Une si belle amitié (Jean x oc)

Le choque

La nuit passait lentement dans les bras de Jean, je réfléchissais à comment notre amitié avait bien pu commencer pendant l'entraînement, et à comment elle avait évoluée au fil des années. Il est vrai que les premiers jours de l'entraînement je trouvais Jean assez particulier, il cherchait toujours des noises à Eren sans trop savoir pourquoi, il s'enervait toujours pour rien et c'est ce qui m'énervait avec Jean. Un jour il était encore entrain de s'en prendre à Eren alors j'ai décidé de m'en mêler.
Reiya : Eh Jean tu veux pas le laisser tranquille un peu ?! C'est peut-être pas la personne que tu préfères ici mais lache lui la grappe il a rien fait pour une fois !
Jean n'écouta pas un mot de ce je dis et marmonna juste avant de continuer à s'engueuler avec Eren, en ayant marre je décida de m'approcher de Jean et de le plaquer contre le mur juste à coté. Le fixant du bas de ma petite taille il me jettait un regard confus comme s'il ne comprenait pas ce qui se passait.
Reiya : Je pensais avoir été claire quand j'ai dis que je voulais du calme ! Dis-je en resserant un peu ma poigne. Il baissa les yeux comme pour s'excuser et je lacha sa main avant de retourner avec Marco. Et depuis ce jours nous étions devenus très proches. Après avoir eu ce flashback je trouva le sommeil rapidement jusqu'au lendemain matin. Aujourd'hui était un jour de repos ou nous n'avions rien à faire appart nous balader alors en me réveillant je décida de réveiller Jean par la même occasion.
Reiya : Eh Jean réveille toi ! C'est journée repos aujourd'hui ! Lui criant dessus en espérant que ça le réveille.
Jean : Pourquoi tu parles si fort, j'suis à coté je t'entends Reiya bordel.
Je continuais mon plan en sortant du lit pour lui sauter dessus et retirer la couette. Je lui sautais dessus sans qu'il ne dise rien jusqu'au moment où je le sentis m'attraper le bras et me retourner sur le matelas.
Jean : Alors ma belle à quoi est-ce que tu voulais jouer là ? Son regard ne lâchait pas mes yeux comme s'il allait me dévorer.
Reiya : Je voulais juste te réveiller, t'aurais dormis comme une marmotte sinon.
Jean : C'est vrai qu'a coté d'une femme comme toi c'est difficile d'avoir envie de se réveiller. Mais si tu veux continuer à jouer avec moi va falloir que t'en assume les conséquences...
Je sentais son visage de plus en plus se rapprocher de moi, mes joues commençaient à rougir sous la proximité. Ayant peur qu'il remarque que je rougissais je tourna ma tête sur le coté.
Jean : Ne fuis pas Reiya, c'est toi qui à voulu jouer. Dit-il avec un sourire en coin.
Après tout, pourquoi je m'amusais autant à l'embêter ? C'est vrai qu'on était proche mais nous n'étions que des amis. Mes joues me brulaient et je sentais le soufle chaud de Jean au niveau de mes joues, avec un léger effort je souleva mon corps de fit un léger bisous sur sa joue. Ses yeux étaient restés grand ouverts comme s'il était choqué de ce que je vennais de faire, mais il ne s'enerva pas et au lieu de cela, plaça une de ses mains sur ma joue en me regardant droit dans les yeux.
Jean : Je ne sais pas si je devrais faire ça mais j'en ai tellement envie...
Il approcha son visage rapidement et m'embrassa comme s'il avait attendu ça depuis longtemps, son baiser était doux mais on sentait l'impatience dedant. Il pressa légèrement sa langue sur ma lèvre inférieure pour me demander l'autorisation de le laisser entrer. C'est avec plaisir que j'entrouvris légèrement ma bouche pour permettre à sa langue d'accéder à la mienne, celles ci dansaient ensemble comme si elles s'étaient toujours attendues. Par manque d'air il mordilla sur ma lèvre pour pouvoir rompre le baiser ce qui me fit légèrement gémir, ce qu'il ne manqua pas.
Jean : Déjà entrain de gémir pour moi Reiya ? Il se pencha au niveau de mon oreille et chuchotta gentiment dedant.
Jean : Tu devrais attendre de voir ce dont je suis capable, si tu en as l'envie bien sûr...
Puis il se leva et partit dans la douche pour se laver. Légèrement sous le choque de ce qui vennait de se passer, passent mes doigts sur mes lèvres encore humides un léger sourire se planquant sur mes lèvres. Je me demandais juste ce que l'on était maintenant...