Chapitre 3

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J'étais entrée dans ma chambre pour me morfondre sur mon lit en pleure, en pensant à tout ce que j'aurais pu faire qui était maintenant mon ancienne vie. 

- J'aurais aimé continuer à vivre, j'aurais aimé faire le métier que j'avais prévu de faire, fonder une famille au lieu de me retrouver ici.

J'étais en train de m'apitoyer sur mon sort cela m'énervait, car je ne pouvais rien faire, puisque maintenant les événements s'était déjà passés. Je devais juste l'accepte. Cependant cela restait plus facile à dire qu'à faire. J'essayais de me calmer en reprenant doucement une doucement une respiration normale. Un miroir se trouvait sur le mur derrière le lit, en relevant ma tête qui était plongé dans l'oreiller vers le miroir, je vis que mes oreilles de kitsune était baissées. Elle translatait mes émotions. Je fus étonnée, je devais apprendre à vivre dans un nouveau monde dans lequel, je ne connais presque rien mais aussi dans un nouveau corps.

Quelqu'un frappa à ma porte, je tournai ma tête vers cette dernière avant de retourner ma tête vers le miroir pour sécher mes larmes et passer mes doigts entre mes cils. Ensuite je me levai vers la porte pour l'ouvrir.

- Oui.Dis-je.

- C'est de nouveau moi, c'est pour te dire qu'on va bientôt manger Alastor a presque fini de tout préparer.

- J'arrive dans ce cas.

Charlie était partie en fermant ma porte pour surement rejoindre Alastor. Je pensai que Charlie n'avait pas remarquée que j'avais pleuré. En me retournant une dernière fois en direction du miroir. Je soupirai.

- Faut pas que je me laisse abattre.

Ne voulant pas faire attendre Charlie et les autres, je sortai de ma chambre et vus une personne que je ne connaissais pas.

- Salut moi c'est Vaggie.

- Moi c'est Hanoka Myôbu. 

Le nom m'étais venue à l'esprit sans que je ne sache pourquoi, je n'avais pas vraiment prêter à ce moment-là.

- On n'y va là. Me demanda Vaggie.

- Oui.

Je suivais Vaggie en mémorisant le chemin qu'on prenait. Puis on arriva devant deux grandes portes en bois orné de dorure l'une d'un rouge écarlate et noir comme la nuit, la poignée des portes était deux pommes coupés en deux. Vaggie poussa l'une des deux portes, et tenait la porte en attendant que je passe. Quand je passa la porte, j'étais émerveillé. Il s'agissait d'une grande salle de restauration avec un lustre magnifique en forme de serpent qui se mordait la queue des bougies était lampe était accrochés dessus se dernier et tenu par une chaine en son centre. 

- C'est magnifique, cela me fait penser à l'hôtel dans ghost buster. 

- Ah mes demoiselles vous êtes enfin là. 

C'était Alastor qui était sorti de la cuisine, avec deux plateau tout droit sorti d'une argenterie dans chaque main, mais contrairement à toute à l'heure il ne portait plus sa veste de son costume, il était en chemise. Derrière lui se trouvait Niffty qui tenait des verres.

- On va manger enfin manger. À dit Niffty.

Mes oreilles s'était tourner vers la cuisine en entendant un sifflement à peine audible, je pensais que j'étais la seule à l'entendre mais les oreilles d'Alastor s'était elle aussi tournées dans la direction de la cuisine. Par réflexe, je pensais à du gaz.

- Il y a qui dans la cuisine ?

Un énormément boum c'était produit dans la cuisine, on voyait de la fumer sortir par le haut de la porte. Puis quelqu'un passa la porte en toussa.

- Ça en à fait de la fumée.

- Cher Angel, qu'as tu fais ?

- Moi euh ... j'étais en train de prendre à boire  sauf  que c'est tombé sur le gaz.

- Angel, on va finir par te retirer ta chambre. Dit-vaggie.

- Oh non.

Alastor était parti dans la cuisine avec Niffty sans doute pour sauver ce qu'il en restait.

Je parti à l'une des fenêtres pour voir l'extérieur.

-Qui aurait imaginé que ce monde existait. À part ce qui croit que l'enfers est un monde de torture en permanence. Alors qu'il est aussi développé que le monde dans lequel je vivais.

- Eh si on passait à table, je meurs de faim.

Je partis à la table, et pris place entre Angel et Alastor.

- Ca sent bon, ça faisait longtemps que je n'en avais pas mangée.

Alastor était en train de servir chacun d'entre nous, et releva ma phrase.

- D'où venait vous ma chère ?

- Je viens de France, mais j'étais parti en échange scolaire en Louisiane pendant 1 an, et le jour où je suis arrivé dans ma famille d'accueil, on m'avait préparée du jambalaya. C'était très intéressant et enrichissant.

Il y a eu un gros blanc.

- Désolée, si je gâche l'ambiance en parlant de mon ancienne ... vie

Les larmes me montait aux yeux,  mais j'essayais de ne pas le montrer.

-Oh non ne t'inquiète pas. Me dit Vaggie.

La conversation repris de plus belle, pendant qu'on finissait de manger tous ensemble. Une fois le repas fini. Tout le monde débarrassa la table. Puis-je retourna vers l'une des fenêtres de la salle et regarda le ciel qui est teinté d'un rouge sang avec un pentagramme tout en mettant une main sur la vitrine.

- Vais-je surmonter le fait d'être morte ? Dis-je en soupirant.

Quelqu'un étais non loin derrière en écoutant ce que j'étais en train de me dire.


Je ne voulais pas finir làOù les histoires vivent. Découvrez maintenant