partie 29

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On dit que la jalousie est une preuve d'amour.

J'ai une envie folle de lui donner une vrai fessée pour qu'elle ne puisse plus jamais faire ça, là ça va faire trop.
Et comme d'habitude tout le monde nous regarde, la bonne dame se retourne et veux s'en aller.
Je lui retiens fermement par l'avant bras.

Carla : lâche moi pauvre con.

Je l'empoigne plus durement.

Moi : Carla tu n'as pas intérêt à me mettre plus en colère que ce que tu viens de faire.

Carla : lâche moi tu me fais mal.

Moi : crois moi, j'aurais aimé de fesser mais je ne peux que faire ça.

Carla : lâche moi.

Jeanne : lâche là Noah.

Je n'ai même pas su quand elle est arrivée à notre niveau.

Moi : pas du tout, elle va me suivre.

Je la tire par l'avant bras que je serre toujours fort, elle n'arrête pas de geindre qu'elle a mal, j'étais comme drogué je ne comprenais rien. Aucun gars n'a essayé de me retenir, ce n'étais que des filles. Je l'amène dans les toilettes là je suis sur que personne ne pourra intervenir, je ferme la porte à clé.
Je la regarde, j'avais une colère en moi et franchement elle n'avait pas intérêt à placer un mauvais point si non je ne sais pas de quoi je serai capable.

Moi : tu as 30 secondes pour m'expliquer ce qui t'a pris et je t'averti tu n'as pas à faire la fille arrogante parce que je suis vraiment en colère.

Contre toute attente elle se met à pleurer. What??? Elle pleure ? Et depuis quand ?

Moi : arrête ça. Ce sont les larmes de crocodiles. Répond moi.

Carla (en pleure) : je te demande pardon Noah, moi même je ne sais pas pourquoi je l'ai fait. Mais je suis entrée dans une rage quand Jeanne m'a dit que tu lui as invité à la fête de noce de tes parents alors que moi, tu ne m'en as même pas en parlé.

J'étais perdu.

Moi : attend attend, tu m'as giflé en pleine salle parce que je ne t'ai pas parlé d'un truc ? D'ailleurs est ce que je suis obligé ? Non mais tu dois vraiment être folle. Il faut te faire soigner.

Carla (toujours en pleure) : je te demande pardon, ce genre de comportement ce n'est pas moi, je t'assure que moi même je ne sais pas ce qui m'a pris.

J'entends ses copines cogner contre la porte me demandant de l'ouvrir et ne lui faire aucun mal.

Moi : comment ça ce n'est pas toi ? Tu es possédée? En plus si c'est bien toi, c'est la troisième fois que tu me mets une claque en publique. Écoute moi bien, cette fois ci c'est la dernière, je t'assure que la prochaine fois je te frappe pour de vrai que ce soit en publique ou pas.

Elle s'assoit en pleure sur le bidet. J'ouvre la porte, elle pleurait toujours. Je dis à Ana vu que c'était elle la moins soule et celle qui avait un permis.

Moi : je rentre chez moi, voilà mes clés rentrez bien. Je la récupère tout à l'heure.

Elle prend les clés. Je n'allais pas quand même accepté qu'elles prennent un taxi alors que c'est moi qui les a amené. Ana prend la clé, elle et Jeanne entrent moi je sors sans lancer un regard à Carla.
C'est une vrai folle cette fille, je ne l'a comprend pas. Si toute personne ayant vécu une histoire amoureuse qui l'a brisé se comportait comme ça on rentrerait vite dans une jungle. Avec ce comportement je dirais que je comprends mieux pourquoi elle est seule.

Dans la peau de Carla.

Les filles entrent et s'accroupient  chacune autour de moi.

Jeanne : il t'a fait du mal ??? On va lui casser la gueule.

Moi : non, c'est moi qui l'en a fait.

Ana : il ne t'a rien fait ?

Moi : même pas une injure.

Jeanne : c'est un bon mec.

Ana : mais dis nous pourquoi tu l'as agressé comme ça devant les gens ?

Jeanne : oui dis nous, j'ai dit quelque chose de mal ?

Moi : non tu n'as rien dit. Je suis juste entrer dans une colère quand tu m'as dit qu'il t'avait invité alors que moi il ne m'en a même pas parlé.

Jeanne : ouille ce n'est rien que ça ?

Moi (en pleure) : oui et je me sens tellement conne maintenant.

Ana : l'amour rend conne miss.

Moi : tu racontes quoi là ? De quel amour tu parles ?

Jeanne : wesh, tu viens clairement de faire une crise de jalousie mondiale là.

Je sèche mes larmes.

Moi : MDR vous délirez. Je ne suis pas amoureuse de lui.

Elles : ooh que si.

Je me lève.

Moi : c'est n'importe quoi. Bon retournons nous amusez c'est son problème s'il est rentré.

Jeanne : on peut aller faire un sondage chez les gens dans la salle. Genre on leur donne la raison de ta réaction après on leur demande si c'est de l'amour ou de l'amitié.

Moi : dégage, tu racontes n'importe quoi.

Ana : Carla tu sais ? Ton cœur a encore le droit d'aimer, ça ne sert à rien de faire la fille forte, tu te condamnes à la tristesse.

Jeanne : en plus s'il aime de nouveau ça ne fait pas de toi une fille faible mais une fille forte qui a su se relever après être tomber. Crois le ce n'est pas tout le monde qui réussit à trouver l'amour après un ou des échecs.

Moi : vous racontez n'importe quoi. Je le considère juste comme un ami.

Jeanne : MDR. Tu as vu comment tu es sapée aujourd'hui ?

Moi : stuipppp on va danser.

Ana : Carla tu devrais te poser les bonnes questions. Peut-être lui aussi refuse de se l'avouer mais ça se voit qu'il t'aime.

Moi : n'importe quoi.

Jeanne : tu devrais te l'avouer, l'orgueil nous donne beaucoup plus de regret que de dignité.

Moi : OK j'ai compris, pardon allons danser.

Elles m'ont lâché et nous sommes retournés dans la salle vers 02 heures du matin Jeanne nous a dit que Lauraine n'allait pas venir et nous a expliqué la situation.
Jeanne avait quand-même fait son sondage auprès de sept personnes, il faut dire qu'elle ne lâchait pas vite l'affaire. Les sept ont dit que j'étais amoureuse.
Suis-je vraiment amoureuse de Noah ? En seulement 4-5 mois avec lui ? Pourtant j'ai déjà 9 mois seul ?
Non je ne le crois.

JE NE COMPRENDS RIENOù les histoires vivent. Découvrez maintenant