Chapitre 5 : Geste Inattendu, Réaction Inattendu

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hisoka

saeti


après avoir déposé mon adversaire a l'infirmerie, je me dirigea vers mes quartier. l'aura les envoutant semblais...explosif. curieuse, je passa la porte de mon appartement et tomba nez a nez avec hisoka. il s'amusais a lancer des cartes qui allais directement se planter dans le mur. je vis dans son regard pensif, qu'il était ailleurs. j'ai toujours trouver les moment de réflexions important, c'est pour cela que je refermais le plus doucement possible la porte. je me dirigeais encore plus silencieusement dans la salle de bain dans le but de faire ma toilette. j'avais envie de me détendre, bien que ce fu difficile avec l'autre dans la pièce d'a coté. je contempla mon visage aussi rond et laid que mon corps. 90kg pour a peine 1m75. une boule, c'est ce que j'étais, une boule d'une mocheté sans nom, mais il faillait bien que je l'accepte. ne pouvant aucunement y remédier. je décida de faire coulé l'eau du bain, l'eau la plus chaude possible, il n'y a que avec de l'eau bouillante que je pouvais me détendre, je sais, c'est bizarre. mais c'est comme sa. Puis, je me dévêtis complètement. Prenant un grand soin à fermer la porte de la pièce à clé. Cette foi ci, aucune fenêtre n'aurais pus lui permettre l'accès puisque la salle de bain en était dépourvu

Je plongea alors dans mon bain. Au début, l'eau bouillante me brûlais la peau. Mais la douleurs s'estompais petit à petit, laissant place à un sentiment envahissant de chaleur. Je me couchais, enfin, me permettant de prendre tout mon temps pour revenir sur les événements passer.

Je les repassaient alors rapidement dans ma tête, mais il y avait toujours un point sur lequel je m'arrêtait, un point où toutes mes interrogations subsistait, comme sans réponse. , un point qui tournais dans mon esprits, encore et encore, soulevant autant d'incompréhension que de curiosité. Un point qui m'avais tapé dans l'œil des que je l'avais vus, sans même que je ne m'en rende réellement compte, un point qui me faisais douter de mes positions face à lui. Un point que je considère comme un ennemie, dangereux, sans limite. Comme je me coïnciderais moi même. Un point me ressemblant sur certain point, peut être même plus que je ne le pense

Hisoka

Et plus j'y réfléchissais plus je me reconnaissais en lui, ou du moins, sur ce que je savais de lui. Comme si lui et moi étions juste le reflet de l'autre dans le miroir, et plus j'y réfléchissais moins cela ne me semblais claire, plus j'y réfléchissais et plus je me perdais dans ma réflexion. Quel point m'avait amené à penser cela ? Pourquoi pensais-je cela ? Dans quel but ? Quel récompense cela allais-t 'il m'apporter ? Trop de question sans réponse claire. Je rouvris mes petits yeux, j' était de nouveau dans ma salle de bain, mais quelque chose vain m'alerter.... Un courant d'air ! Je me leva alors en trombe et vis avec stupeur que hisoka était la. Assis dans un coin, dans la même pièce que moi, comment était t'il entrée ? Me regardais t'il ? Pourquoi ? Il n'existe pas plus laide que moi. Était t'il en manque à ce point la ? Au point de s'intéresser a un étron pareil? Aussi vite que possible, j'attrapa une serviette et l'enroula autour de ma taille, prenant bien soins de tout cacher. Puis, je me concentra sur lui. Il souriais, comme à son habitude. Un sourire hautain. Je sorti de l'eau, pris le peignoir que j'avais prévu et l'enfila avant de mette la serviette sur mes cheveux. Pendant que je le faisais, je l'entendais ricaner faiblement

-qui a t'il de si drôle ? Lui demandais-je alors, agacé. Mais il ne me répondit pas, il se leva, je me tourna alors vers lui. Il s'approcha, doucement, mais surement. La pièce n'était pas bien grande, ainsi, il ne lui fallu que quelques pas avant de se retrouver à ma hauteur. Il essayais de me déstabiliser, encore une foi. Et cela n'allais pas marcher. Je décida de garder mon calme, respirant un bon coup intérieurement avant de lui répéter ma question, paraissant plus sur de moi.

-ce qui me fait rire princesse, c'est ta réaction.
Princesse ? J'ai vraiment une gueule à m'appeler princesse ?! .... Je crois qu'il a des problèmes de visions, je ressemble plus à une bouse de vache qu'à une princesse. Il ne restait qu'un demi mètre entre lui et moi, une parti de mon cerveau me disais de fuir, une autre de rester... Deux ordres totalement contradictoire qui me poussais à faire un choix. Je décidais alors de bouger, me déplaçant comme si de rien était jusqu'au miroir ou je sorti ma brosse et commença 1 me démêler les cheveux

-je ne sais pas où tu as vus une princesse dans cette pièce, un conseil papy. Acheté toi des lunettes. Retorquais-je sur un ton moqueur. Sans même que je ne m'en rende compte, il plaça ses bras sur ma taille, l'envoutant au passage. Je me figea un instant, quel pervers ! Pensais-je en même temps qu'un long frisson me parcourais de la tête au pied. Je ne m'attendais pas du tout à une réaction comme cela, surtout venant de sa part. Il y a toujours eu une rivalité entre lui et moi, j'ai toujours eu l'impression qu'ont se détestait mutuellement.

Malgré tout, je gardais mon sang froid, il ne me fallu qu'une seconde pour lui ordonner de dégager, ce qu'il ne fis... Pas du tout ! Il me resserra contre lui, collant nos corps au passage. Je savais ce qu'il faisais, il voulais que je sois sienne, kuroro m'avais informé à ce sujet. Quand il prend quelqu'un pour cible, "jouet" comme il l'aime l'appelle. Il ne l'a lâche plus, cette personne est à lui et à personne d'autre. Il l'a garde, l'a dompte, jusqu'au moment où il considèrera sont fruit comme mur. La, il l'anéantira, comme quand il fini un de ses château de carte. Il devais surement croire que j'allais me laisser faire, tomber dans sa toile. Il avait tord. J'activa mon NEN, et, avant qu'il n'eu pu activer le sien, je l'envoya valser contre le mur. Ne manquant pas au passage de créé un impacte la ou son corps avais frapper. Il tomba et resta immobile quelque instant, l'avais-je tuer ? Non, je pouvais encore sentir son aura meurtrière se décuplé au fur et à mesure que les secondes s'écoulait. Il se releva,  sonner du choc qu'il venais de recevoir. Mais il pouvais encore le regarder dans les yeux

-Écoute moi bien hisoka, contrairement à ce que tu peux penser, je ne suis pas ta chose, je ne suis pas ton jouet, je ne suis pas à toi. Et tant que tu me considèrera comme tell tu finira dans le mur ! Le menaçais-je de ma voix toujours aussi douce. Pourtant, je pouvais le sentir frissonner. HO oui je pouvais ! mais ce que je ne pouvais pas dire, c'est si c'était un frisson de terreur ou d'excitation

un precieux pendentif (Hisoka X Oc) EN RÉÉCRITURE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant