chp.17 J'aimerai me réveiller

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Hermione Granger
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J'entendais une voix......Sa voix. Elle me murmurait de revenir. Que ce n'était pas pareil sans moi. Elle m'encourageait en quelque sorte. Mais pourquoi m'encourager à prendre une décision, qui de toute manière n'est pas de mon ressort?

- Hermione. Réveille-toi.-me murmurait Tom. Il me prit ensuite la main. Je fus choquée par ce contact. Ce n'était vraiment pas dans les habitudes de Tom d'être sentimental.- Je t'en prie. On a tous besoin de toi ici. Même le professeur Rogue avoue malgré lui que tu lui manque. Harry et Ron s'en veulent tellement. Drago regrette maintenant encore plus toutes les années où il a été ignoble avec toi. Et moi....Moi je ne sais pas quoi faire. Pendant un instant....J'ai cru que j'aurai le droit à une amie. Mais ce n'était que des illusions. Tu es la seule personne qui réussit à me faire rire. Et qui réussit à faire en sorte que je l'apprécie. Car oui, tu es la seule personne que j'apprécie, et regarde-toi. Tu es mourante.
Je ne savais pas depuis combien de temps je vivais ça. Mais le rêve que je faisais semblait horriblement long. Cela devait faire des mois...

- Hermione, revient.-c'était Ginny à présent qui me parlait. J'aurais reconnu la voix de ma belle rousse préférée entre mille. Elle était venue. Et ça me faisait chaud au cœur. J'avais aussi entendu Luna, Neville, Seamus, Dean, Fred et George, Drago, et....Cormac et sa déclaration d'amour. Même mes parents étaient venus, (ça devait être un peu compliqué pour eux quand-même). Mais aucune trace de vie d'Harry, ni de Ron. Et ça me brisait le cœur. J'avais entendu une conversation au début de mon rêve. Ils disaient qu'ils ne viendraient pas me voir et je comprenais vraiment pas pourquoi. En fait je n'avais pas entendu toute la conversation.

- Hermione. Ma belle, je t'en prie Réveille-toi.-sanglota ma meilleure amie.
Il fallait que je me réveille. Je devais me réveiller maintenant. Je ne pouvais pas laisser Ginny. Elle aurait été capable de faire une dépression ou pire.....participer contre son gré à des petrifictions.

Dans mon rêve, je marchais continuellement. Je marchais encore et encore, et je ne pouvais pas m'arrêter. Tout à coup une immense porte blindée se planta devant moi. J'avais le choix, on me l'avait laissé. C'était soit je partais, soit je restais. Alors je m'avança vers la porte, mis ma main sur la poignée, la fit délicatement tourné et poussa la porte. Il n'y avait rien. C'était le néant. Je m'avança et entra par l'ouverture qui menait au vide total. Puis....Plus rien. Le néant, c'était ce que j'avais vu derrière la porte, mais je n'avais pas pris peur. C'était ma porte de sortie et je l'ai ouvert.

Tome 1: Et si...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant