Je t'aime comme un fou [En correction]

Chapitre 4

|Pdv de Kalinda|

~5H~

BOUM !!!!

Cet énorme bruit c'est moi qui tombe gracieusement du lit, pourtant d'habitude ça ne m'arrive jamais, je me relève donc en me tenant les fesses de la main gauche. C'est malin ça, j'espère que je n'ai réveillé personne avec les conneries que je fais pendant mon sommeil. Je m'approche alors calmement de la fenêtre, bien évidemment il n'y a aucune lumière dehors, la seule chose lumineuse c'est la lune qui est bien haute dans le ciel, le soleil n'est pas encore lever, mais la voiture de Charlie est là donc je suppose qu'il n'est encore pas parti au poste de police. Je m'étire pendant quelques minutes avant de silencieusement allumer la lumière.

- Bon, autant en profiter pour me préparer, de toute façon je n'ai plus sommeil pensai-je.

J'attrape mon sac avec toute mes affaires, comme d'habitude je choisi une tenue assez simple.

\Image de la tenue de Kalinda/

Je me dirige dans la salle de bain relié à la chambre où je me regarde dans le miroir .

- Pour une fois j'ai une jolie tête au réveil, enfin presque jolie personne ne peut être magnifique au réveil pensai-je.

J'enfile rapidement ma tenue sans prendre de douche avant d'ensuite faire ma petite routine du matin, brossage des dents, anti-cerne, et pour finir mascara. Concernant mes cheveux je fais un chignon simple avec quelques barrettes pour le faire tenir en place toute la journée. Je me regarde une dernière fois dans la glace avant de retourner dans ma chambre où j'attrape mon sac de cours que je mets sur mon épaule.

- Normalement je n'ai pas de devoirs à faire pour aujourd'hui donc tant mieux pour moi pensai-je.

Je descends donc lentement les escaliers qui mènent quasiment à l'entrer de la cuisine.

- Étrange il y a de la lumière... pensai-je.

J'entre tranquillement dans la cuisine où se trouve Charlie le père de Bella.

Moi : Bonjour monsieur Swan.

Charlie : Oh ! bonjour Kalinda tu es bien matinal.

Moi : Oui, je suis tombée du lit...

Charlie : Je comprends mieux maintenant le pourquoi du comment tu es levé rit-il.

Moi : Arrêter ce n'est pas drôle ! Dis-je très gênée de cette situation.

Charlie : Oh que si crois-moi, mais tu comptais partir sans rien manger ?

Moi : Euh...

Charlie : Désoler jeune fille mais chez moi personne ne sort d'ici le ventre vide !

Moi : Mais monsieur je ne veux pas m'imposer...