Nous somme le Dimanche, le lendemain de son retour, la soirée d'hier était si dure pour lui, son corps et son esprit, c'était directement habitué au horaire du jour. Il n'arrivait pas à dormir dès son arrivée et la soirée, il avait déjà préparé la soirée de retour avec ces amis. Le soir avait tombé depuis quelque heures que son corps demandait du repos et un bon sommeil. Mais il se força, quitte à cloué avec sa tête, il finit par enfin dormir le soleil à peine levé.
Son appartement lui avait manqué, il était tout simplement un petit studio constitué de deux pièce, une salle de bain et une grande pièce qui fait cuisine, salon et chambre. Quatre fenêtre seulement, deux qui menait directement en face du bar, montrant la rue et les bâtiment résidentielle. un de chaque côté qui montre les petites ruelle sombre et un peu moins clean que la rue. Il n'avait pas besoin de plus et de toute façons, il ne voulait pas plus.
Ce dimanche, il s'était réveillé durant le soleil de midi, voir un peu plus, son corps commençait à s'adapter enfin à son horaire habituelle. Alors qu'il se réveillait, il se leva, en caleçons, toujours peux adapter au lumière du jour. Ce n'était pas le soleil et sa chaleur qui le réveilla, ni les bruit ambiant de la ville, mais des miaulement petit et doux. Sur le rebord de la fenêtre, il pouvait voir un chat noir le fixé de façon direct Anthony, avec ces yeux bleu clair perçant.
c'était Black, le chat des rue, venant voir la santé de ce jeune homme et surement demandé du lait et de la nourriture.
Ce petit chat était noir, était différent des autres chats des rue, peu sale, calme, la moitié de sa queue avait été coupé par quelque chose que Anthony ne savait pas. Leur première rencontre était d'une soirée quelconque Anthony était de retour chez lui, après une soirée de travail un peu dur.
Le chat avait fini par entrer par effraction, la fenêtre était légèrement ouvert et il fallait un peu d'intéligence pour l'ouvrir, ce que le chat noir était. Il entra dans la demeure comme si c'était chez lui se mettant sur la table à manger à regardé la demeure à droite à gauche. Anthony finit par arriver, voyant une boule de poils aussi noir que l'obscurité de la nuit le regardé. Évidemment, il sursauta de peur qu'il a faillit renverser un cadre de lui en train de servir Catherine et Trevor. Les lumière allumé, il pouvait enfin voir le chat et calmer son coeur.
Il regarda le chat, essayant de lui parlé, mais pas vraiment de miaulement ni de mouvement, juste le chat qui le fixe. Il finit par avoir une idée ridicule mais logique. Il sorti un bol, du lait et le donna au chat, qui fixait le lait comme le liquide de vie et l'avale tout avec plaisir, ronronnant. Le chat n'était pas mauvais, ni timide et encore moins sale, il pouvait caresser son pelage léger mais si doux.
Puis il partit vers la fenêtre, sortant et allant vers la ruelle pour faire sa vie comme si de rien n'était. Anthony semblait un peu triste, lui qui avait un ami pour cette soirée, il était juste venue pour voler du lait et un coin tranquille.
Mais depuis ce jours, le chat revenait de façons aléatoire, parfois il venait et ne revenait pas avant des jours ou une semaine, parfois plusieurs soir consécutive, c'était devenue une routine. Une bonne routine, cela faisait du bien à Anthony de le voir, miauler, lui servir à manger, le caresser. Ce n'était pas non plus son animal de compagnie. D'ailleur, il ne savait pas si c'était un chat de compagnie qui se promenait un peu à droite à gauche ou un chat de gouttière ou de rue qui se promène aléatoirement pour chercher de l'attention. Dans tous les cas, ami ou non, chat domestique ou de ruelle, à quelqu'un ou solitaire, il lui faisait sentir moins seul, quand Trevor ou Alexia n'est sont pas là.
Retour dans le présent, Anthony compris vite les miaulement ce que voulait Black, de la nourriture, comme si c'était son bébé, il se leva pour aller chercher du bon lait frais et de la nourriture pour chat, qu'il achète que pour lui et pas de la mauvaise qualité. pour lui remplir deux gamelle, un pour le liquide et l'autre pour la nourriture, qu'il metta sur le bord de la fenêtre.
Le chat était toujours aussi calme, serein, s'approchant de sa bouffe pour la manger avec silence mais appétit, se laissant caresser par son ami humain qui restait toujours aussi silencieux que lui. Avant de brisé le silence avec une voix doux et basse.
Anthony: Désolé si j'étais pas là hier, disons que j'étais obligé malgré moi... Ouais je sais, j'espère que PASE à prit soin de toi quand tu étais venue en mon absence?... Elle est pas comme moi c'est sur, mais elle est pas méchante. Elle manque patience... C'est con, mais elle peut ressentir et comprendre la patience? ou perdre la patience?... J'imagine qu'elle comprend le concept, mais elle peut le ressentir?... Ouais je suis d'accord, c'est pas vraiment logique pour moi aussi...
Le chat avait fini de manger, se posant pour ronronner et se reposer un peu, appréciant la présence d'Anthony.
Anthony: ... D'ailleur, elle m'a donné un ultimatum pour... Je sais pas trop si tu devrais le savoir? Bon après, ça pourrait pas marché car tu est un chat et elle est pas là... Oh bah écoute, si tu veux vraiment le savoir, demande... Non? Sûr?... Écoute c'est toi qui voit.
Il finit par arrêter de parler à Black, ou seul, caressant le chat durant de longue minute avant qu'il finissent par demander d'arrêter d'un coup de regard. Le laissant partir vers la fenêtre et sautant un peu partout avant de se poser sur le sol de la ruelle sombre et partir de son côté.
Anthony: Bon bah écoute... a plus Black.
Il regarda la ruelle sombre, perdu dans les ombres, le chat se perdant dans l'obscurité et le noir dû jours, au point d'être plus visible. Le doux sourire d'Anthony disparaissant avec le chat, comme si c'était le seul remède de ces sombres pensé. PASE, son ultimatum, le silence, son silence, le vide. Il aurait aimé que ça n'arrive pas, que malgré tout elle reste pour lui même si ça n'avait pas de sens, même si ça servait à rien, une futilité qui pourtant était plus rassurante que la vérité amère. Comme admettre que ce félin n'était pas venue que pour se nourrir et non lui tenir compagnie, peut être que c'était le contraire, mais comment il pouvait savoir?
Le silence était revenu comme un naturel, seul le son des voitures et des gens se faisait sentir, comme l'écho d'un écho. Il regarda sa pièce comme pour résumer sa vie en une image, un lieu, s'auto analyser. Petit, peu décoré, quelques livre sur ces cours de psychologie et de chimie des cocktails, une cuisine plutôt poussiéreuse, un lit plus utilisé que les chaises. Vide, solitude, perdue. Comme un mécanisme, il ne pouvait juste regarder ceci comme un parent regardant sa création déraper, dans une triste amertume, seul à pas comprendre ce qui arrivait à un jeune à l'avenir prometteur.
Par honte, il regarda ailleurs, dégoûté de voir une conclusion qui trouvait horrible et triste, il sentait qu'il avait tellement gaspillé... et aujourd'hui, il ne se voit plus faire autre chose. Comme un soldat, entraîné au point de plus pouvoir sortir sa tête de la guerre, comme si c'était sa famille, une famille triste mais accroché à lui jusqu'à la mort.
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Un autre verre? (Tome 2 un verre?)
General Fiction2068, après le drame qui ces passé au bar, l'Émotionnel, dans un petit quartier résidentiel dans une mégalopole, Anthony reprend du service dans son bar. Ce drame l'affectant peu, ça sera le monde autour de lui qu'y sera affecté par les événements. ...