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2021, samedi 31 juillet, Paris.10h06

Je sens le matelas bouger ce qui me réveille, j'ouvre mes yeux, tapote derrière moi, je sens que Neymar est pencher dans le vide.

- Qu'est-ce que tu fais coração ? Baillais-je.
- J'ai fais tomber ma boucle d'oreille.

Je le laisse chercher pendant que je prends le temps de bien me réveiller. Eloa nous a réveiller à sept heure pour la tétée, je suis fatigué d'être réveiller la nuit mais heureusement que Neymar est adorable avec moi.

C'est lui qui va chercher Eloa pour me l'emmener, nous partageons le moment de la tétée à trois, c'est lui qui la ramène dans son lit et pendant que je me rendors il berce Eloa pour l'endormir. J'ai un homme parfait à mes côtés et qui m'aide énormément. J'ai conscience d'être chanceuse.

Le matelas se remet à bouger puis je le sens se coller à mon dos pour m'enlacer.

- Comment tu te sens ? Embrasse-t-il mon épaule.
- Je suis éreinté coração; soufflais-je en rigolant.
- C'est une des principales forte causes d'avoir envie de me faire l'amour mon ange; dit-il amusé.
- Si c'est un des seuls inconvénient de faire des folies de mon corps avec toi alors ça me va; souriais-je.
- Et ton avantage de me faire l'amour c'est d'éprouver beaucoup de plaisir.

Je ne le vois pas mais je sais qu'il sourit et je ne me vois pas non plus mais je sais que je souris niaisement.

Ses doigts se baladent sur mon dos qui est pris de frissons, je me tourne face à lui, attrape son visage et dépose un petit baiser sur ses lèvres.

- Tu n'auras plus besoin de penser à la capote.
- Ah bon ?
- Oui, je prends énormément de plaisir en mettant une capote et toi tu te sens mieux sans capote alors je pense que nous avons trouver notre moyen de contraception; souriais-je.
- Tu le fais pour toi hein ? Pas pour moi ?
- Je le fais pour mon plaisir.
- Génial parce que j'ai adorer.

Je souris en caressant sa joue, je remonte à son oreille en la caressant.

- Tu as retrouver ta boucle ?
- Oui, elle était pas bien loin; sourit-il.

Nous restons à nous regarder dans un silence, sous des sourires, des regards et des caresses. Eloa se met à pleurer, non j'aurais aimer que notre moment dure plus longtemps.

- C'est l'heure de la tétée; souriais-je.
- Je vais la chercher.
- Merci coração.

Il me sourit et se lève en quittant la chambre. Il revient quelques petite minutes plus tard avec la petite princesse dans ses bras, je me relève dans le lit pour m'asseoir mon dos poser contre la tête de lit, il me la donne.

Je la porte dans mes bras et lui met mon téton dans sa bouche, je la sens immédiatement tétée, elle est toujours rapide dès que je lui donne mon téton, ce sera une gourmande plus tard et peut-être même une grande mangeuse.

    - Vous êtes si belles; sourit-il.
    - Avec Eloa nous, nous sommes mise d'accord pour te retourner le compliment.

Il rigole alors que je souris en regardant ma fille. Je fini par regarder Neymar qui nous regarde, il est allongé sur le ventre.

    - J'ai faim; dit-il.
    - Va te préparer ton petit-déjeuner.
    - J'ai pas envie, tu as un téton de libre, je peux tétée ?
    - À ton grand âge quand même; rigolais-je.
    - Ma fille est d'accord pour me partager sa nourriture, sourit-il.
    - Tu ne vas pas voler le lait de ta fille, déjà que grâce à Eloa tu as plus de forme à palper et ma poitrine a grossit alors contente toi de ça.
- Pffff t'es pas cool, Carol me laisser la tétée.
- T'es sérieux ? Éclatais-je de rire.
- Évidemment que non, tu m'as pris pour un bébé ? Rigole-t-il. Bon je vais préparer mon petit-déjeuner.
- Tu peux préparer mon petit-déjeuner aussi mon roi ? Souriais-je.
- En voilà une qui sait parler aux hommes; sourit-il.
- J'apprends en observant mon mentor parler aux femmes.
- Ne me lance pas trop de fleur, je ne vais plus réussir à marcher après.
- C'est pas embêtant puisque tu es en congé.

Je lui souris en haussant mes sourcils plusieurs fois d'affiler, il éclate de rire et quitte la chambre.

- Mon roi puisque tu es muscler et fort, si tu en as la volonté peux-tu apporter le plateau au lit pour un petit-déjeuner en présence de deux princesses.
- Ça va Paoma n'en fait pas trop non plus, il faut que tu marches le plus souvent tu m'as dit, alors tu sortiras du lit pour rejoindre la cuisine.

Je souffle mécontente et lance un discret « et merde ». Bon j'aurais tenter au moins. Neymar revient en prenant Eloa dans ses bras.

- Je sentais que mon sein s'encombrer, sa tétée était plus que bienvenue; dis-je soulagée.
- Je te l'ai dit de me laisser te tétée, en trente secondes tu aurais été débouchée; rigole-t-il.
- Vient me tétée pour déboucher un peu s'il-te-plaît.

Il éclate de rire, je rigole pas, ça me gêne et j'ai besoin d'être désencombrer.

- Allez vient au lieu de rigoler.
- Ok, laisse place au professionnel préféré du débouchage des tétées de ses dames.

Je souffle, il me fatigue, vraiment beaucoup. Il repose Eloa sur le matelas et s'allonge sur le ventre, il attrape mon sein pour le secouer, je repousse sa main.

- Tu fais quoi là ? Demandais-je en soufflant.
- Je mélange ton lait.
- Je te demande pas de prendre ton petit-déjeuner, je te demande juste de me tétée un peu pour me soulager.

Il encercle mon téton de sa bouche et malaxe mon sein, il me tète tout en malaxant. Je ne veux même pas savoir pourquoi il fait ça, il doit prendre mon sein pour un tube de petit filous.

Je le vois grimacer de dégoût, je m'en fiche que ce soit pas bon parce qu'il me soulage, cet sensation de bien-être c'est exactement la même quand tes pieds nu touche le carrelage froid après avoir marcher des heures, c'est exactement la même sensation quand tu t'étires le matin ou même quand tu as chaud l'été et que tu déplaces tes pieds à une zone froide, un réel soulagement.

- Tu peux arrêter coração, ça fera l'affaire jusqu'à la prochaine tétée.
- T'es sure ?

J'acquiesce en souriant, je prends une grande inspiration puis expire en souriant encore plus, j'attrape son poignet pour le caresser.

- Et bah en voilà une qui est comblée; rigole-t-il.
- Merci; souriais-je.
- C'était pas le meilleur lait que j'ai goûter mais c'était passable et en plus ça cale bien l'estomac cette merde.

Je rigole puis attrape sa nuque pour l'embrasser tendrement.

- Je t'aime; souriais-je.
- Toujours là pour assouvir aux moindres demande, soulagement et désir de mademoiselle; dit-il en embrassant le dessus de ma main. Bon c'est pas que je ne t'aime pas mais je vais aller boire un jus d'orange pour masquer le goût; rigole-t-il.
- Et moi je suis une femme éreintée mais comblée; souriais-je de toutes mes dents.

Il rigole puis m'embrasse passionnément, il reprend sa fille puis quitte la chambre.

Fantasme interdit Tome 3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant