partie 16

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Mieux vaut développer ses idées, au moins on sera si on a eu tort ou raison.

J'entre en furie et je claque la porte, elle s'effraie.

Moi : tu peux me dire ce qui ne vas pas chez toi ???

Carla : quoi? Je t'avais dis d'arrêter depuis.

Moi : et tu me gifles devant les clients ?

Carla : oui.

Moi : d'accord, je crois que tu n'as pas retenu la leçon de la dernière fois.

Carla : Ahka.

Je ne savais pas ce que j'allais faire, mais fallait que je fasse quelque chose.

Moi : je fais te laisser, tu mérites même pas que je mets main sur toi.

Carla : stuipppp, ne me cherche pas c'est tout.

Moi : pufff finalement tu es vraiment une villageoise rien à faire.

Carla : je ne suis...

Le boss entre, il se dirige vers elle et lui administre une bonne gifle.

Carla : tonton!!!

Boss : ferme moi ta bouge, tu as été éduquer avec des sauvages ?

Moi : je disais tantôt.

Boss : non mais c'est quoi ça.

Carla : tu viens me frapper sans savoir ce qui c'est passé entre nous ??

Boss : je m'en fou de ce qui s'est passé, quelqu'un de civiliser se comporte convenablement devant des invités. S'il t'avait fait du tort, tu aurais dû attendre qu'ils partent et après me dire ce qui ne va pas et faire ce que tu veux.

MDR, il ne la gifle pas parce qu'elle m'a giflé. Je ne vais jamais le comprendre lui.

Boss : si à cause de ta maladresse, ils annulaient le contrat ?

Moi : ils ne peuvent pas boss.

Boss : qu'est ce que tu sais du marketing ? Deux associés qui se battent alors qu'ils viennent d'écrire des paroles sur Noël ça te donne envie de chanter leur production toi ?

Sur le coup il n'avait pas tort.

Carla : je suis désolée tonton.

Boss : tu as intérêt à l'être.

Carla : je le suis vraiment.

Boss : OK. Et arrête moi cette sauvagerie avec les hommes, tu crois que c'est comme ça tu les repoussera ? Tu repoussera les bon oui et attirera des plus sauvage que toi.

Carla : ieh ieh tonton ça va.

Boss : en tout cas continue à faire à ta tête, mais sache qu'une seule main n'attache pas un panier.

Et il s'en va.

Moi : pourquoi tu es même si sauvage ?

Carla : ça ne te regarde pas.

Moi : en tout cas, je vois bien qu'il y a une différence entre l'agneau Carla qui demandait les excuses il y a un instant et le loup carlou qui se braque.

Carla : c'est bon dégage, ne me marche pas dessus.

Je suis le boss dans son bureau parce que là vraiment faut que je sache pourquoi c'est à moi qu'il a refilé la tigresse.

Boss : qu'est ce que tu veux ?

Moi : maintenant dites moi, pourquoi c'est à moi que vous aviez attribué Carla votre nièce.

Boss : et pour la première fois de ma vie je crois que j'ai commis une erreur.

MDR, genre il a toujours raison quoi lol.

Moi : comment ça ?

Boss : c'est la fille de ma sœur, ma soeur a demandé que je la prenne sous mon aile.

Moi : je connais déjà ça, mais sa n'explique pas pourquoi vous l'avez mis sous mon aile à moi.

Boss : parce que vous avez vécu tous les deux la même histoire.

Moi : ieh? Pardon ? Comment ça?

Je ne comprenais plus rien et de plus le boss parlait avec les yeux en l'air. Je ne sais pas s'il va bien mais je me lève et l'apporte un verre d'eau. Il me regarde d'un regard interrogateur.

Boss : tu crois que je suis entrain de perdre la tête là imbécile ??

Oui

Moi : euh non, jamais boss.

Boss : stuipppp va remettre ça là-bas idiot.

J'exécute.

Moi : soyez donc plus explicite s'il vous plaît.

Boss : elle comme toi aviez vécu d'effroyables ruptures qui vous ont bouleversés.

Moi : euuuh... Et vous avez cru que nous faire travailler ensemble pourrait nous mettre ensemble ?

Boss : je ne suis pas idiot, je sais que tout les deux n'aviez plus foi en l'amour.

Moi : ah ça me rassure.

Boss : je me suis dis que parler avec quelqu'un qui a vécu la même chose que nous, qui sait ce qu'on ressent nous soulagera. Je voulais que vous soignez vos plaies ensemble par la parole que vous finissez ou non ensemble.

J'en revenais pas mes oreilles, je sais qu'il est gentil et qu'il m'aime comme son fils mais faire ça, c'est trop de gentillesse pour moi.
Tellement je ne prête plus attention et ne donne plus mon attention aux femmes que j'ai même pas remarquer qu'elle était comme ça à cause d'une rupture. D'habitude c'est le premier truc que je sonde chez une fille.

Moi : c'est gentille monsieur.

Boss : mais bon ça ne marche pas. Quand je vous ai vu arriver ensemble aujourd'hui tout souriant, joyeux et parlant je me suis dit que j'avais réussi.

Moi : je crois que personne d'entre nous est prêt à parler de son ressentir à qui que ce soit on veut juste oublier.

Boss : c'est ce que je constate. Je vais lui dire qu'elle peut quitter la boite si elle veut. Je lui trouverai un stage ailleurs et dans son domaine.

Moi : d'accord, elle ne me manquerai pas.

Il me lance un regard de méfiance.

Moi : sérieusement boss, elle est cool mais bon.

Boss : hummm mon petit, tu es sûre qu'elle ne te marquera pas?

Moi : certain.

Boss : d'accord bon elle est où ?

Moi : dans mon bureau et sur son téléphone sans doute.

Boss : OK allons y je lui parlerai là-bas une fois.

Moi : d'accord.

On se lève et on se dirige vers mon bureau, au couloir on entend des cris.

Boss : ça c'est la bonne, apparemment je les payes pour crier au travail.

Moi : ça vient d'où même ?

Boss: tu me pose la question ? Donc c'est moi qui les payes et c'est toi mon boss ???

Moi : 😂😂 waar le vieux.

Boss : hummm.

On continu à s'avancer et on trouve la foule devant et dedans mon bureau.

Boss : MAIS QU'EST CE QUI SE PASSE ICI!!!!

Tout le monde s'écarte et on aperçoit Carla et ma secrétaire toutes saccagées. MDR elles se battaient ? Mais pourquoi ?

Boss : CARLA!!!!

JE NE COMPRENDS RIENOù les histoires vivent. Découvrez maintenant