Chapitre 3

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Au banquet, il y avait toute la noblesse environnante, et quant au buffet il y avait de nombreuses sortes et assortiments que nous ne pouvions gouter à tout. Je ne pouvais rien manger, tout simplement car j'étais un peu énervé que Thomas ait réagi de cette façon. Le bal allait commencer et je devais l'ouvrir en compagnie de mon père ensuite d'Arthur et enfin de qui je voulais. Après avoir dansé avec mon père et Arthur, je m'éclipsai dehors doucement pour aller rejoindre Tempête. Je sortis de l'écurie au pas car avec cette robe je ne pouvais être à mon aise.

Arrivée à l'orée de la forêt, je descendis Tempête et pris l'arc que j'avais caché dans un tronc d'arbre creux ainsi que mon carquois sous un tas de feuilles et de pierres. Je déchirai ma robe au niveau du dos et des épaules pour pouvoir tirer comme je le souhaitais et passa autour de moi, mon carquois rempli de flèches accompagné de mon grand arc et je chevauchai Tempête jusqu'à la grande clairière que j'avait vu la dernière fois que j'ai été en forêt.

Je retrouvai la famille de cerfs en chemin. Ils m'accompagnèrent jusqu'à leur clairière où je retrouvai tout les animaux que laissé la dernière fois sauf que cette fois -ci j'avais plus de temps et que j'étais avec Tempête. Je m'était liée d'amitié avec deux jeunes cerfs, plus tard dans la soirée, j'apprit que tout ces animaux n'étaient que des hommes, des femmes et des enfants qui avaient été transformer ainsi par la sorcière de cette forêt. Je voulais les aider, mais je ne savais comment. Je leur proposai toute sorte de plan inimaginable et ils les refusaient tout le temps.

Fatigué de toute cette histoire, je m'en allai tout en échafaudant des plans. Je ne fis même pas attention au chemin, sans m'en rendre compte je finis par m'éloigner puis de la forêt que je connaissais. J'arrivai devant une grande arcade en pierre polie et taillé qui représentait deux personnages: un homme et une femme. Il me ressemblait étrangement: les mêmes yeux en amandes, le long nez pointu et fin, la grande taille, les cheveux longs mais eux ne cachaient pas leur oreilles pointues, moi si. J'avais cette manie de les cacher systématiquement avec mes cheveux.

Tandis que je m'émerveillais devant ces ressemblances je n'entendis pas approcher des individus et bientôt je fusse encerclé par des guerriers qui me pointaient de leurs flèches acérées qui menaçait de me traverser si je faisais un seul geste. Je ne fis pas un geste, pas un mot, pas un bruit. Il m'ordonna de parler, alors je me retournai vers la voix qui me parlait :

-Dis-moi qui es-tu ?

-Je sui la princesse du royaume, je m'appelle Lilas.

-Oh, alors tu es la bienvenue ici !

Il me dit cela tout en baissant son arc puis il fit signe au autre guerriers qui m'encerclait de baisser a leur tour leurs armes. Il demanda à une jeune femme Tauriel, de m'accompagner pour me faire visiter leur royaume et y découvrir son histoire. Tauriel m'emmena dans un arbre et commença à me raconter l'histoire de son royaume.

-Pour commencer, Lilas, nous sommes des elfes.

Je ne disais rien car je voulais entendre la suite, voyant que Tauriel attendait une réponse de ma part je lui répondis :

-Tu as toute mon attention.

-Très bien. Alors nous somme à Ellesmeralda. Nous somme sur la Terre du milieu. Vous les Hommes, ne connaissait pas l'existence de notre monde, nous vivons a peu près en harmonie avec les nains, les êtres des éléments de la nature, les Hobbits, les géants et nous n'avons pas eu de guerres depuis l'extermination des orques il y a longtemps.

-Tauriel, excuse-moi de t'interrompre, mais pourquoi, nous les humains, ne sommes pas au courant de votre existence ?

-Normalement, à nos frontières, il existe un puissant sortilège crée par un très puissant sorcier du nom de Dumbledore, qui empêche aux humains de passer aux travers de nos forêts. Cependant TOI tu y es parvenu, cela nous inquiète fortement. Aucun de tes semblables ne peut y parvenir. Alors nous avons plusieurs possibilités : 1ère hypothèse : le sort ne fonctionne plus, ce qui est peu probable. 2ème hypothèse : tu es passé par un autre chemin mais je ne vois pas lequel et je connais toute la région comme ma poche. 3ème et dernière hypothèse : tu n'es pas humaine.

Cette dernière chose me semblait impossible.

-Je pense que tu es un elfe à cause de ta ressemblance avec nous mais je ne suis sûre de rien, si c'est vrai nous allons devoir découvrir ton véritable nom elfique.

Dans ma tête c'était un véritable chaos, avec toutes ces questions qui me taraudait l'esprit, je me demandais : pourquoi j'étais comme sa...

Aranel QuendëOù les histoires vivent. Découvrez maintenant