Le Coup de Foudre. [ Terminé ]

Les remerciements. 

PDV Sanji :

Depuis environ deux semaines, Zoro est pratiquement venu me voir tout les jours. Et notre relation est toujours très fusionnel. Plus je reste à ses côtés, plus je me livre à lui. Ça ne m'étais jamais arrivé avec quelqu'un. Mais c'est sans doute notre amour qui est devenu encore plus fort de ce solidifie de jour en jours. Et je trouve ça génial.

Ça fait déjà deux semaines que je suis revenu à l'hôpital, et Docteur Law m'a dit qu'il me trouvait beaucoup mieux. Que ça soit mon état d'esprit et mon état physique. Je gagne de l'appétit, et la tristesse se consume peu à peu loin de moi. Et vous savez quoi ? Ça fait un bien fou. Oh oui je me sens tellement plus léger. En espace de six ans, personne n'est venu me voir. J'avais la certitude que la solitude allait m'accompagner toute ma vie. Je ne savais pas qu'il existait des personnes qui ont du cœur. J'ai changé sur pas mal de choses.

Serte cette cicatrice ne pourra pas effacer mes horribles souvenirs, mais grâce à Zoro que j'ai passé outre de tous ça.

Comme à mon habitude, je reste sur mon lit à attendre Kaya-san. Elle toque à la porte puis ouvre pour venir me mettre la perfusion qui n'est plus trop nécessaire, je le met que quatre fois par semaines. Ça change de d'habitude.

Rien que de penser que c'est grâce à lui, me rend encore plus cinglé de mon copain. Car j'ai des réelles sentiments à son égard.

Et je sais qu'il m'abandonnera jamais...

- Qu'est-ce qu'il vous rend aussi heureux Sanji-sama ? M'interroge Kaya-san, s'occupant de ma perfusion.

- Pourquoi est-ce que vous me demander ça ? Je relève la tête. J'étais trop dans mes pensées.

- Ah... réfléchis t'elle. c'est juste que depuis ces derniers jours, depuis que vous avez eu cette permission, vous sembler être différent de votre ancien vous.

- V-Vraiment ?

Est-ce rassurant ?

- Hum,hum ! Dis oui avec sa tête. Tous ça c'est grâce à Zoro-sama.

- Enfaite... il semble un peu idiot sur les bords, mais en réalité c'est quelqu'un qui s'occupe de mes besoins, et de mes sentiments. Ce que je pense aussi... je ricane dû à ce que je vais dire. Je n'arrive pas à lui cacher les choses, et si je ne fais pas attention, il peut clairement lire mon coeur d'une telle facilité... que ça me dépasse plus qu'autre chose. Même si je l'ai rejeté, giflé ou même insulter, il est toujours là pour moi...

Et j'ai un point d'interrogation sur ça.

- Ça s'appelle de l'amour, tout simplement.

- Oui mais... j'ai peur qu'il ne soit pas heureux avec moi.

- Il ne faut pas gâcher cette belle opportunité. Prenant mes mains dans les siennes. Si il ne serait pas heureux, Zoro-san serait partit depuis longtemps déjà. Vous ne croyez pas ?

- Oui... pourtant j'ai toujours peur... car je l'aime de plus en plus chaque jours. Jamais j'ai ressenti ça.

- Vous devriez pas avoir peur de ça. C'est plutôt moi qui a peur. Ricane t'elle.

- Pourquoi ? Relevant ma tête, curieux.

- Vous êtes mon patient préféré et si vous partez... je me sentirais bien seule. Vous allez beaucoup me manquer.

Ça me touche énormément ce qu'elle dit.

Je peux pas m'empêcher de sourire.

- Vous aussi Kaya-san... peut-être qu'on se reverra.