Chapitre 8 🎈: ALERTE INTRUSION

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————————- KAMILA'S RESIDENCE ———————————-


En mettant le poêle sur la plaque de cuisson, je regardais l'heure qu'affichait l'horloge accrochée sur le mur.

Dix-neuf heure trente quatre, je ne devais plus perdre de temps.

On était déjà le 31 décembre, j'avais fêté le 24 décembre seule devant la télé comme tout les ans. Cependant, le nouvel an était un peu différent pour moi puisque j'aimais préparer beaucoup de choses à manger, je me disais qu'au moins je serais occupée...

Quant à l'autre détraqué, heureusement que je ne l'avais plus vu depuis le jour où il était venu me chercher à la patinoire. 

C'était clair, je n'avais rien à lui dire et il n'avais rien à me dire.

Puis, même si j'avais encore beaucoup de questions à lui poser, je savais pertinemment qu'il n'allait pas me répondre et Dieu sait ce qu'il allait faire cette fois à nouveau. Je préférais donc l'ignorer, et puis qui sait, peut-être qu'un jour je saurais enfin pourquoi il avait agit de la sorte en mon égard.

Toutes ces pensés futiles m'avait fait perdre la notions du temps, je n'avais même pas fais attention à mon plat qui avait déjà depuis longtemps commençait à cramer.

- Mince ! Me précipitais-je vers le poêle.

Le temps passait de plus en plus vite, j'avais encore beaucoup de travail devant moi, mais je l'avoue que parfois, même moi, je me demandais pourquoi je préparais autant de choses alors que j'étais toute seule et que je savais pertinemment que je ne pouvais pas manger autant en une soirée.

Et bien, si je devais donner une réponse, je dirais que c'est peut-être une question de tradition. Ma mère m'avais toujours appris à beaucoup cuisiner pendant les fêtes, et j'ai donc garder cette tradition malgré moi. 

Depuis le départ de mon père, je priais chaque jour afin de passer les fêtes de fin d'année tranquillement sans être dérangé par l'autre pourriture. Mais pour une fois dans ma vie, j'ai l'impression que mon voeu s'est exaucé puisque ça fait presque cinq jours que je ne l'avais plus vu dans les parages.

Vingt-trois heure trente, je devais me dépêcher, j'enlevai rapidement le tablier qui était accroché à ma taille et je me mis à courir tel Husen Bolt vers ma chambre pour enfiler une robe. Effectivement, les robes ce n'est pas ce qu'il me manquais, j'en avais des tonnes, tellement qu'il y en avait que je n'avais encore jamais porter.

Après avoir mis une belle robe noire, je finis par descendre de ma chambre pour apporter les plats sur la table à manger dans le salon, où j'avais mis un peu de musique pour me remonter le moral.

TO BOTH OF USOù les histoires vivent. Découvrez maintenant