Point de vue de Gandia.
Je vis entrer dans la pièce Bogota et Palerme. Tokyo se leva et alla à leur rencontre. Ils la bousculèrent et s'avancèrent vers moi. J'aurais voulu les éclater mais, de un, j'allais me faire défoncer, et de deux, il valait mieux que je ne me fasse pas remarquer. Je questionna Tokyo du regard et elle me sourit d'un air rassurant, signe qu'elle allait bien. Je soupira.
- « Fils de pute ! Debout ! » m'ordonna Bogota.
Les otages se regardèrent sans savoir à qui il s'adressait. Il n'y avait qu'une seule personne qui pouvait répondre à ce nom. Moi. Je me leva donc.
- « T'as vu ça ? Il répond à son nom ! Bon chien Gandia ! » se moqua Palerme.
Je ne réagis pas. Tokyo, elle, semblait furieuse. Je la pria du regard de ne rien faire, chose qu'elle fit. Bogota m'attrapa violemment par mon bras blessé. Je grimaça.
- « Putain fait gaffe Bogota ! Il est blessé à ce bras là ! Prend l'autre bordel ! Je vais pas jouer l'infirmière toute ma vie non plus ! » gronda Tokyo.
Bogota l'ignora et me traîna en dehors de la pièce suivit de Palerme. Tokyo resta dans la pièce sur ordre de Palerme mais me fixa d'un regard inquiet jusqu'à ce que les portes se referment. Je sens que ça allait être ma fête encore. Bogota me jeta à terre dans le couloir et me mît un coup de pied dans le ventre. Je toussa. Palerme me saisit par mon t-shirt et me tint face à Bogota.
- « LA PROCHAINE FOIS QUE TU OSES MENACER NAIROBI JE TE TUES C'EST CLAIR ?! » s'énerva Bogota en ponctuant chaque syllabe par un crochet du droit.
Je ne répondis pas et le laissa faire. Je le méritais. Palerme appuya sur ma blessure au bras. La douleur était telle que je ne pus retenir un hurlement.
- « PUTAIN VOUS FOUTEZ QUOI ?! » cria Tokyo en ouvrant la porte.
Ils ne répondirent pas et continuèrent à me frapper encore et encore pendant que mon esprit sombrait lentement vers l'inconscience pour la deuxième fois de la journée. J'entendis Tokyo, aidé par Stockholm et Denver qui venaient d'arriver, essayer d'arrêter Bogota et Palerme. Seul l'arrivée de Nairobi accompagnée d'Helsinki les calma. Je les entendis se disputer à travers le brouillard qui envahissait mon esprit. Je sentis des bras m'attraper et me porter avec difficulté jusqu'à une salle. Je sentis le tissu doux d'un canapé.
- « Désolé... » murmura quelqu'un à mon oreille.
Tokyo. J'essaye d'esquisser un sourire, de dire quelque chose mais rien ne sortit. Je m'enfonça dans les méandres de mon esprit, m'accrochant à une image. Celle de cette brune aux cheveux courts qui m'avait sauvé beaucoup trop souvent à mon goût.
Trois heures plus tard.
J'ouvris les yeux en sentant une main passée sur ma tête.
- « Tu es enfin réveillé. Je ne sens plus ma jambe droite. » observa Tokyo en riant.
Je lui souris et me redressa.
- « Laisse moi te soigner. » me demanda-t-elle
Je lui souris avec malice.
- « Je ne voudrais personne d'autre que toi comme infirmière. »
Elle rougit et sourit. J'en fus éblouis. Elle se leva et prit la trousse de soin puis s'assit en face de moi.
- « Ça va encore faire mal ! » me prévint-elle.
- « Vas-y, je suis résistant à la douleur. »
Elle rit, moqueuse.
- « Comme la dernière fois ? »
- « J'avais perdu beaucoup de sang c'est pour ça. »
- « Mais bien sûr. »
Nous nous sourions d'un air entendu voir complice.
*************************************
¡Hola mis ángeles!
Ça va ?
Moi ça va !
Je viens de sortir de ma JDC (journée défense et citoyenneté) et vraiment C'ÉTAIT GÉNIAL !!!! À tout ceux qui pensent que C'est chiant ! C'est faux j'ai adoré !Voilà voici donc le seizième chapitre ! J'espère qu'il vous plaira.
Gandia vient de se prendre la plus grande raclée de sa vie 😂 c'est triste 😂😭Bon bah !
Voilà !
Prenez soin de vous !
Je vous aime ! ❤️¡Besos a todos! 💜
VOUS LISEZ
Si j'avais su mon amour...
FanfictionJ'étais censé la tuer. Pourquoi je n'ai pas pu ? Je l'ignore... Je suis perdu... Ça faisait si longtemps que je n'avais plus ressenti ça. Ce besoin inarrêtable de protéger quelqu'un. Est-ce que...je l'aime ? Non ! Non je ne peux pas je suis marié...