Chapitre 42

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Wattpad qui ne publiait pas mon chapitre 41 depuis mercredi, franchement j'adore.

Sinon merci à vous pour les 1k de votes ! Ça me fait super plaisir  o(* ̄▽ ̄*)ブ

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Une semaine. Une semaine et deux jours que la fille dont je ne veux pas prononcer le nom parce que sinon ma bouche va se sentir sale est arrivée à Tôô. Une semaine est deux jours qu'elle fait tout pour m'éloigner de Momoï. Une semaine et deux jour qu'Aomine et moi nous ne nous parlions plus. Une semaine est deux jours que la complicité que nous avions eu me manque.

Momoï : La Terre appelle (t/s)-chan.

La rose venait de claquer ses doigts devant mes yeux, pour me sortir de ma rêverie. 

(T/p) : Hum ?

Momoï : Ça va ? Tu avais l'air ailleurs.

(T/p) : Ne t'en fais pas, tout va bien.

Elle haussa les épaules avant de s'assoir en tailleur sur le sol du gymnase. Je ne tarda pas à la rejoindre.

(T/p) : Par contre il y a quelque chose que j'aimerais bien savoir. Pourquoi toi et ta classe vous êtes là ?

Momoï : Alors ça je n'en ai aucune idée. La semaine dernière notre professeur de sport nous a demandé de venir dans le gymnase la prochaine fois que nous avions sport.

(T/p) : Hum... C'est pas net tout ça. 

Alors que Momoï et moi discutions de tout et de rien, nos professeurs de sport respectifs firent leur apparition.

Mme Ishii : Bonjour à tous ! Rapprochez-vous je vous prie ! Nous allons vous expliquez pourquoi vos deux classes sont réunies.

Le professeur de Momoï intervint pour annoncer que nos classes s'affronteront dans une sorte de tournois de volley. Malheureusement pour moi, le volley fait parti des sports que je ne peux pas pratiquer. Je vais être obligée de rester sur le côté à les regarder faire. Ramasser de temps en temps les ballons qui trainent, et encore...

Mme Ishii : Je vais faire l'appel afin de vérifier que tout le monde est là.

A la fin de cet appel, deux personnes n'étaient pas là. Evidemment, il s'agissait d'Aomine Daiki et d'Hara Naho. Le faite qu'ils ne soient pas là, tout les deux, au même moment, je trouvais ça louche. Alors que j'étais en train de me poser de nombreuses questions à leur sujet, Momoï me tapota doucement l'épaule.

(T/p) : Oui ?

Momoï : Regarde, ils sont là.

En effet, l'abruti et la fille dont je ne veux pas prononcer le nom parce que sinon ma bouche va se sentir sale venaient d'entrer dans le gymnase. Tout le monde avait tourné leur regard vers eux.

Mme Ishii : Les deux retardataires, on se dépêche.

Naho : Oui madame.

En les observant du coin de l'œil, je me rendis compte rapidement que quelque chose n'allait pas. Enfin, quelque chose de bizarre plutôt. Elle, elle était rouge et légèrement transpirante. Comme si elle venait de fournir un effort physique. Et en regardant bien attentivement c'était facile de voir que ses vêtements avaient été mis de façon négligés. Quand à lui, il avait un air satisfait collé au visage depuis son arrivé.

Après avoir assimilé toutes ces informations, la conclusion avait été très rapide. Ils avaient couchés ensemble juste avant de venir. Dans les vestiaires, dans les douches, où même dans les toilettes, j'en avais aucune idée, mais ils l'avaient fait.

Je ne l'avouerais jamais, mais ça m'énervais.

Momoï : (T/s)-chan, depuis tout à l'heure tu es toute tendue. Tu es sure que ça va ?

(T/p) : Arrête de t'inquiéter pour rien Mo'. Ça ne se voit pas ? Je respire la joie de vivre !

Momoï : Euh non pas trop.

Je soufflais désespérément en me lamentant sur mon sort.

(T/p) : Arh... Mais enterrer moi vivante ! Six pied sous terre même ! Ça m'évitera de voir tout le temps collé l'un à l'autre avec  leur tête d'imbécile.

Momoï : Oh j'ai compris !

(T/p) : Tu as compris quoi ?

Momoï : Tu es jalouse !

(T/p) : Moi ?

Momoï : Oui toi.

(T/p) : Jalouse ?

Momoï : Oui.

(T/p) : De eux deux ?

Momoï : Non. De Naho plus précisément.

(T/p) : Pourquoi je serais jalouse de... de cette fille ? Chose ? Appelle la comme tu veux.

Momoï : Parce que depuis qu'elle est là, Aomine-kun s'éloigne de toi et tu n'aimes pas ça.

(T/p) : ...

Momoï : Je n'ai pas raison ?

(T/p) : Absolument pas. Et puis d'abord enlève moi tout de suite cet air cucu que tu as au visage.

Momoï : Mais bien sûr.

Notre conversation du finalement prendre fin, puisque avait fini les explications du déroulement de cette séance de sport. Malheureusement pour Momoï, elle n'avait rien compris puisqu'elle était occupée à parler avec moi. L'expression perdu qu'elle affichait me faisait bien rire. Elle ne savait pas ce qu'il fallait faire et se prenait de temps à autre des ballons en plein visage.

En parlant de ballon, j'ai failli m'en prendre plusieurs. Inutile de chercher à savoir qui avait fait ça, j'avais déjà ma réponse. Et cette réponse se trouvait dernière un filet, en face de moi. J'ai été tenté de lui renvoyer en plein milieu de la figure, mais ma conscience ma très vite expliquée que c'était une mauvaise idée et que ça serait rentrer dans son jeu. Ce que je ne veux pas.

J'ai également assisté depuis le bord du terrain à de nombreuses scènes les plus improbables les unes que les autres, entre la girafe et la chose. Il était presque au petit soin avec. Ce qui ne lui allait pas du tout. A croire qu'elle lui avait fait prendre des substances pas net pour le rendre comme ça.

A chaque fois que je les voyais ensemble, je ne pouvais m'empêcher de les regarder d'un mauvais œil.


Oui je suis jalouse. Et alors ?

C'est comme çaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant