Chapitre 4

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Tout le monde était parti sûrement parce qu'il avait des choses à faire où ils étaient partis dormir, sauf Alastor qui était en train de faire la plonge. Mes oreilles était baisser du à ma mélancolie. Seulement je n'y avais pas prêter attention, et je partis aider le démon de la radio.

Je toquai à la porte.

- Oui.

- C'est moi, est ce que tu as besoin d'aide ?

- Comment est ce que je pourrais ne pas accepter l'aide d'une charmante demoiselle.

- D'accord.

Il était toujours en train de faire la plonge pendant que j'essuyais l'argenterie pour ensuite la ranger.

- Quelque chose vous tracasse ma chère ?

Je n'avais pas compris ça question, car je ne voyais pas de quoi il parlait.

- Comment ça ?

- Vos oreilles sont baissés très ma chère demoiselle, je dirais même plaqué sur votre tête.

Je rangeai l'assiette que j'avais dans les mains, pour pouvoir toucher mes oreilles.

- Allons, que se passe t-il ?

- Juste un coup de blouze qui passera avec le temps ... Du moins j'espère.

J'étais entrain de soupirer quand je me souvenus de la conversation qu'on avait eu un peu plus tôt.

- Je peux vous poser une question à mon tour.

- Je doute que je vous donne la réponse, mais je vous écoute.

- Est ce que c'était vous L'animateur Radio dans les années 20 à la Nouvelle-Orléans ?

- Qui s'est peut être bien que Oui peut-être bien que non.

- Ça ne répond pas vraiment à ma question.

- Comme votre réponse que vous m'avez donné.

Je venais de comprendre qu'avec lui cela serait donnant-donnant.

On termina, de laver l'argenterie pour alastor, et de nettoyer et ranger pour moi. Sans que l'un de nous engage la conversation.

- Enfin fini. Dis-je en m'étirant.

- Effectivement. Maintenant excuses moi ma chère mais je dois prendre congé et trouver Charlie.

- Avant de partir, sais tu qu'elle heure il est ?

Tout en mettant sa veste, il avait sorti une montre à gousset de sa poche, qu'il regarda dans un second temps.

- 21 H.

- Merci Alastor.

Je ne savais pas vraiment quoi faire, à part retourner dans ma chambre ou sortir en ville.

- Je peux venir avec toi voir Charlie ?

- Avec plaisir.

Je suivais Alastor, dans les innombrables couloir de l'hôtel.

- C'est si grand, puis c'est tellement bien décorer. Tu as une chambre dans l'hôtel ?

- Non, c'est justement pour ça que j'allais voir Charlie.

- Mais tu sais où elle se trouve ?

- Oui. D'ailleurs as tu trouvé un nom très chère.

- Hanoka Myôbu.

- Oh comme c'est intéressant, puis-je savoir ton prénom d'avant ?

- Tu veux dire celui que j'avais avant d'atterrir ici ?

- Exactement.

- Avant, je m'appellais Alice Vladescu.

Avais-je dit avec un peu de réticences, seulement Alastor n'a eu aucune réaction.

- C'est bien que tu es changé Hanoka.

Il n'avait ensuite rien dit de plus. On marcha encore quelques minutes avant de s'arrêter devant une porte, où Alastor frappa.

- Charlie es-tu là ?

- euh ... Oui 2 minutes.

- Pour assouvir mon autorité, je rentre dans 3

À ce moment précis Angel passait par là, Alastor le pris pour s'en servir comme bélier.

- 2

- Alastor tu vas lui faire mal.

- 1

Il enfonça la porte avec la tête d'Angel.

- Cette scène est improbable.

Il réussi à ouvrir la porte et lâcha Angel.

- ça va Angel. Lui demandais-je.

- un sac de drogue ... Oh c'est mon nom dessus.

- Je suppose que ça va. Alastor tu aurais pu attendre. Qu'elle te dise d'entrée.

- Non, c'est ennuyant très chère. Le monde est une scène, et la scène est un monde de divertissement.

- Tu ne fais que ça pour t'amuser ?

Charlie interrompa notre conversation.

- C'est pour quoi ?

- Les clés de la chambre.

- Ah oui, j'avais oublié.

Elle sortit des clés de son bureau et lui donna. Il parti sans demander son reste.

- J'ai quelques choses pour toi que vaggie a été chercher tout à l'heure.

Elle me tendis une boîte emballer dans du papier d'aluminium.

- Il fallait pas Charlie.

Je l'ouvri pour découvrir une boîte de téléphone portable.

- Je ne savais pas que ça existait ici. Encore merci il fallait pas.

- Ne t'inquiètes pas c'est rien. Tu devrais aller te reposer maintenant.

- Je pense que tu as raison et pour Angel.

- 4 drogue , 5 drogue, 6 ...

- Je vais m'en occuper vas-y.

- D'accord, bonne nuit Charlie et Angel.

Je sortai du bureau de Charlie. Je cherchai ma chambre pour finalement la trouver une vingtaine de minutes plus tard.

- Quelle coïncidence tu ne trouves pas Hanoka ?

Je me tournais pour trouver Alastor derrière moi.

- Oh, on est comme voisin maintenant.

Je rentra dans ma chambre où je n'avais même pas pris le temps de fermer la porte à clé. Pour me jetter à nouveau sur lit.

- Charlie avait raison je suis tellement fatiguée.

À peine, j'avais fermé mes yeux que je sentis Morphée m'emmener avec lui.

Je ne voulais pas finir làOù les histoires vivent. Découvrez maintenant