tourment, à n'importe qui, un ami ou moi. Si cela n'arrive pas, je pars et vous laisse seul.

Une réaction fini par arrivé de façon brutal, les yeux gros de peur, la bouche ouvert et les mots tremblants.

Anthony: Q-quoi!? Une semaine? Mais... mais...

PASE: Pas de mais, c'est soit ça, soit rien.

Le silence régnait comme personne, c'était un malaise plutôt sinistre d'une manière, dans la tête d'Anthony. PASE, elle, était dans des pensés mathématique logique et froide, mais pas sans empathie pour le malaise de son propriétaire.

Après de longue minute à rouler, la voiture s'arrête, les vitre fumante finit par révéler le bar, l'Émotionnel, il reconnaissait les mur de brique rouge un peu vieillot et les néons, éteint, par le soleil qui avait fait éteindre le système d'éclairage automatique extérieur. L'ambiance de la grande ville avait diminuer, les sons, les personnes marchand et les nombreuse boutique et magasin quelconque. Ce n'était que les bâtiment et bulding de résidence, des arbres sur les routes qui donnait de la couleur et les bruits de résident qui faisait leur vie. Ce petit calme rendait Anthony calme, mais pas pour autant moins effrayer.

L'Émotionnel l'avait tellement manqué, il fonça au bar pour trouver l'ambiance et l'odeur du système d'air qui dégageait un parfum de forêt. Il était de retour et il ne voulait plus partir pour retourner à l'hôpital pour une seconde fois dans sa vie.

Un autre verre? (Tome 2 un verre?)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant