The End Of The Quest TERMINÉE

Chap 2 : La rencontre

Une voix retentit dans le long couloir mènent aux geôles, puis une autres comme si les personnes en approche se disputaient. Ce qui estait réellement le cas, le sujet de la querelle estaient en lien direct avec l'information capital que venait de découvrir le rouquin.

Effectivement l'alchimiste venait d'apprendre qu'un de ses informateurs avaient vu, il y a plusieur jours deja, deux enfants ressemblent à si méprendre au deux élues à leur âge. Ce qu'Ambrosius décréta comme une aubaine, récupérer les enfants des élues et leur faire gentiment du chantage après tout cella avaient déjà fonctionné avec le père d'Esteban.

Ce qui réjouissait le plus Zares c'estait qu'après des années à chercher ces maudits gamins comme il avait aimé les applés dans leur jeunesse, c'estait eux qui se signalaient et lui n'avait plus qu'à les cueillir.

Les deux compères arrivèrent devent les cellules des deux captifs favoris du chimiste enfin ses seuls pour le moment. Le roux revoya d'un geste de la main son sous-fifre.

" Tu sais quoi, Mendoza?" L'interroga sarcastiquement le roux

Pour toute réponse le capitaine leva les yeux au ciel sous le regard amusé de l'épéiste. Leur geôlier n'y fit geurre attention et poursuivit comme si de rien n'estait.

'' Et bien, vois tu, j'ai retrouver la trace de nos chère amis. Vois tu donc, ton silence, enfin votre silence fit t'il en désignent tours à tours les deux autres humain. N'a réellement servit à rien puisque je sais désormais où se trouvent les bambin de Zia et Esteban!" Il fini sa phrase par un rire diabolique plus que cliché.

Plus le roux avaient parler et plus les têtes de Mendoza et Laguerra avaient changer, tout d'abord par la surprise puis par la déception de n'avoir pût empêcher ce drame pour finir la l'incrédulité : Esteban et Zia avaient eut des enfants?

~~~

Esteban et Zia car c'étaient eux et non leur enfant comme le pensait Zares, marchait dans les rue de Barcelone, a la rechercher de la taverne des deux marins.

Tao lui estaient resté au Condor, aucuper a ils ne savent quel expérience. Le condor, Tao avaient eut bien du mal à le ramener à Patala, en effet Esteban avaient beau le lui avoir plus ou moins léguer, le fils du soleil avaient quelque peu oublié un détail importants : Seul les élues peuvent le piloter et soit dit en passent ouvrir l'escalier mènent à la cabine. Alors avec Laggeura et Mendoza, il l'avait laisser à Zimbabwe le temps de trouver comment le rapatrier à Patala ce qui soit dit en passent leur a pris presque cinq ans. Heureusement que le naacal avait plein de ressource et d'inventivité.

Le condor venait d'atteindre l'Inde quand Medoza et Laguerra partirent. Sans plus jamais donner de nouvelle au jeune homme.

Les élues donc marchaient main dans la main dans les rue sinueuses de la ville catalane, observent chaque Taverne en espèrent apercevoir celle de leur deux ancien compagnon de voyage. Ils passèrent devant l'ancienne taverne de Rico avec un pincement au cœur. Elle estait vide et plus aucune perte n'avaient de nouvelle du tavernier depuis le jours ou ils avaient quitter Barcelone pour la Chine. Esteban ne pouvait pas s'arrêter de pense qu'il y estaient pour quelque chose, que c'estait Parcequ'il les avaient aider que l'homme avaient disparu sans laisser de trace, peut-être même qu'il estait mort ce dit le fils du soleil, se promettent d'éclaircie ce mystère un jours.

Dans le dédale de vielles rues, la jeune fille fini par trouver ce qu'ils cherchaient. C'estait une taverne de taille resonable, a la porte d'une couleur rappellent les émeraudes avec les quels ils avaient put acheter leur commerce. L'enseigne étaient constitués d'un morceau de bois tailler pour ressemble plus ou moins à un bateau ou estait écrit à la peinture passe "Chez Pedro et Sancho!".

Les deux enfant poussèrent la porte et entrèrent dans la salle vide à cette heure de l'après-midi, fessent tinter une clochette sur leur passage.

Un jeune homme sorti de ce qui semblait être la réserve, il ressemblait au Pedro de leur souvenir mais plus jeune, il devait avoir deux ou trois ans de plus qu'Esteban soit seize ou dix-sept ans.

"On sert pas les mômes parte! Leur dit t'il sans ménagement
- On est pas la pour ça, savez vous où sont Perdro et Sancho ? Demanda gentiment Zia
- Qu'est ce que tu leur veux?
- Les voir. Fit Esteban comme une évidence
- Vous moquez pas de moi, disparsez!"

Du bruit se fit entendre de l'autre côtés de la tendure qui sépare la salle de la réserve, et un homme à moitié endormi apparus. Les enfants le renconures de suit maigres les vingt cinq ans de plus qui lui marquait le visage de ride.

'' Juan-Carlos, qu'est-ce qu'il te prends de crier comme ça? Fit l'ancien marin d'une voix endormie.
- Pedro ! " Dirent les deux élues dans un ensemble parfait

L'entente de la voix de ses deux anciens compagnons de voyage lui fit l'effet d'un électrochoc. Le réveillent complètement, il crue tout d'abord à une ilusion du au manque de sommeil puis finit par en conclure que c'estait réel après s'être pincé discrètement.

'' Les enfant! Sancho viens voir ! Il sont revenus!"

~~~

Un léger bruit de pas resonait dans le couloir désert. Le vieux marin compris rapidement que le bruit provenait de la personne charger de leur apporter leur frugal repas du jour qui comme d'habitude serait composé d'un bout de pain de mais, un fruit et d'un verre d'eau.

Ce qui changa constata la prisonnière c'estait la servante qui leur apporta le mince déjeuner, une femme d'une quarantaine d'années au cheveux châtain et ondulés. Ses yeux noir, baissé montrait une telle tristesse. Le femme qui semblait tellement fragile, portait le plateau comme si elle en avait l'habitude et pourtant Laguerra ne se souvenait pas d'elle.

Mendoza lui estait troublé par la servente qui lui semblait familière, pourtemps il lui estait impossible de savoir où il l'avait déjà vu. Après tout il avait croisé tellement de personnes au cours de ses nombreux voyages.

L'esclave elle se sentait inexorablement attirée par l'homme enfermé comme si il pouvait l'aider ce qui estait plutôt drôle quand elle y pensait.

La brune leva les yeux un quart de seconde et compris pourquoi cet individu lui semblait familier, il estait déjà venu dans son village. Elle eut une triste pensée pour ce village où elle avait vécu et qui désormais n'estait plus qu'un tas de cendres. Ce village qui avaient résisté à tout les attaques grâce a son mari mais qui a été vaincu par ce diable roux en même temps que l'homme qu'elle aimait.

"Mendoza" murmura la servante triste

Le capitaine l'observa ne fessent toujour pas le lien entre la femme triste qui ce tenait devent elle et la jeune fille forte qui avait échappé au olemque il y a une éternité...