The End Of The Quest TERMINÉE

Chap 6 : La fin d'un voyage (1)

Loin de tous dans ce monde vetut d'or, les sages et la princesse divisait sur l'avenir de leur vies qu'il savait touchaient a sa fin maintent que les elus savaient comment trouvé la fontaite de jouvance qui permaitait de stopper le temps en particuliers le leursgrace a ce monde dans le quel ils vivaient tous depuis des eternité dans le seul but de conduires ces deux enfant au therme de leur mission, qui fut accomplit grace a la stetieme cites. Ces gardiens du savoir revait maintent que du repos au quel ils avaient le droit quitte a devoir sacrifier d'autres gens, quitte a devoir sacrifier ces deux enfants...

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Au coeur de la forteresse d'Ambrosius, tous se passa en un eclaire : Zia et Esteban se prirent la main et recitaire quel que mots apris durent leur voyage, mots d'une langue oublier de presque tous mais dont la pronociation elle etsait reelement oublier de l'histoire. En quelque mots ils reussir a detourner l'attention de leurs ennemis, saisicent les mains de Laguera et Mendoza et s'enfuiyant. 

Zia avait voulu emener Maina egalement mais sa soeur avait lache sa main refusant d'abendoner les siens a la servitute alors qu'elle estait libre. Elle preferait rester la avec eux pour se battre contre cette homme comme sa soeur et ses sauveurs. Ils lui avait rendu cet espoire qu'un jours tout finirait bien si elle le croyait et elle voulait le croire, pas que pour elle mais pour Viracocha et tous les autes mort au nom de la libertée.

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Tao, Juan et Gaspar attendaient au pieds du condor attendent les elus en effet depourvu de medaillons ils estaient condanés a rester a la porte de leur vechicule, a la merci des mayas qui pouvaient revenir avec une idée changer d'un moment a l'autre, ce qui risquait d'etre peut simpatique pour eux. 

Un bruit leger de pas, attira l'attention des garcons sur leurs garde, sabre au claire pour Gaspar et bout de bois en temps que gourdins pour les autres, ils estaient pre qu'importe qui osait franchire ces buisson, il estait mort d'avence. Le petit probleme de rien du tout estait que a cause de cet etat d'esprit ils faillir tuer le groupe de fugitif qu'ils attendaient, heureusement que Zia eut le reflexe d'envoyer valser par la penser les armes de ses compagons juste avent qu'il ne decapite Mendoza. 

Des embrassade plus tard tous montairent a bors du vaisseau et Mendoza et Isabella main dans la main poserent enfin la question qui leurs brulait les levres.

" Zia, est ce vrai? ce que tu nous a dit tout a l'heure?

- En effet...

- Que veux tu qu'on fasse? On ne sais pas ou se trouve cette "ile". Dit Mendoza

- On le sais mais vous estez ce qui on le plus de chance de pouvoir nous aider a comprendre les indice qu'ils nous ont laissé. Fit Esteban.

- Tu te rends conte que tu parle quand meme de l'Atlendide? Fit remarquer Laggeura visiblement amusée.

- Attendez cinq minutes, on peut nous expliqué ce qui se passe? Les coupe Tao perturbé.

- Bon je croiq qu'il esttemps de tout vous expliqué. fit Esteban

- Alors, quand nous sommes partis : nous nous sommes retrouvé dans un monde paralelle si on peut appeler cella ainsi car la ou nous estions il c'est passé a paine quelque mois, tout au plus une année et pourtemps ici il c'est passé vignt cinq ans. Dans cet autres monde les sept cité sont ensemble, unies pour reprendre le mots des sept sages.  Commence l'inca

- La-bas, ils vivent encore comme n'importe le quel d'entre nous.

- Esteban, attends qui vit? Le coupe encore Tao

- Rana'Ori et les sept sages de Mu et d'Atlentide, ils sont en tout point selblable au lumino projection des cités et pour trmps eux sont bel et bien vivant.

- Et gamin, laprincesse ont a vu sa momie qu'est ce que tu raconte.

- Ils vivent au dela de la mort si on veux, grace a l'eau de la fontaine de jouvance, une fontaine legendaire qui se trouve en Atlentide et qui a le pouvoir de donner la vie eternel a ce qui la boivent et a ce qui la prene avent de mourire de continuer a vivre apres leur mort. C'est compliquer je sais pas comment expliqué mais ils faut qu'on la trouve et pour cella on a besoin de vous car on a des indice mais rien de vraiment concret.

- Comme d'habitude quoi, ta quoi comme piste? Demende la Nacaal 

- Il faut trouvé l'etoile qui se reflete dans les yeux du fauve, de la suivre la cource de cette etoile dans l'ocean puis l'ile d'or et de la plus rien comme instruction.

- Si ce laisser guider par ce que l'on sais, tres precis tous cella. " Mis fin a la discution Zia.

Mendoza se posa sur le siege jadis atribuer a Tao relegué a l'arriére, sachant Mendoza plus utlie a ses amis pour le moment. Le navigateur avait une petite idée de l'etoile du fauve et guidait Esteban au travers des nuage. Le fils du soleil volait au travers du ciel avec un mince espoire de retrouner sur ces terres ou a commencer son periple il y a plus d'un quart de siecle pour dire adieux et au revoir a tous ces etre qui l'on soutenut et aider au fil de son voyages sur se continent plein de mystere.

Le soleil commencait a decliné quand le condor se posa sur le sable chaud face a d'imense Pyramides centenaire, pres de ces magnifique monument tronait le roi de ce desert aride une grande statut au corps de lion et a la tête d'homme. Le shynx mirait le ciel depuis des eternité et pour encore des eternité, il avait donc semblé au navigteur de conduire ses deux protegés vers cette statut au dimension hors normes.

Alors que le petit grand groupe s'approchait du monstre de sable, un jeune garçon apparu au detours d'une dune, leur bloquant le passage, un air en colere sur la figure, a priori peu ravis de voir des visiteurs.

"Aretez-vous!" Ordona l'enfant.

Ils se stopairent donc, preferent joué la carte amicale plutot que de foncé dans le tas au grand desepoire d'un certaine ex-capitaine de la garde vetut de rouge. L'enfant s'aprocha les mains dans son dos s'emblait tenire quel que choses de non visible pour nos heros.

Arrivé a un metre de Juan, qui avait le malheur de se trouvé devent ses compagnos, le jeune homme sortit de derière son dos une lame trop longue pour etre un poignard mais trop courte pour etre une epée qu'il pointa vers le fils du tavernier.