Partie 43

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Chapitre 43 :

Précédemment :

Demain mon procès...

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La nuit, je l’ai passé à penser, je me lève en pensant à la liberté, enfermé on se rend compte du joyau qui nous ai mis entre les mains : la liberté. Celle-ci est précieuse, déconne pas kho, elle est simple à avoir mais chère à perdre, en jouant avec tu récolte la haine de tes proches, l’enfermement, tu perds tout…On vient me chercher dans ma cellule, sans un mot on se dirige vers le tribunal, l’endroit où la liberté t’es donné où non, avec la prison et l’hosto, ils forment le trio que beaucoup déteste, où les pleures et la haine dominent la joie. On me met dans la cage vitrée, à croire je vais les bouffées, je vois ma mère, son visage à pris un masque : son sourire de circonstance, un sourire aussi faux que les cheveux du juge, Imran et Ismaël autour d’elle, Souad à coté d’Ismaël avec des sortes de griffes ou coupures sur le visage, je suis sure la sauvage elle s’est battue, Ma sœur à coter de Moha, il est venu lui ?...Sercan et Sabryia qui a une tête à faire réveiller les morts à coter de Nasiha, Younes dans les bras de Sercan, il est beau mon fils…et pas de Sarah à l’horizon, Nassim arrive peut après, il se met à coter de Souad qu’elle n’a pas l’air d’apprécier apparemment, elle échange sa place avec Ismaël, bref on est pas là pour parler de placement hein on est pas dans un parking, la mère de Raimondo est aussi présente, elle sourit à ma mère pololo j’ai loupé des épisodes :
Le juge : Bonjour mesdames et messieurs, nous sommes là pour rejuger le cas de Karim *****, si vous voulez bien nous allons commencer…

La juge réécoute les témoignages sauf celui de Sarah, selon mon avocat, elle était en « indisposition » de se présenter, mes fesses ouais…Puis arrive à mon avocat de parler :

-M le juge, je voudrais interroger les policiers qui ont arrêté mon client

Le juge : Faite 

Un des policiers prend place :

Mon avocat : Bonjours monsieur l’agent, c’est bien vous qui avait arrêté mon client ici présent ?

Lui : Oui, c’est moi

Mon avocat : Lui avez-vous énoncé les droits Miranda ?

Lui : Heu…oui je crois…

Mon avocat : Vous croyez l’avoir fait ou vous l’avez fait ?

Lui : Heu…je sais plus….

Mon avocat : c’est une question simple pourtant : Avez-vous lu à mon client ses droits ?

L’avocat général : Objection votre honneur, il a déjà répondu à la question !

Le juge : Objection refusé, répondez à la question !

Lui : J’en suis pas sure

Mon avocat : Je voudrais interroger mon client maintenant

Le juge : Que l’accusé prenne place

Je suis face à cette cour, je perçois des regards de haine de la partie adverse, et d’amour et de fraternité de mon coté :

Mon avocat : Monsieur *****, les policiers ici présent vous ont-ils énoncé vos droits Miranda ?

Moi : Sans mentir, j’en ai pas le souvenir…

L’avocat général : En êtes vous sure ?

Moi : Oui après que l’ambulance ait quitté les lieux, je me suis senti projeté au sol, menotté, puis on m’a emmené au poste sans un mot, c’est allé tellement vite…

Lorsque la trahison fait son apparition,la confiance perd son sens...-ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant