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Comme trois fois par semaine je me rendait à mon entrainement de basket, il y avait deux cours de sport en même temps car dans le gymnase il y avait deux terrains. Le mardi, vendredi et le dimanche j'avais entrainement en même temps que le club de football et aujourd'hui était le premier jour d'entraînement de la semaine et nos profs de football et de basketball allait être absent le vendredi car il avait une affaire familiale.

Notre entraînement avait déjà commencé. On commença l'échauffement, puis on commença le exercices pour finir si on avait le temps par des petits matchs. Bref, nous n'en n'étions qu'aux exercices pratiques, mais je ne sais pas pourquoi mais ce jour là je n'arrivais pas à me concentrer. Je ne faisais que de regarder dans la direction du terrain de foot pour y regarder mon p'tit ami joué, car oui je le cache mais je suis en couple avec un gars du club de foot nommé Raïs. Même si on est en couple et presque sur le même terrain ça ne m'avait jamais déconcentrés. J'avais toujours était attentifs au cours, mais pas Aujourd'hui. Mes dribbles n'était pas terribles, et de même pour mes shoots. Tout le monde fut très surpris que je ne sois pas autant impliqué vu que j'étais l'un des meilleurs joueurs de mon équipe.

Capitaine Déol (Déol c'est mon nom) pourquoi n'est tu pas concentrer, habituellement tu es l'un des meilleurs joueurs. Que ce passe t'il tu es malade ?
Moi non capitaine, je vais bien. Désoler je vais me mettre au travail.

Puis on avait repris l'entraînement, mais malgré tout mes efforts j'avais quand même du mal à me concentrer. Puis nous arrivions au dernière trente minutes de la séance de sport qui durait habituellement deux heures en moyenne. Pour faire les équipes nous faisions trois équipes et vus que nous étions vingt le gagnant affronter l'équipe qui reste et il y avait quatre remplaçants. Pour faire les équipes plus rapidement nous avions mis en place un système de bâton de couleur :
Les six bâtons rouges étaient pour l'équipe une.
Les six bâtons bleus étaient pour l'équipe deux.
Les six bâtons jaunes étaient pour l'équipe trois.
Et les quatres bâtons noir étaient pour l'équipe des remplaçants.
Puis nous faisions un pierre feuille scisaux pour déterminer qui joueront en premier et ceux qui joueront en deuxièmes.

Moi j'étais un remplaçant et ça m'arrengeais bien vus que je n'arrivais pas à jouer depuis le début de la séance. Et comme je le prévoyais je n'avais pas eu la balle entre les mains durant les deux matchs. Ça sera certainement mieux dimanche. Comme la séance était fini nous nous dirigions vers les douches mais le coach me retint.

Coach attend un peu.

Il commença à me parler une fois que tous les autres gars était parti dans le vestiaires. Il reprit

Coach Y a t'il quelque chose qui ne vas pas? Aujourd'hui tu n'a pas était très productif
Moi non tous vas bien. J'avais juste l'esprit ailleurs. Ça ne se reproduira plus. Je vous le promets.

Après cette courte discussion je me dirigeais vers les douches car même si je n'avais pas réussi tous les exercices je trenspirais quand même. L'eau chaude qui ruisselait sur ma peau me faisais tellement de bien que je ne voulais plus partir mais il eu bien un moment où je sortis de la douche pour prendre ma serviette et enlever les gouttes d'eau qui coulait encore sur mon corps retraçant les courbes de mes muscles. J'enfilais rapidement un caleçon, un pentathlon noir , une chemise blanche et une veste noire. Je sortis une cravate de mon sac et y fis un nœud, la rattachant à ma chemise.

Je m'apprêtais à m'en aller mais j'entendis encore l'eau d'une douche couler et comme j'étais le dernier à être parti au vestiaire et que je n'entendait plus un bruit, je dessida d'aller voir si quelqu'un n'avais pas oublié de f couper l'eau, mais d'un coup je ne l'entendit plus. Peut être que quelqu'un était toujours dans les vestiaires ? Comme j'avais les clés c'était à moi de fermer le gymnase donc je dessida d'aller voir la personne qui n'était pas encore parti pour lui demander de se dépêcher.

Je me déplaçais vers les vestiaires du club de football car c'est par là bas que j'avais entendu les cliquetis de l'eau sur le carrelage. En ouvrant la porte, je vis un jeune homme absolument magnifique. Les courbes de ses muscles était si bien dessiné et même si il était de dos il resplendissait. Je m'approchais alors qu'il enfiler sa chemise pour toucher ses si beaux muscles.

Il sursauta au contacte de ma main sur sa peau et se retourna d'un seul coup me donnant un coup de tête sans le faire exprès, il avait la tête dure en tout cas. Le joueur de foot fut surpris de me voir dans les vestiaires destiner a son club. Ce joueur n'était autre que mon petit ami

Raïs Qu'est-ce que tu fais là ?
Moi c'est moi qui es les clés des vestiaires, donc je venais juste te dire de bouger ton cul.
Raïs Je comprend mieux
Moi Attend quoi?
Raïs Fait pas semblant, je sais très bien que tu faisais que de me mater. La preuve c'est que tu rougis.
Moi et alors ça te pose un problème ?
Raïs On a encore jamais coucher ensemble à cause du sport car on ne voulais pas que l'autre rate son entraînement, mais vu que les coachs son pas là jusqu'à dimanche, on pourrait peut être ésseyer ? Quand dis tu?
Moi Tu sais très bien que demain et après demain tu pourras plus marcher ?
Raïs Ouai retourne moi le cul dans tous les sens.
Moi pas besoin de me le dire deux fois

Comme sa chemise n'était pas encore boutonnée je put lui toucher ses abdos. Mes doigts retraçait tous ses muscles encore contracté car il venait de finir son sport et au moment où j m'apprêtais à l'embrasser il pointa la porte toujours ouverte derrière moi.

Raïs ferme au moin la porte, quelq'un pourrait nous v...

Il n'eût pas le temps de finir sa phrase que j'étais déjà en train de m'embrasser, puis lorsque nous reprenions notre souffle je lui murmura à l'oreille.

Moi ne t'inquiètes pas il n'y a plus que toi et moi ici.

Puis je repris nos baisers avant de lâcher ses douces lèvres sucrées pour m'attaquer à son cou. J'y fis quelques suçon éparpillés sur toute cette partie de son corps et je laissais plusieurs baiser papillon entre chaque tâche bleutée. Sa respiration était saccadé, il ne laissa aucun gémissements sortir de sa bouche car il savait que sinon je deviendrai accro à ses petits bruits de plaisir, enfin il fini par gémir lorsque je frotta nos deux membres bien exister l'un contre l'autre. Et il avait bien raison je voulais l'entendre gémir à s'en casser la voix.

C'est à se moment que je lui enleva son pantalon et son caleçon qu'il avait enfiler un peu plus tôt. Il se retrouver alors nu devant moi et je m'étais moi aussi mis nu. Il se retrouver assis devant moi sur le banc au milieu de la pièce oubliant presque la porte ouverte derrière nous. J'étais alors à genoux devant lui près à mettre son membre dans ma bouche mais avant tout je devais lui demander quelques choses.

Moi es tu près ?

Sa réponse ne fit qu'un petit aquiessement affirmatif de sa part. Je pris alors son membre en bouche et sans plus attendre je commençais à sucé sa bite doucement avant de commencer à faire des gorges profondes. Je ne serai pas dire combien de temps je l'ai sucé avant qu'il ne jouissent dans ma bouche mais ça n'avait pas dû duré très longtemps. Derrière les bancs de trouver des casiers, sur lesquels je plaqua mon petit ami. Il mis ses jambes autour de ma taille et je voulais commencer par le préparer à ma venu en lui mais je préférais répondre à sa demande alors j'entrai directement mon membre en lui. Il hurlait, sûrement de douleur mais ses cris horriblement sexy on vite était remplacer par d'autres qui était tout au tant sexy mais ceux là étaient plutôt d'un plaisir intense. Je venais de commencer des coups de reins. Il était si bon. Je suis venu quelques temps après que lui se soit déversé sur nos deux torses.

Après avoir repris une douche et nous être rehabiller nous sommes chaque reparti chez nous... Non j'ai du l'aider pour rentrer chez lui car il n'arrivait pas à marcher et au final vu que nous sommes arrivés chez lui a plus de vingt trois heures ses parents mon autorisé à rester pour la nuit seulement si nous ne faisions rien de la nuit, je crois qu'elle n'avait pas compris que je l'avais déjà baiser tout à l'heure.

Le lendemain et même le jour d'après il boiter encore, ce qui me faisait bien rire. Heureusement que nous n'avions pas sport avant un moment.

Fin
C'est la fin de ce quatrième OS
Le Raïs x Déol