De retour à l'hôpital. 

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PDV Sanji :

C'est confortablement chaud, et paisible...

Je frotte mes yeux lourdement. Mon corps ne peux pas bouger ? Les bras de Zoro est accroché autour de ma taille, son nez dans mes cheveux. Mes joues surchauffent, réalisant la position indécente. On ressemble vraiment à un couple. Mais... je me sens terriblement bien contre lui. Quand je constate l'heure, vaut mieux que je me dépêche à me préparer. Je dois rentrer à l'hôpital même si j'en ai aucune envie.

- Zoro... j'exclame bassement. Faut qu'on se lève.

- Mmh... bougeant légèrement, me capturant encore plus à moi. Reste encore quelques minutes, s'il te plaît...

Mon cœur s'agite. Je change de position, en face de lui. Son visage se calle au creu de ma nuque. À l'aide de mes doigts, je fais des mouvements lents sur sa joue, profitant moi aussi de ce moment. J'ai vraiment pas envie de quitter cette maison, de quitter ce lit, de le quitter loin de moi. J'embrasse avec tendresse son front, acceptant son câlin.

Quand soudainement, je sursaute légèrement, pressentant des baisers humides dans mon cou.

- Hé... je dis déstabiliser. Qu'est-ce que tu fais... ?

- Je profite de toi... souffle t'il. Je veux pas que tu partes.

- Je sais... et moi aussi j'ai pas envie de partir.

Il pousse mon corps, lui sur moi. Ses mains sur ma tête, il smack affectueusement ma bouche, pour se lever du lit.

- Je vais prendre ma douche. Dit-il en prenant des vêtements dans son armoire.

- Att- Trop tard.

Zoro est bizarre depuis qu'il s'est réveillé. Un coup il est attentionné et de l'autre il est distant.

Je sais que c'est compliqué, et que c'est dur qu'on ne peut pas être ensembles pour l'instant. C'est de ça que j'avais le plus peur dans notre relation. Qui ne soit pas heureux avec moi.

Je me lève moi aussi, mettant en ordre son lit. En attendant qu'il finisse sa douche, je descend en bas pour préparer le café. Il y'a du thé ? Il doit sûrement en boire, donc j'en fais aussi. Il y'a des croissants aussi. Je m'installe sur sa table de cuisine, me servant de mon café et celui de vert. Bizarrement, j'ai assez faim. Je mange un croissant, accompagné de ma tasse de café. C'est calme est reposant ici, pas comme l'hôpital où tu attends les infirmiers se gueuler dessus ou attendre les machines et tout le reste. C'est pour ça que je reste quasiment dehors, c'est mieux et chaleureux... comme si j'étais chez moi.

Les pas s'intensifient, d'en haut. Zoro descend les escaliers. Il a seulement une serviette autour de sa nuque, se frottant les cheveux avec.

- Zoro met en moins un caleçon ! Je m'écris, très embarrassé.

- Ah... se regardant. désolé, j'ai l'habitude de me trimballer à poil après ma douche.

Je soupire. Ce n'est pas pour autant qu'il ne veut pas s'habiller, au contraire il ceinture sa serviette à l'entour de ses hanches.

- Oh... fit-il par remarquer. Tu m'as fait du thé, c'est gentil. Me souriant.

- Oui... je me suis dis que tu en prends peut-être le matin.

- Tu as bien fait. Merci...

Je rougis, troublé.

Cependant, je le vois pas bien. L'expression de son visage est triste à la fois crispé. Ça me déchire le cœur de le voir aussi mal. Il me rend complément faible. Je descend de la chaise haute, pour marcher jusqu'à lui. Il ne bouge pas.

Le Coup de Foudre. [ Terminé ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant