Partie 60

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Dernier chapitre (60 partie):

**Point de vue externe**

Ils se retrouvent face à face comme des lions affamés, la sœur de son rivale dans ses bras, avec son arme pointé sur sa tempe, il la sens respiré fortement, sur sa main qui tiens son cou, il sent des larmes, les larmes d’une sœur. En face de lui, son rival est là, un regard de haine le traverse, il a quelqu’un qui lui est chère au bout de son gun, elle n’a aucune émotion qui passe à travers son visage, comme lui as appris son oncle :

Nassim : Tu te sens comment d’avoir ma reuss avec le crane visé par ton gun ?

Salim : Très bien si je puis dire. Pk tu l’a amené elle ? (en montrant Souad)

Nassim : Joue pas à ca avec moi, Salim, je sais que c’est ta sœur, bien avant qu’elle arrive, je savais que c’était ta sœur !

Salim: Je suis rien pour elle, demande-lui, elle n’est rien pour moi selon elle, tue-la ça ne me fera ni chaud ni froid !

Nassim : Même ton sang tu sacrifie pour l’argent, en premiers les potos et après la famille !

Salim : Rien ne compte pour moi et tu le sais très bien !

Nassim : Si ! Aliah ? Pas vrai

Il a touché un point sensible, c’est la seule à qui il ne peux pas faire du mal dans ce bas monde, la seule qui lui fait ressortir son bon côté…

Salim : Elle peut crever ! 

Nassim : T’essaye de convaincre qui ? Moi ? Ou toi ?

Salim : J’ai personne à convaincre !

Nassim : Lâche ma reuss !

Salim passe son gun autour du visage à Nasiha :

Salim : Un si joli visage qui va mourir dans peu de temps

Nassim : Fait pas le con, elle a un gosse

Salim: Tu crois que la mienne (en montrant Souad), elle en a pas ? et tu sais que si tu la touche, poto ou pas poto, Ismaël, te tuera, pense à ça…

Nassim : Qui te dit qu’il n’est pas déjà mort ?

Le visage de Souad se détend et laisse couler une larme, la première fois que Salim la vois pleurer depuis la torture, Ismaël est son point faible, comme le sien c’est Aliah…Les traits de Salim se durcissent pour le plus grand plaisir de Nassim…

Salim : Comme Mehdi ? il aurait pris une balle pour toi ?

Ses traits se tirent, il fronce les sourcils…

On entend une porte :

Ismaël : NASSIM LACHE SOUAD LA PU**** DE TA RACE ! PUTAIN ELLE A MON GOSSE WALLAH IL LUI ARRIVE HEJA JE TE FUME !
Karim : SALIM ! LACHE NASIHA !

Eux, déterminé à gagner ils resserrent leurs étreintes sur leurs prisonnières :

Karim : Salim wallah je vais être calme soit tu la lâche soit je t’explose la tête

Un truc froid se pose sur le derrière du crâne à Salim, le gun de Karim y est…

Click*

Sofiane arrive derrière Karim et dépose son gun sur sa tête et dit :

-Pose ton flingue Karim ! ou c’est moi qui t’explose la tête !

Nassim : T’es sah toi? tu retourne ta veste comme as !

So’ : C’est toi qui devrait être mort et pas Mehdi !

Nassim : Je me suis excuser combien de fois Sofiane, j’aurais voulu être à sa place Ok ! Il méritait pas de mourir, chaque seconde de ma vie je regrette de mettre déplacé !

Salim : Et Houcine tu l’a sur la conscience ?

Nassim : Quoi Houcine ?

Salim : Il s’est suicidé par ta faute !

Nassim : C’est pas que de la mienne !

Nasiha : Salim…sniff…smeh…c’est de ma faute…tue moi mais le tue pas lui !

Karim : Tg Nasiha ! tue là je t’explose !

Aliah : Alors vous faites tous ça pour vos vengeances à la con !

Chacun d’eux se tourne vers elle, de la compassions dans ses yeux se montrent pour les prisonnières et de la haine pour les bourreaux, cette fille à le pouvoir de calmer les esprits, mes ces deux hommes qui sont face à elle, devenu des homme sans sentiment, sont les hommes auquel elle tient particulièrement, d’un coté son frère, à qui elle donnerait tout et qu’elle admire et de l’autre l’homme qu’elle considère comme l’homme de sa vie, ils desserrent tout deux un petit peu leurs étreintes et là regarde avec admiration…

Ismaël : Vous voulez jouez les hommes, jouez les rajels mais laisser Souad et Nasiha en dehors de ça pck je vous assure que vous en sortirait pas vivant si il arrive heja à ma femme et mon gosse!

On peut voir dans les yeux de ce futur-papa, une peur immense de perdre ce qui est devenu son essentiel pour vivre, l’amour qui leur porte est inconditionnel, une histoire si mal commencé qui devrait finir mal, non ce n’est pas possible, le tableau s’éclaircit toujours pourtant…

Nassim : Tu veux jouer les hommes ? d’accord, lâche ma reuss Salim, d’homme à homme, une arme, une balle.

Sofiane, le plus jeune des garçons, commence à avoir peur, peur de la mort, à force d’attiser le feu, il s’enflamme et souvent on finit par se bruler…

So’ : Smeh…Nassim…je peux pas…ma mère, elle a plus que moi…

Nassim : T’a cru je le proposais à toi, jamais je tuerai le tipeu de mon refré !

Sofiane baisse les yeux, et baisse l’arme qui était pointé sur le crâne à Karim…

Salim : Ok d’homme à homme

Il lâche tout deux les deux jeunes femmes chacune va se réfugier dans les bras de son mari respectif. 2 hommes ferhan, de retrouver leur femmes prennent place mais leurs émotions positives sont de courte durée car le train de la mort va bientôt faire monter des passagers.

Les deux chiens enragés sont face à face, assis sur des chaises en bois usées pas le temps, entre eux se trouve une arme, un 41 magnum, ils vont jouer à un jeu dangereux, la règle de ce jeu ? une balle est dans une arme, une seule, les joueurs doivent faire tourner la roulette, et pointer cette arme sur leur tempe et appuyer sur la détente, il ne peux avoir qu’un seul survivant, et quand le jeu est commencé, personne ne peut l’arrêter…

Le jeu de la roulette russe est en place…

Nassim prend l’arme, incère une balle, et le détourne sur sa tempe, tous ont le regard rivé sur cette arme de malheur, les sœurs de Nassim pleurent, elles implorent le tout puissant pour que ça ne soit pas lui …

Il appuie sur la détente :

Click*

Un sourire vainqueur se dessine sur ce soldat du bitume, il donne l’arme à Salim d’un geste brusque, celui-ci la prend, en ne lâchant pas sa sœur du regard, celle-ci espère que la balle ne lui sera pas destinée, il fait la même chose que son prédécesseur, puis appuie sur la détente :

Click *

Le sourire de Nassim s’efface, il reprend l’arme et recommence la manipulation, appuie sur la détente :

Click* 

Chacun recommence la manipulation plusieurs fois, les nerfs montent à tous, autour de cette table se trouve deux hommes meurtries par la vie, ils veulent en finir vite car chaque click, leur montent l’adrénaline, qui les épuisent, au tour de Salim de jouer une énième fois avec sa vie…

Aliah : Arrêtez…sniff…arrêtez…hefek…ça ne mènera à rien, Nassim pense à Maman…elle a déjà perdu baba…il ne lui reste plus que nous…Salim…pense à ta sœur…pendant presque 20 ans,…elle ne t’a pas connu…elle n’a plus de famille…pense à moi aussi…l’amour qu’on a vécu…ne s’oublie…pas…

Les deux hommes la regardent avec impuissance, tout deux veulent arrêter mais on n’enfreint pas la règle, quelqu’un doit mourir…Le jeu s’arrête pendant quelque seconde puis on entend :

Sofiane : je n’ai plus rien à faire sur cette terre maintenant tout le monde est parti

Le jeune homme s’empare de l’arme et tire, pas de click* cette fois si, un bruit assourdissant s’empare de la pièce, le corps du jeune tombe au sol, sa décision s’est vite prise, il venait de recevoir un message de l’hôpital, sa mère venait de décéder.
Cette nuit là, un jeune homme meurtrie par la téci est parti, pour le bien de tous il s’est ôté la vie, pour ne voir souffrir personne, selon lui beaucoup ont souffert, il fallait que ça s’arrête. Après la chute du jeune homme, un silence de circonstance s’est installé dans cette cave, des larmes coulent, d’abord des femmes puis des hommes, cette nuit ils ont été blessé par la mort, dans leur vie, elle ne finira pas de blessé mais ce soir là fut différent, car ce jeune homme, ils l’ont vu grandir, souffrir et mourir, plus aucun d’eux ne doutera de la fragilité de la vie…Karim et Nasiha partent les premiers, Souad regarde son frère, le prend dans ses bras, le premier contact avec une personne de sa famille, un peu étrange comme première fois, elle s’en va accompagné de Ismaël et Aliah qui elle regarde son frère avec peine ainsi que l’homme qu’elle considérait comme l’homme de sa vie…Ils parent tout trois sous le regard de ses deux hommes…Les deux hommes restent face à face sans se lâcher du regard :

Salim : La trahison est provoqué par acte considéré comme un coup de poignard, tu as tué les rêves de mon refrè par là il s’est tué. Je me devais de le venger.

Nassim : Ta trahison s’était de me balancé, tout ça à cause d’un mensonge de ma reuss smeh pour Houcine…

Salim : Smeh pour Hamid…

Les excuses vont s’y bien dans cette situation, mais les excuses de réparent rien. Toute cette histoire pour vous dire que la confiance, il faut la donné avec méfiance, et que se venger peut engendrer beaucoup de moment de fatalité, réfléchissez avant de commettre des actes de criminalité ou de lâcheté. Car les conséquences sont irréversibles…

Les deux hommes se serrent la main, un signe de paix, mais les malheurs peuvent venir d’ailleurs…

Un after-chro, pour vous dire ce qu’ils ont devenu.

Lorsque la trahison fait son apparition,la confiance perd son sens...-ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant