Chapitre 25

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Jeel : T'es le pire des connards comment tu peux te pointer après trois ans ?!
James : Me pointer ? C'est comme ça que tu m'accueilles ma chère Jeel ? Allons, je suis là pour apporter mon savoir et voir comment se porte Alice.
Jeel : Franchement on a pas besoin de toi, ton billet d'avion tu te le prends maintenant ou je te le fourre dans le cul !
James : De plus en plus coquine celle-ci, mais je ne suis pas intéressé par les blondes.
Jeel : Je vois que t'es toujours à côté de la plaque, ça bouge pas !
James : Bon, laisse-moi passer, sale truie.

J'ouvre mes yeux sous ces agitations. Ma doigts se glissent sur mon cuir chevelu, et j'affiche une grimace. 

Je ne me suis pas ratée en tombant...

Je me sens encore engourdie, mais mon stress semble être redescendu. C'était mon imagination cette discussion entre James et Jeel ? Ça me semblait si réel.


? : Alice ! 

Je tourne la tête et découvre Jeel bloquant l'accès à ce fou furieux de James ! Je m'estomaque, ce n'était pas un rêve ! C'est la réalité ! Brutalement, mon ex jette ma copine hors de l'infirmerie, verrouillant la porte avec une chaise. 

Où est l'infirmière ? Pourquoi suis-je seule ? 

Je recule mais le lit est déjà très petit, je me retrouve très vite contre le mur, le regard apeuré face à un vieux démon. 

James : Nous sommes enfin seuls, il fallait que nous parlions un minimum, tu ne trouves pas ?

Moi : Je... je ne crois pas que c'est nécessaire. Je vais te demander de partir.

James : Oh, t'es toujours incroyablement mignonne, ça je ne peux pas te l'enlever, mais... toujours aussi têtue et dévergondée.

Moi : Pense ce que tu veux, James. Franchement, si tu pensais venir récupérer quelque chose de moi en venant ici, tu peux repartir chez toi.

James : Oh mais tout le monde veut que je parte de la France ! Je vois... je suis le plus détesté. 

Moi : Tu comprends vite les choses mon petit.


Je ne vois pas comment j'ai pu avoir peur de lui par le passé... 


James : Ne me méprise pas petite merde.

Moi : Tu ne sais pas où tu as mis les pieds, et tu vas vite regretter... 


Cependant, c'est moi qui regrette mes mots.

Il s'avance vers moi et me saisit le cou avec tant de férocité que je me trouve rapidement en apnée. Je tape et tente de fracasser son bras en vain. Ce qui ne change pas... il est toujours en position de force avec moi ! 

LOCKLEAR : C'est toi que je veux (Tome 1) RÉÉCRITUREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant