Une si belle amitié (Jean x oc)

Le plaisir

Je me retrouvais assise à califourchon sur Jean, rougissant de plus en plus, ce qu'il remarqua bien évidemment.
Jean : T'inquiètes pas Reiya tout va bien se passer...
Puis il vint deposer un baiser sur mes lèvres. Ses mots me rassurèrent, c'est vrai après tout je n'avais pas à avoir peur de quoi que ce soit avec Jean, il savait me rassurer et faire disparaître toutes mes peurs. Alors je pris une grande respiration et vint poser mes lèvres charnellement sur les siennes, ses mains explorant mon corps comme s'il ne le connaissait pas. La tension montait petit à petit quand nos corps se mirent à bouger toute en synchronisation, mes hanches se frottant sur les siennes sentant son membre se durcir du à mes mouvements. Je décendis alors devant lui et joua avec le bord de son pantalon pour lui faire comprendre qu'il était temps que je m'amuse. Il leva légèrement son corps me laissanr retirer son pantalon, dans le même moment il retira son tee shirt me laissant observer son corps musclé, je me pencha devant lui et vint déposer des baisers humides le long de son torse. Il se crispa sous mon toucher et laissa échapper un rale de plaisir, descendant de plus en plus, je pris avec mes dents l'élastique de son boxer et tira dessus, encrant mon regard dans le sien pour faire monter la tension. Je pris donc soin à agir avec une lenteur presque déconcertante pour le faire languir ce qui apparement lui déplut.
Jean : Tu vas me rendre fou si tu continues...
Mon coeur se mit à batte fort suite à ces mots mais je ne recula pas.
Reiya : Chut... C'est moi qui ai le contrôle là Jean...
Puis je lui retira son dernier vêtements, laissant son membre sortir fièrement devant mon visage. Je m'approcha et le pris en main, commençant des allez retours très lents puis, accéléra mes mouvements. Je le vis laisser tomber sa tête en arrière et fermer les yeux, de légers gémissements franchissant la barrière de sa bouche ce qui me fit sentir en contrôle. Je me replaçâ donc et posa mes lèvres sur la tête de son membre, léchant le liquide qui c'était accumulé. Puis petit à petit commença à le prendre dans ma bouche, faisant des mouvements de vas et viens. J'enroulais ma langue et accélèra le mouvement en espérant lui faire ressentir du plaisir. Ce à quoi il répondit en attrapant une poignée de mes cheveux tirant légèrement dessus.
Jean : Reiya, s'il te plaît.
Je sentis ce même nœud se former dans mon ventre ce qui m'encourageât donc à augmenter ma cadence, d'une main, je prennais soin de faire des mouvements de va et vient sur la longueur tandis que sa main poussait ma tête sur son long. Je me prépara en laissant ma bouche s'ouvrir un peu pendant qu'il poussait de plus en plus sur ma tête. Sa respiration commençait à devenir lourde et irrégulière me signalant qu'il était proche de sa fin, je le sentis de raidir une dernière fois et déverser tout son liquide en moi. Je leva les yeux pour le regarder, tout en avalant et me lechant les lèvres. Il me regarda avec de la luxure dans ses yeux et me pris par le poignet pour me plaquer contre le lit. Ayant oublié le fait que j'étais nue, le soufle frais sur ma peau me le rappella et me causa de tenter de couvrir mon corps, mais la main de Jean m'arrêta en pleine action.
Jean : Ne te cache pas Reiya, sinon je vais devoir te punir...
Un sourire malicieux plaqué sur son visage rougit par le plaisir et la tension. Il se pencha à nouveau sur moi pour dévorer ma peau, me laissant des marques de morsures et des suçons sûrement pour que ce soit visible pour tous le lendemain. Puis il se replaça devant moi, posa son front sur le mien laissant nos respiration se coordonner. Toute cette tension, tout cet amour pouvant enfin être relaché après tout ce temps et ça faisait du bien. Il encra son regard une nouvelle fois dans le mien et s'introduisit en moi. Un cri de plaisir et de douleur m'échappa et causa à Jean de s'inquiéter.
Jean : Ça va ? Tu veux qu'on s'arrête là ?
Mais je ne recula pas, je le voulais et jusqu'au bout alors je plaça mes mains derrière son cou, et l'embrassa passionnément, je bougea légèrement mes hanches, lui faisant comprendre qu'il pouvait enfin bouger. Il commença donc à faire de léger vas et vient, qui étaient douleuresement lents, me causant de grogner légèrement, à cette entente, il accéléra ses coups de bassins ce qui me fit crier suite au plaisir.
Jean : Alors princesse, je pensais que tu étais aux commandes... Dit-il avec une voix séductrice.
Jean : Je vais te faire regretter d'avoir jouer avec moi...
Ces vas et vient heurtaient parfaitement mes points sensibles, causant à mes yeux de rouler, ce qui l'encouragea encore plus à accélérer. À chaque coup, mes ongles s'enfonçaient dans sa peau, laissant des traces rouges. Il grognait de temps en temps du au plaisir pendant que je gémissait de plus en plus fort.
Reiya : Jea-Jean...
Ma voix commençait à se fatiguer, tandis que le nœud dans mon ventre se resserrait de plus en plus. J'atteignais bientot ma fin, mais avant que je puisse, Jean se retira de moi et me plaça sur le ventre, les fesses en l'air.
Jean : Pas maintenant Reiya...
Puis il laissa sa main heurté mes fesses,  me faisant gémir du à la douleur et à la frustration que je ressentais. Sans prévenir il s'enfonca en moi de nouveau, avec un angle différent me faisant ressentir des sensations incroyables.
Jean : Reiya.. putain...
Ses mouvements commençaient à devenir de plus en plus irréguliers et il commençait à atteindre sa fin. Étant très proche aussi je me laissa submerger par le plaisir.
Reiya : Jean s'il te pl-plait... Je n'en peux plus.
Il donna encore quelques  coups de reins puissant qui me firent atteindre l'orgasme tandis qu'il se retira pour finir sur mon dos. Il alla rapidement chercher de choix m'essuyer, puis nous tombions affalés sur le lit, épuisé par le temps que l'on venait de passer. Je pose ma tête sur son torse et plongea mes yeux dans les siens, il vint poser un léger baiser sur mes lèvres et me serra contre lui.
Reiya : Je savais pas que tu pouvais avoir autant d'énergie.
Jean : N'importe quoi pour toi ma belle. Dit-il en esquissant un sourire malicieux, puis sentant mes paupière lourdes je me laissa tomber dans les bras de Morphée.