Imagine Chace Crawford pour Matylde.

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Chace est ton meilleur ami depuis des années, vous vous êtes rencontrés au collège grâce à vos pères qui étaient d'anciens collègues. Malgré les deux ans qui vous séparent , vous avez directement accrochés, vous aimiez les mêmes choses , en musique, en films, en arts, en nourriture, ... quasiment tout pareil. Un sujet sur lequel vous n'aviez jamais réussi à vous mettre en accord c'était l'amour. Aujourd'hui approchant la trentaine tous les deux, Chace avait toujours cette habitude de ne rien avoir de sérieux avec les femmes en fait tu ne l'avais jamais connu en couple plus d'un mois et il disait trouver l'amour stupide. Pour lui tout cela était inutile. Au contraire , de ton côté, tu croyais au grand amour et d'ailleurs encore plus depuis maintenant trois ans, chose qu'il ne savait pas, car tu t'étais rendue compte que en vieillissant, tes sentiments à son égard avait changés. Lui s'était calmé de son côté sur les aventures mais il n'était toujours pas décidé à se caser et ce n'était pas si mal pour toi.

C'était une jolie matinée de Janvier, un des premiers Dimanche de l'année 2015 et tu t'étirais dans ton lit avant de rejoindre la cuisine, la tête embrumée et seulement vêtue d'un marcel trop grand blanc et ta petite culotte noire en dentelle de la veille. Tu baillais doucement et te dirigeais vers la cuisine, les yeux mi-clos. Tu te postas devant les placards et en sortit une tasse avant de mettre la machine à café en marche. Une main s'abattit sur tes fesses, te faisant brusquement sursauter et te retourner en faisant les gros yeux, effrayée du geste. Tes traits se détendirent instantanément en reconnaissant ton meilleur ami, les yeux rieurs et portant juste un jean dont son caleçon dépassait.

- Faut pas se balader comme ça chérie. T'as l'air épuisée. La fête était rude hier mh?

Tu te retournais et haussais simplement les épaules avant de froncer les sourcils et te retourner de nouveau en brandissant ta tasse vers lui, suspicieuse.

- Attends deux minutes. Qu'est-ce que tu fous à moitié habillé chez moi de si bon matin? Et pourquoi tu as ce sourire niais d'imbécile heureux?

Son sourire s'effaça en quelques secondes tandis qu'il se mordait nerveusement la lèvre inférieure.

- J'ai passé la nuit, tu te rappelles hein? S'il-te-plait, dis moi que tu te rappelles au moins de notre fin de soirée.

Tu secouais la tête frénétiquement, cherchant d'où il voulait en venir. La première chose qui te vint en tête était que vous auriez couché ensemble mais tu savais parfaitement que si ça avait été le cas, tu t'en rappelerais car ça t'aurait probablement totalement désaoulée. Tu te contentais donc de hausser négligemment les épaules.

- A-t-on couché ensemble ou quelque chose comme ça?

Le ton de ta voix montrait que tu n'étais pas sûre de toi et Chace le remarqua, provoquant un rictus heureux sur son visage aux traits fins. Il entoura ta taille de ses épais bras musclés tandis que tu te tournais de nouveau vers la gazinière pour préparer des pancakes.

- Tu m'as dit que tu m'aimais.

Le sachet de préparation des crêpes américaines quitta ta main et s'explosa au sol, te faisant pousser un petit cri aigu et faire un petit saut sur place. Tu te retournais brusquement, ses mains descendant sur tes hanches. Il te fixa une seconde et un large sourire reprit place sur ses lèvres tandis qu'il rapprochait dangereusement vos visages.

- Je suis amoureux de toi depuis tellement long Matylde, si tu savais.

Ses mots avaient l'effet d'un ouragan en toi, comme une troupe de pingouins se mettaient à danser la macarena dans ton bas-ventre et involontairement, tu lui rendis son sourire et brisai le petit espace qui restait entre vos visages, écrasant tes lèvres sur les siennes. Elles étaient douces, pulpeuses et elles se moulaient parfaitement aux tiennes, te provoquant un long et violent frisson qui remonta le long de ton échine. Tu te dégageas finalement, à bout de souffle et il colla vos fronts l'un contre l'autre.

- Ça résume assez bien ce qu'il s'est passé hier soir, murmura-t-il contre tes lèvres, son souffle chaud percutant contre la peau douce de ton visage.

- Je t'aime.

- Je t'aime Matylde.

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Ils vécurent heureux et eurent beaucoup beaucoup beaucouuup d'enfants. Bon Matylde j'espère qu'il t'a plu. Excuse moi pour les pingouins. J'aime trop les pingouins mh mh mh...PARDON DU RETARD AUSSI.

Bon vla les n'enfants y a un one shot et un imagine qui arrivent. Je vous n'ems ♡

LaughingIsCheap ♡

Imagines (sur DEMANDE...the vamps, magcon, 5 seconds of summer, ...)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant