Dans un couloir sombre de la rue de l'un des quartiers de Lambaréné, il y avait des gens qui murmuraient des mots tels que : Torturer, bâtons, cagoules, souffrir etc...
Les fameux hommes que Jeff avait prêtés à Andréa s'apprêtaient à mettre le plan à exécution : " la correction de Boris".
Ils choisirent le vendredi soir lorsque Boris revînt du tribunal tout fatigué. Sans se douter de rien, il voulait juste 'se reposer et reprendre des forces. Boris était dans sa voiture et à quelques mètres de l'endroit où il avait l'habitude de la garer. Les hommes de Jeff l'attendaient juste au alentour de sa maison, cachés dans les fleurs qui étaient placées à gauche et à droite de l'entrée principale de sa maison. Ils étaient habillés en noir de la tête au pieds, afin de passer inaperçus. Ils étaient dix à vouloir s'occuper du cas de Boris. Il était 19 heures 27 minutes affichée aux montres. Quelques minutes après, ils virent la Volkswagen de Boris venir se garer à quelques mètres de sa maison, dans la cour. Le bruit des insectes nocturnes se faisait entendre bruyamment.Après que Boris descendit et ferma sa voiture, il regarda son téléphone portable puis il se dirigea à l'entrée de sa maison. Tandis qu'il prenait dans sa poche la clé de sa maison, petit à petit les hommes de Jeff sortaient de leur cachette comme dès cafard dans l'obscurité. Dès que Boris tourna deux fois sa clé dans la serrure en acier puis voulut ouvrir en attrapant le poignet, il se fit surprendre brusquement par les hommes de Jeff. On l'attrapa par les mains ainsi que le cou et on le tira brutalement dans sa propre maison comme un chien qui n'obéit pas à son maître ; ensuite, ils prirent la clé et fermèrent la porte sans que personne à l'extérieur ne s'en rende compte. Les hommes de Jeff étaient avec Boris dans le grand salon : c'était désagréable pour Boris. Et s'il était question d'un corps à corps, Boris était clairement impuissant face à ce nombre. Quelque soit la force d'un doigt, il n'y arrivera jamais à vaincre toute une main à lui seul.
Boris, en essayant de se débattre comme un vrai homme, reçut un gros coup de bâton au niveau du ventre. Ce coup avait automatiquement percuté ses poumons et autres organes à proximité qui lui étaient vitales. Son souffle se coupa ; l'inspiration et l'expiration étaient atrocement difficiles à exécuter. Ils le posèrent sur une chaise en plastique et l'attachèrent avec des chaînes au niveau des bras, des pieds et du cou. Boris ne comprit pas d'abord ce qui lui arrivait ; il essaya de communiquer avec ces hommes sadiques. Erreur qu'il ne devait pas commettre.
— Que... Vou... Voulez-vous ? Je su... Suppose que c'est... Hein cette folle d'Andréa qui est der... Derrière tout ça ? Dit-il tout essoufflé ! Un filet de sang s'échappait de sa bouche. Il reçut encore cinq coups de poings successifs après cette tentative !
— Tu la fermes idiot ! On a pas besoin de tes questions à la con, dit-il de sa bouche qui était à quelques centimètres de l'oreille droit de Boris et de suite il scotcha sa bouche très fort et brutalement.
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Give up from birth [Terminée]
Narrativa generaleLa vie a souvent des scènes irréversibles. Les actes causés dans le passé finissent toujours par resurgir dans le futur. C'est le cas de cette dernière aux caractères défavorables dus à la précarité. Son histoire relate un long moment de souffrance...