Partie 20

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Chapitre 20
Précédemment
**Dans la peau de l’Inconnue**
Ce matin, je me lève, je vais me poser au stade quand il y a le groupe qui arrive, je les regarde, ils ont l’air d’être heureux mais pas pour longtemps….
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**Dans la peau de Sercan**
« M’étouffer d'haine c'est tout ce qu'il veulent. J'ai trop fait d'peine à tout ceux que j'aime » - Lacrim
On est au stade, on attend Karim et la balle :
Ismaël : Sinon, Sercan t’es dans le biz ?
Moi : J’y étais mais c’est le passé…
Ismaël : Tu t’es arrêter quand ?
Imran : Isma hecheum un peu…smeh kho, il est trop curieux
Moi : Teukass, je me suis arrêter depuis 1 ans, en sortant de zonz j’ai compris que fallait que j’arrête de faire souffrir mon entourage…
Ismaël : T’a fait combien en zonz ?
Moi : 4ans
Ismaël : Pour ?
Moi : Si je te le dit tu voudras plus m’approcher mdrrr
Ismaël : Vasy, t’a du faire heja de degeu pour dire ça
Moi : Si tu savais…
Je vais vous raconter ce que j’ai fait mais ne me juger pas et si vous le faites merlich, quand j’avais 17 ans j’étais dans le hram comme vous le savez, je dealais, j’ai même fait des braquages sans me faire prendre, j’ai torturé les non-payeurs…J’avais un petit reuf Erwan de 6 ans Allah y Rahmo, il traversait la route et un fils de chien l’a renversé, ce zemel je l’ai enlevé et je lui ai fait vivre les plus grosse tortures qu’on peut vivre…
*Flashback*
On est dans la cave avec Hamid, le tahane qui a tué mon reuf au milieu de la pièce, attaché par les mains en suspension au plafond :
?: Hefek Sercan, je l’avais pas vu ton reuf smeh
Je l’ai regardé et j’ai commencé à l’enchainé de droites, pendant un long moment, puis Hamid c’est ramené avec des objets pour le torturé, j’ai pris une pince tah les jardiniers et je me suis approché de lui :
?: SERCAN hefek fait pas ça, j’ai la mort de ton frère sur la conscience tout les jours
Je m’avance vers lui et prend un de ses doigts met la pince dessus
Moi : Elle était où t’a conscience quand tu lui as retiré la vie CLACK (bruit de la pince)
?: AHHHHHHHHHHHHHHHHH !HEFEK Arrête ! 
Il a les larmes aux yeux, vous allez me dire miskine de lui mais je veux qu’il ressente la douleur que ressent une mère, un père, des sœurs et un frères lorsqu’ils perdent un des leurs…Ensuite je lui ai coupé quatre doigts, on entendait le craquement des os au contact de la lame aiguisé..
3mois plus tard je le fais toujours autant souffrir, Hamid m’aidait au début mais au fil du temps il n’est plus que spectateur il trouve qu’il a assez payé et moi non, aujourd’hui j’ai décidé de le laisser partir mais pas sans une trace…
Je me dirige vers la cave avec 2 bidon, un d’eau et un d’essence, j’ouvre la porte je le vois agonisant de ses derrières fractures et brulures que je lui ai causées, je m’avance vers lui le met debout avec difficulté…
Moi : Aujourd’hui tu va être libre… si tu survis…
Il est toujours attaché, je l’asperge d’essence et allume une allumette :
?: Arrête Sercan… (Il parlait lentement avec difficulté)
Moi : Tu t’es arrêter quand t’a vu Erwan ? Non et là je te laisse une chance de t’en sortir, alors que lui il en a eu aucune…
Je jette l’allumette et le regarde s’embrasé, il hurle, il pleure… je prends le bidon d’eau au bout de quelque seconde et l’asperge :
Le feu s’éteint, il suffoque, je le regarde, sa peau se décolle, on peut sentir une odeur horrible :
Moi : Maintenant on est quitte
Je remballe mes affaire, j’appel les pompiers et je sors de la cave comme si de rien n’était…
*Fin du Flashback*
Ce que j’ai fait ne m’a pas rendu mon frère je sais, je voulais faire souffrir comme je souffrais encore maintenant il me manque, quelque jour après l’avoir relâché j’ai entendu dire qu’il était toujours vivant. Un soir alors qu’on mangé, les kondés ont défoncé la porte et m’ont embarqué, ma mère et mes sœur pleurait, mon père lui me dévisageait, j’ai pris 4 ans, Hamid a pris 2 ans pck il a participé sans intervenir, depuis ma sortie mon père ne m’adresse pas la parole sauf pour le travaille, ma mère je sais qu’elle m’en veut mais elle fait zehma, mes sœurs n’ont pas été mise au courant du pourquoi j’ai été mis au placard, mais Sabryia s’en doute. Je ne regrette pas mes actes mais je sais que j’ai été trop loin. Au jour d’aujourd’hui, mon frère occupe tout mes pensées, il ne les quitte pas et les quitteras jamais, j’suis très réservé, j’évite de m’attacher au gens, avant que mon frère décède, j’étais quelqu’un d’ouvert mais la mort nous change tous…
« On paye le mal par le mal, poto rien n’est gratuit » -TLF
**Dans la peau de Karim** 
Le gars qui a enlevé Maïssa est là, je me demande ce qu’il nous veut, je me dirige vers lui mais il s’en va avant que j’arrive :
Ismaël : OH KARIM ! Tu va où ?
Karim : Nulle part j’ai cru voir quelqu’un 
Ismaël : T’es jnouné toi y a personne
Karim : Ouai…
Ce gars, il commence à me zehef…
**Dans la peau de Sabryia**
Sercan est parti avec les gars au stade, moi je suis dans l’appart de Sarah et Souad, elles sont sympa…
Sarah : Sinon a part Sercan, t’a des frères et sœur ?
Moi : Oui Esrîn, elle est mariée
Sarah : Pas d’autre frère ?
Moi : J’en avais un autre…Erwan, il est décéder Allah y Rahmo
Sarah : Allah y Rahmo, Smeh…je savais pas, si c’est pas trop indiscret, il est mort comment ?
Moi : Amin, Un homme inconscient l’a renversé quand il avait 6 ans…
Sarah : Il dise que les femmes au volant c’est femmes à accident ba faudrait revoir le dictionnaire des expressions françaises
Moi : Mdrr...
Elle a essayé de me faire rire ce qu’elle a réussit à faire, sa question était un peu maladroite mais bon elle pouvait pas savoir, la mort de notre petit Erwan a brisé notre famille…
**Dans la peau de Sarah**
Quelle maladroite je fais moi, je mériterais des claques. Bref on a continué de discuter, elle me parlait de son copain :
Sabryia : Tu sais avec Hamid, ça à pas toujours été beau, l’amour nous garanti pas de jamais souffrir mais il nous garanti des moments de pures bonheurs et les épreuves nous endurcit, quand l’amour est vrai il dure même si on est loin l’un de l’autre…
Quand elle a dit ça j’ai tout de suite pensé à Karim, et dans un sens c’est vrai ce qu’elle dit, faut que j’aille parler à Karim…
**Dans la peau de Souad**
Je sors de la fac il est 18h, il commence à faire noir, je me dirige vers ma voiture quand je me sens suivie, à la hauteur de ma voiture, je me fais plaquer contre celle-ci, je ne vois pas le visage de la personne :
?: Tu diras à ton chère est tendre Ismaël, le danger n’est pas très loin, il ne devrait pas être autant serein, et laisser sa mra dehors comme as tard le soir dans le noir
Il me touche la joue avec un couteau, il me l’entaille : Moi : tu te trompes de personnes, je suis pas avec Ismaël… (En tremblant)
?: T’es bien Souad
J’acquiesce de la tête 
?: Passe lui le message
Et il s’en va, dans quel kra c’est encore mis Ismaël…Je prends ma voiture et je rentre à la cité, je passe devant les teneurs de murs en leur passant un Salam et je monte, j’entends beaucoup de bruit, la click doit être là…
**Dans la peau de l’inconnue**
J’ai décidé de m’occuper en premier d’Ismaël, en m’en prenant à quelqu’un à qui il tient, c'est-à-dire Souad même si je le fait à contre cœur, j’appelle un de mes gars :
*Appel*
?: Allo
Moi : Ouais, j’ai besoin de toi, tu va aller voir Souad, la mra à ce zemel d’Ismaël à la fin de ses cours et tu lui dis : Tu diras à ton chère est tendre Ismaël, le danger n’est pas très loin, il ne devrait pas être autant serein, et laisser sa mra dehors comme as tard le soir dans le noir, faut pas qu’elle voit ton visage et tu lui fais pas de mal je dahak pas avec ça
?: Ok
Si il lui fait du mal, je le hagar, on l’a touche pas…
**Dans la peau d’Ismaël**
On finit de jouer et on remonte dans l’appart à Saroush et Sousou. Sousou n’est pas là, elle est en cours :
Sarah : Vous en avez pas marre de squatter chez wam, vous êtes SDF où ça se passe comment ?
Moi : Non on est tellement bien ici(en m’étalant sur le canapé)
Karim : Il se fait prend juste la claquette volante tout le temps chez lui donc il évite de rentré ce hmar
Imran : J’avoue une vrai fille quand la yemma elle arrive avec la claquette c’est plus Ismaël le rajel c’est Ismaëla la petite fille de 5ans et encore Maïssa elle a l’air plus vieille que toi face à la claquette mdrr
Eux : Mdrrr
Moi : Pk tu raconte de la khra comme as ?
Ils rigolent, on discute quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir ça doit être Souad, je me dirige vers le couloir seul…Et là…
Fin
Quelle va être la réaction d’Ismaël face à l’état de Souad ?

Lorsque la trahison fait son apparition,la confiance perd son sens...-ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant