Chapitre sixième :
Il posa sa main sur mon épaule et nous téléporta devant le bureau du Boss. Ce dernier sortit en furie de son antre. Des dizaines de document tourbillonaient dans les airs, les vitres de la portes volaient en éclats. J'étais à la fois inquiète et effrayée. Mais qu'est-ce qui pouvait bien le mettre dans cet état ?
Et comme pour répondre à ma question mentale, le Boss cria :
-"Ils veulent la Guerre ? Ils l'auront ! Arg on peut compter que sur soit même apparemment !"
-"Qu'est-ce qu'il y a Boss ?" L'interrogea Luc d'un ton calme.
-"Eh bien tu sais le sous-chef du secteur 15 ?"
Mon mentor acquieça.
-"C'était un traitre ! Il a donné des infos sur nous à l'armée blanche !"
Malgrès le silence qui régné, l'on pouvait bien voir que notre patron fulminait. Il se mit à me fixer, comme s'il venait de s'apercevoir de ma présence. Puis d'un bref geste de la main, il m'incita à le suivre. J'entra dans le bureau avec lui, me demandant bien ce qu'il avait à me dire.
-" T'a formation est-elle finis ?"
Je répondis par un rapide hochement de la tête.
-"Tant mieux, on n'a plus de temps de toutes façon." Il fouilla dans un tiroir, puis dans un autre, et encore un autre. Il continua ainsi de suite jusqu'à mettre la main sur un bracelet. Il me tendis le bijoux en question. Je le pris du bout des doigts et l'examinai : c'était une sorte de vieille montre en cuir, cependant l'heure qu'elle m'indiquait était des plus étrange, d'autant plus qu'elle était dotée de 8 aiguilles. Remarquant mon air interpellé, le patron m'expliqua :
-"Ce n'est pas une montre qui indique l'heure."
Je resta de marbre alors il continua :
-"Elle indique..." Il regarda le cadran "Bref on a pas le temps c'est juste une question de pouvoir, Luc t'expliquera comment ça marche, pour l'instant ce que tu dois savoir c'est que quand la petite blanche commence à pivoter comme ça, c'est qu'on a un problème."
Rassurant. Nous sortîmes du bureau et le boss nous rammena, moi et mon mentor, à la surface. En un claquement de doigt, nous fûmes vêtu "normalement" et en un battement de paupière, nous nous retrouvâmes en terrain "hostile".
-"On va avoir besoin de renfort, toi Luc tu vas vers les jeunes là-bas, tu sais ce que tu as à faire, et toi Marada, tu me suis et surtout tu ne dis pas un seul mot." Chuchota le Boss.
Je marchais derrière lui, suivant ses conseils. On sortis et il commença :
-" Il y avait des archanges dans cette boîte, il est très important que tu ne leur parle pas. Tu n'est pas encore totalement "convertie" et ton potentiel est tellement interressant que nous ne pouvons pas nous permettre de te perdre... Surtout en ce moment."
-"potentiel ?"
-"Oui a ton arrivée je t'en avais déjà parler, tu as beaucoup de rage de colère... Et ton âme était comme vouer aux enfers, Ils ont essayer de t'avoir plusieurs fois, mais Ils n'ont pas réussis. Je te parle des sois disant êtres du "bien".
Luc revint et le patron l'interrogea su regard, ce a quoi Luc répondis qu'il en avait eu quatre dont un très interressant.
-" Bien rentrons, j'avais sous évaluer la situation, il y en a bien trop dans le coin, de plus ils sont puissants."
Sur ces dernières paroles, il nous transporta chez lui, dans son antre.
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De l'autre côté
FantasyAvez-vous déjà eu envie d'en finir ? De quitter cette vie ? Moi oui, elle m'a tiraillée chaque jour un peu plus, du moins avant que je ne prenne ma décision. On vous a toujours dit que la mort était la fin, mais on ne vous a sûrement jamais raconté...