L'accident

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Le 29 août 1823, un de mes hommes est venu me chercher dans mon bureau. Haletant, il me dit qu'un "Anti-Royaliste" c'était enfermé dans l'école princière, où étudiait la princesse Ambre. J'ai rassemblé neuf de mes soldats. Nous avons sellé nos chevaux et nous sommes partis au grand galop en direction du pensionnat. Dés notre arrivés, nous avons installé un périmètre de sécurité au tour l'école. Je suis allé chercher le responsable de l'établissement pour lui demander des renseignements supplémentaires. Je savais que le rebelle se cachait dans l'école et c'était à nous de faire en sorte de ne pas le croiser. Je savais aussi que la porte principale était fermée de l'intérieur. Avec toutes ses informations en main, mes hommes et moi sommes rentrés par l'entrée de service. Nous avons monté les escaliers jusqu'à arriver aux salles de classes.

J'ai envoyé trois de mes hommes dans la classe du fond, trois autres dans celle qui était là plus proche de la porte et les trois derniers plus moi, nous sommes allés dans la pièce du milieu. Une fois que nous avions réuni tout les élèves, nous nous sommes dirigés dans le couloir. J'ai vu mes six soldats qui finisaient d'évacuer les enfants. Nous étions à environs trois mètres d'eux. J'ai entendu la jeune princesse crié. Je me suis retourné et je l'ai vu allongée sur le sol. J'ai ordonné à mes hommes de partir avec le reste des écoliers et je suis retourné en arrière pour l'aider à se lever. En approchant d'elle, j'ai vu le preneur d'otages. Le rebelle tenait une granade et il nous l'a jetée dessus. Pour protéger la princesse, je me suis précipité sur elle face contre terre. C'est moi qui est pris la déflagration et j'ai sans doute perdu connaissance.

Histoire d'un officierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant